Copropriété et maisons jumelées

florian - 12 mai 2009 à 19:11
 Miss71 - 22 oct. 2011 à 17:31
Bonjour,
Nous avons l'intention d'acquérir un terrain avec un couple d'amis pour y faire construire des maisons mitoyennes.
Nous cherchons actuellement le meilleur moyen de realiser cette opération.

Quel est le meilleur moyen d'acquerir un terrain en commun, d'y faire construire (ensemble) des maisons
jumelées, mais de pouvoir etre chacun chez soit une fois les travaux terminés?


J'ai entendu parlé de copropriété et de permis valant division..... ces 2 options sont elles associables?

Merci d'avance pour vos reponses !

Florian

7 réponses

Josh Randall Messages postés 26491 Date d'inscription dimanche 16 avril 2006 Statut Modérateur Dernière intervention 24 avril 2024 8 190
15 mai 2009 à 01:11
Bonjour
Voici une petite lecture qui devrait être intéressante...

La réforme des autorisations d’urbanisme et le transfert partiel du permis de construire valant division
Telle qu’elle est présentée et traitée sur le site dédié du ministère, la problématique du transfert partiel du permis de construire valant division est un parfait exemple, tout à la fois, de la communication faite par l’administration centrale sur les prétendus apports de la récente réforme des autorisations d’urbanisme et des approximations de cette réforme : une mauvaise analyse du problème pour une fausse solution.



EXTRAIT DU SITE DU MINISTERE - « LE NOUVEAU PERMIS DE CONSTRUIRE »

1er question/réponse :

Description :

Un permis valant division délivré avant le 1er octobre 2007, en cours de validité, peut-il faire l’objet d’un transfert partiel, sachant que le PC valant division se caractérisait, avant le 1er octobre, par un maître d’ouvrage unique ?

Réponse :

Pour une demande de transfert partiel d’un permis valant division déposée après le 1er octobre, les règles de procédure applicables sont celles en vigueur depuis le 1er octobre. Elles permettent donc le transfert partiel


2e question/réponse :

Description :

Si un constructeur dépose un permis groupé pour 2 logements et qu’il vend ces logements après coup à deux propriétaires différents, pourra-t-il transférer le permis à chacun des propriétaires ?

Réponse :

L’article R.431-24 du code de l’urbanisme prévoit : "Lorsque les travaux projetés portent sur la construction, sur le même terrain, de plusieurs bâtiments dont le terrain d’assiette doit faire l’objet d’une division en propriété ou en jouissance avant l’achèvement de l’ensemble du projet, le dossier présenté à l’appui de la demande est complété par un plan de division et, lorsque des voies ou espaces communs sont prévus, le projet de constitution d’une association syndicale des acquéreurs à laquelle seront dévolus la propriété, la gestion et l’entretien de ces voies et espaces communs à moins que l’ensemble soit soumis au statut de la copropriété ou que le demandeur justifie de la conclusion avec la commune ou l’établissement public de coopération intercommunale compétent d’une convention prévoyant le transfert dans leur domaine de la totalité des voies et espaces communs une fois les travaux achevés".

Cet article ne contient aucune condition relative à l’unicité du maître d’ouvrage. Les transferts partiels d’un permis délivré initialement à une seule personne physique ou morale sont donc possibles. De tels transferts partiels nécessitent néanmoins une clarification des responsabilités s’agissant de la réalisation des équipements propres à l’opération globale.

En substance, le ministère considère donc qu’en supprimant la condition dite de la « maîtrise d’ouvrage unique » posée par l’ancien article R.421-7-1 du Code de l’urbanisme, le nouvel article R.431-24 aurait ainsi rendu possible le transfert partiel des permis de construire valant division.


I.- Bien qu’énoncé sous la forme de l’hypothèse ainsi visée, l’ancien article R.421-7-1 du Code de l’urbanisme – dont on rappellera qu’il disposait « lorsque la demande de permis de construire porte sur la construction, sur un même terrain, par une seule personne physique ou morale, de plusieurs bâtiments dont le terrain d'assiette doit faire l'objet d'une division en propriété ou en jouissance, le dossier présenté à l'appui de la demande est complété par les documents énumérés à l'article R. 315-5 (A) et, le cas échéant, à l'article R. 315-6 » – impliquait, c’est exact, qu’un permis de construire valant division ne pouvait être légalement délivré qu’à un seul et unique titulaire (CE. 4 mai 1983, Chapel, req. n°33.620).

