Me sortir de l'invalidité.

Bonjour,
Je ne savais pas ou posté. je suis rentré à mes 17 ans en psychiatrie. à l'époque j'étais un jeune dépressive. j'avais eu une enfance un peu compliqué. c'est moi qui avais décidé de rentrer dans cet hôpital. j'étais pas bien j'étais sur une pente glissante. là-bas dans le service des ados, ils ont commencé à me donner du tercian et du risperdal. Avec ces médicaments j'ai eu de violentes contractures et je n'arrivé plus à penser. loin de moi été l'idée que les traitements allez être si violent. je faisais confiance aux médecins, même si je voulais pas parler de mon enfance. au bout de 6 mois alors que je venais de m'électrisé dans ma chambre ils m'ont mis à la porte. c'était ma première approche de la psychiatrie. je n'ai jamais compris où il voulait en venir avec cette hospitalisation. j'étais tellement jeune et innocent et surtout tellement Naïf. A 18ans je suis rentré dans ma première hospitalisation pour adulte. je racontais mes passions au médecin. ce que je faisais dans la vie, ce que je voulais faire. j'ai alterner des sortie et des entrée plusieurs fois sans vraiment comprendre l'intérêt. du coup je me suis demandé si ça serait pas mieux de voir un psychologue à la place d'un psychiatre. je voulais juste comprendre l'enfant que j'avais été. un beau jour je raconte la théorie des cordes à un médecin. il m'avait demandé qu'est-ce que je faisais en ce moment et j'étudié ça. j'aime étudié car j'ai eu très peu de chances à l'école. ça me valorise et moi qui ai toujours voulu faire des études supérieures. mais par suite j'ai appris ce que le médecin avait écrit dans mon dossier. je cite: " pensée magique, crois qu'il y a 26 dimensions invisibles". j'étais sur le cul. surtout que c'est une théorie de physique très connu. peut-être que je la comprenais pas beaucoup à l'époque mais elle existait. alors j'ai commencé à me méfier de la psychiatrie. se fait peuvent faire rire pour l'instant mais vous allez voir à quel point ça a été loin. un beau jour j'étais mal et comme personne m'aider, j'ai fait une tentative de suicide. je vous rappelle que je voulais juste voir un psychologue et que je l'avais toujours pas vu. j'ai atterri en psychiatrie une nouvelle fois