Mais cette contrainte a généré une idée aussi fausse que répandue : la condition dite de la « maîtrise d’ouvrage unique » s’opposait, en elle-même, au transfert partiel d’un permis de construire de construire valant division.

Or, le transfert partiel d’un permis de construire n’aboutit pas à la formation d’une autorisation conjointement détenus par plusieurs titulaires mais de plusieurs autorisations d’urbanisme unipersonnelles distinctes. C’est ce qu’a d’ailleurs confirmé le Conseil d’Etat, dans une affaire qui curieusement n’est restée connue qu’en ce qu’elle a constitué la premier exemple de permis de construire valant division modificatifs requalifiés en nouveaux permis de construire, en jugeant que :

« Considérant que l'administration soutient dans sa défense que les arrêtés du 15 novembre 1990 ont pour seul effet de scinder en deux l'autorisation délivrée le 18 mai 1982 à la société Le Grand Carénage, qu'ils doivent être regardés comme des permis de construire modificatifs et ne peuvent, par suite, être contestés dans celles de leurs dispositions qui seraient devenues définitives ; qu'il ressort toutefois des pièces du dossier que le permis de construire initial délivré le 18 mai 1982 à la société Le Grand Carénage prévoyait l'édification d'un hôtel et de quarante maisons individuelles sur treize parcelles référencées au cadastre AW 11 à AW 23, alors que les arrêtés contestés ont été pris sur la base d'une nouvelle division parcellaire des terrains d'assiette intervenue postérieurement au permis initial, le permis délivré le 15 novembre 1990 à la société Le Grand Carénage portant sur un hôtel et vingt-deux maisons situées sur vingt-deux parcelles cadastrales, et le permis transféré à la même date à la société Immobart autorisant, quant à lui, la construction de dix-huit maisons individuelles situées sur autant de parcelles ; que cette nouvelle division parcellaire, alors que le permis initial n'a pas été instruit en application des dispositions de l'article R.421-7-1 du code de l'urbanisme qui permettent une division ultérieure en propriété ou en jouissance des terrains d'assiette, constitue une modification d'une nature et d'une importance telles que les arrêts contestés doivent être regardés non comme des décisions modificatives d'un permis de construire antérieur, mais comme délivrant deux nouveaux permis de construire dont la légalité doit être examinée en elle-même » (CE. 22 novembre 2002, François Ponçet, req. n°204.244).

Le transfert partiel d’un permis de construire valant division à un second maître d’ouvrage n’aboutit donc pas à la formation d’un permis de construire valant division conjoint mais à la formation de deux permis de construire valant division unipersonnels distincts ne méconnaissant donc pas la condition de la « maîtrise d’ouvrage unique » posée par l’ancien article R.421-7-1 du Code de l’urbanisme.

II.- Ce qui pouvait poser problème et tendait, dans certains cas, à s’opposer au transfert partiel du permis de construire valant division – et, d’ailleurs, au transfert partiel d’un permis de construire simple – c’est qu’en réalité, la condition précitée était le corolaire et surtout la preuve de ce que le critère déterminant du lotissement est l’intervention d’une pluralité de maîtres d’ouvrage sur un même tènement, laquelle traduit nécessairement un transfert des droits à construire attachés à l’unité foncière et donc une division, à tout le moins, en jouissance de cette dernière (sur ce point, voir notre note : « La simple locations d’immeubles implantés sur un même terrain n’emporte pas une division foncière au sens de l’article R.315-1 et R.421-7-1 du Code de l’urbanisme », CAA. Versailles, 8 juin 2006, M… X., AJDA, n°31/2006 ; confirmé par le Conseil d'Etat. Et sur la problématique de la division en volume, voir ici). A titre d’exemple, en ce sens, on peut relever qu’il a pu être jugé que :

« Considérant que le permis délivré le 26 septembre 1996 par le maire de VILLENEUVE-LOUBET autorisait la société SOPRAF à édifier 7 maisons individuelles sur un même terrain ; que cependant il ressort des pièces du dossier que par une convention de construction passée le 26 novembre 1996 avec 7 autres propriétaires, la société PHENICIA, ayant acquis ledit terrain, postérieurement à la délivrance du permis, s'est engagée à "obtenir le permis de construire ..., transférer le permis de construire au profit des coindivisaires", tandis que les "futurs acquéreurs achèteront les lots de copropriété, procéderont eux-mêmes à la construction des maisons qui y sont prévues", et obtiendront "le transfert du permis de construire à leur nom" ; que par acte du même jour, la société a vendu les droits à construire des bâtiments autorisés par le permis à 7 copropriétaires dont chacun s'est vu attribuer un certain nombre de millièmes du terrain lequel reste cependant, selon l'état descriptif de division établi à la même date, "commun en toutes ses parties y compris celles sur lesquelles sont édifiées les constructions", les seules parties privatives étant constituées par les aménagements que comporte la maison individuelle prévue sur le lot ; que ces divers actes établissent que l'opération de construction projetée consistait en l'édification de 7 villas par 7 propriétaires différents ; que la construction par chaque coindivisaire sur un même terrain d'une villa destinée à devenir sa propriété exclusive et particulière emportant nécessairement la subdivision en jouissance dudit terrain, alors même que la propriété du sol est restée indivise, constitue une opération de lotissement au sens des dispositions précitées ; qu'ainsi la société SOPRAF ne pouvait solliciter le permis critiqué sans demander préalablement l'autorisation de lotir prévue par l'article R. 315-3 du code de l'urbanisme ; que par suite, ledit permis est entaché d'irrégularité » (CAA. Marseille., 3 juin 1999, SOFRAP & Cne de Villeneuve-Loubet, req. n° 97MA05313).

Il est vrai qu’aujourd’hui, le nouvel article R.442-1 (c) du Code de l’urbanisme dispose que « ne constituent pas des lotissements (…) les divisions de terrains effectuées conformément à un permis de construire prévu à l'article R. 431-24 ».

Il reste que, selon nous, il n’est pas si certain que ce dispositif permette, à lui seul, de faire systématiquement échapper le transfert partiel d’un permis de construire valant division à la procédure du lotissement dans la mesure où :

- d’une part, les divisions foncières autorisées par l’article R.431-24 du Code de l’urbanisme sont, en fait, celles liées à la commercialisation des bâtiments réalisés et non pas celles résultant d’un transfert des droits à construire préalable à l’acte de construction puisqu’on rappellera que le juge administratif a toujours veillé à « éviter les détournements de procédure en incluant dans le champ d’application du lotissement les divisions de terrain réalisées en cours de construction des bâtiments, donc après la délivrance du permis de construire », si bien que « pour échapper au lotissement, il faut donc diviser le terrain une fois les constructions achevées » (J-Cl. Bonnichot sur : CE. 21 août 1996, Ville de Toulouse, req. n°137.834 in BJDU, n°6/1996, p.404. Pour exemple : CAA. Marseille, 9 décembre 2004, Sté Riviéra Conseil, req. n°00MA02339) ;

- d’autre part et en toute hypothèse, il est nécessaire que l’assiette foncière des droits à construire transférés par le jeu du transfert partiel corresponde à celle des lots autorisés par le permis.

Mais en tout état de cause, le transfert partiel d’un permis de construire simple ou valant division sous l’empire du dispositif applicable avant le 1er octobre 2007 n’aboutissait pas nécessairement à la constitution d’un lotissement dans la mesure où :

- d’une part, un tel transfert pouvait n’aboutir qu’à la formation de deux « lots à construire », ce qui, aux termes de l’ancien article R.315-1 du Code de l’urbanisme, n’était pas constitutif d’un lotissement alors qu’aux termes des dispositions combinées des nouveaux articles L.441-1, L.442-2 et R.421-19 (a) du Code de l’urbanisme, il peut y avoir lotissement dès la formation du premier « lot à construire » ;

- d’autre part, le transfert des droits à construire en résultant pouvait s’opérer selon la technique dite de la « division primaire » visée par l’ancien article R.315-2 (d) du Code de l’urbanisme que s’est borné à conserver par le nouvel article R.442-1 (d) en en clarifiant quelque peu, il est vrai, le champ d’application matériel : rien de neuf sur ce point, donc…

III.- Il reste que la véritable difficulté tient non pas au régime propre au permis de construire valant division et à son articulation avec la procédure de lotissement mais, plus fondamentalement, aux conditions auxquelles la légalité d’un transfert partiel est subordonnée.

En effet, le transfert partiel d’un permis de construire aboutit donc à faire relever un même projet non pas d’une autorisation conjointe mais de plusieurs permis de construire unipersonnels distincts (CE. 22 novembre 2002, François Ponçet, req. n°204.244).

Or, suivant le principe selon lequel un ensemble indivisible ne saurait légalement relever de plusieurs permis de construire distincts (sur ce point, voir nos notes : « La réalisation d’un ouvrage indivisible ne peut relever que d’un seul et même permis de construire », CAA. Lyon, 28 décembre 2006, Association « SOS Parc Paul Mistral », Construction & Urbanisme, n°4/2007 & « Des constructions constituant un ensemble indivisible doivent aire l’objet d’un permis de construire unique », CE. 10 octobre 2007, Association de Saint-Jory-Lasbloux, Construction & Urbanisme n°11/2007), le permis de construire portant sur un tel ensemble ne peut régulièrement faire l’objet d’un transfert partiel (CAA. Marseille, 18 mars 2004, Cne de Beausoleil, req. n° 01MA00551). Et dès lors, force est de préciser qu’au regard du droit de l’urbanisme (sur cette question, voir notre article « La divisibilité des ouvrages et des ensembles immobiliers en droit de l’urbanisme », Construction & Urbanisme, n°3/2006), un ensemble indivisible ne correspond pas seulement au cas d’un bâtiment unique ou de bâtiments accolés mais s’entend également de bâtiments distincts mais reliés entre eux par des équipements communs – nécessaires à la viabilité fonctionnelle et/ou à la conformité juridique du projet – tels un accès et/ou un parc de stationnement (CAA. Nancy, 4 mars 1997, Cts Ravachol c/ Ville de Reims, req. n° 94NC01290 ; CE. 1er décembre 1995, M. Ménager & Autres, req. n° 137.832) ; c’est-à-dire en considération d’équipements, pour le moins, fréquents dans le cadre d’une opération groupée…


10
Bonjour à tous,

je suis également à la recherche d'informations sur le permis valant division et la copropriété ...
j'ai vu un constructeur qui me propose de faire construire avec un autre couple qui a le même budget que moi ...
j'aimerai comprendre de manière simple les avantages mais surtout les inconvénients du permis valant division
Le constructeur m'a également parlé de copropriété ?? une copro de 2 ?? mouais ... quelles sont nos obligations ? Dans les 2 cas, à terme, suis-je propriétaire de mon morceau de terrain et de ma maison ? l'autre proprio doit-il donner son accord pour la vente, la location de mon bien ?

Merci pour vos réponses
7
Bonjour,

Le permis de construire permet sur un terrain unique de construire plusieurs batiments, une division devant intervenir en propriété ou en jouissance avant l'achèvement des constructions. La division en propriété a pour objet l'octroi d'un droit de propriété privatif sur le sol ainsi que sur les constructions. Il n'y a donc pas de copropriété.

La division en jouissance entraine une indivision du sol laquelle sera régit par le statut de la copropriété de la loi du 10 juillet 1965.

Chaque copropritaire détient une quote part des parties communes constituées par le sol et les équipements communs ainsi qu'une partie privative constituée par la jouissance divise exclusive et perpétuelle d'une partie du sol indivis et la propriété exclusive et perpétuelle de la construction édifiée sur cette partie.

A noter que la gestion d'une copropriété composée de 2 lots n'est pas des plus aisées!!

Bien à vous.
6
Bonjour,
Je n'ai pas bien saisi si chaque propriétaire est "seul proprietaire" de sa partie de terrain ou si les deux terrains + la partie commune sont tributaire des decisions "des voisins". Je suis propriétaire de maison jumelée et la mairie m'a dit que si je voulais planter un arbre dans mon jardin, il me fallait l'autorisation de mon voisin. Cala m'inquiete même si nous avons une entente parfaite.
Merci
0
Bonsoir,

Je me permet de vous donner des informations a ce sujet car nous sommes actuellement dans ces mêmes démarches et avons signé un compromis de vente pour un terrain, après concertation avec tous les professionnels dans le domaine, la meilleure solution financière et CLAIRE est la copropriété (nous attendons donc de voir la faisabilité avec le géomètre ainsi que le cout puis accord du vendeur), en clair le géomètre va diviser le terrain en 2 lots ( 1 maison avec son terrain + 1 maison avec son terrain et autour ce sont les partis communes) C'est a priori la seule façon de pouvoir être chez soi sans rien devoir a l'autre couple et en cas de séparation ou de vente chacun est propriétaire de son lot donc moins de soucis pour le futur, de plus chaque couple prend son propre crédit.
Car avec une SCI, d'une part pas de PTZ+ et en plus si chacun veut être propriétaire de sa maison et son terrain il faut que chacun se revende 25% de son bien et faire appelle a un géomètre pour savoir quel morceau est a qui!!! Donc trop compliqué et onéreux...
Et pour finir avec cette solution, nous ne sommes plus ds l'obligation de faire 2 maisons jumelées, mais nous pouvons faire construire 2 maisons individuelles :) !
Nous attendons donc les infos du géomètre la semaine prochaine.... Voila pour les infos que nous avons a ce jour!
1
pepitou Messages postés 594 Date d'inscription samedi 23 février 2008 Statut Membre Dernière intervention 16 janvier 2012 253
22 oct. 2011 à 08:21
bonjour,

Dans ce cas ne rentrons-nous pas dans l'obligation de créer un lotissement ?
0
kasom Messages postés 32135 Date d'inscription samedi 25 septembre 2010 Statut Modérateur Dernière intervention 25 avril 2024 8 788
22 oct. 2011 à 09:29
Bonjour

Bonne question pepitou, il me semble que le lotissement c'est pour la création de 3 lots au moins
0
Alors là aucune idée.. (Il s'agit d'une copropriété de sol) Mais s'il s'agissait d'un lotissement j'imagine qu'on nous en aurait parlé !! D'autant plus qu'il n'y aura que 2 lots en fait...
l'avant du terrain servira de "parking" et sera donc commun ainsi que le contour du terrain avec les clôtures.... Mais nous devons attendre de voir la faisabilité avec le géomètre quand même.
0

Vous n’avez pas trouvé la réponse que vous recherchez ?

Posez votre question
123licorne Messages postés 1 Date d'inscription dimanche 2 décembre 2007 Statut Membre Dernière intervention 18 août 2011
Modifié par 123licorne le 18/08/2011 à 06:57
Bonjour,
Merci de m'expliquer si chaque propriétaire est "seul proprietaire" de sa partie de terrain ou si les deux terrains + la partie commune sont tributaire des decisions "des voisins". Je suis propriétaire de maison jumelée et la mairie m'a dit que si je voulais planter un arbre dans mon jardin, il me fallait l'autorisation de mon voisin. Cala m'inquiete même si nous avons une entente parfaite.
Merci
Désolée pour le doublon, je ne m'étais pas connecte
0
Bonjour,
Nous sommes dans la même position que vous tous, et je m'aperçois que notaire, DDE-mairie et banquiers ne sont absoluments pas d'accord sur ce type d'opération?
Quelqu'un peut-il me dire si son opération avance????
Cordialemnt.
0
Bonjour,
idem nous somme actuellement sous compromis pour un terrain avec un couple d'ami pour le projet de construire 2 maisons jumelée.
J'ai RDV dans 4 jours chez un notaire (autre que celui qui s'occupe de la vente du terrain) pour cette histoire de copropriété. Le premier notaire (celui qui s'occupe de la vente du terrain) m'annonce comme prix avec partage+règlement de copropriété de 4400 euros au total soit 2200 par familles ! et là nous n'avons pas les frais de géomètre !!! avec le constructeur nous avons provisionné 1000 par familles copro + géo ! donc il y a un malaise
j'espère que le deuxième notaire m'éclairera mieux.
0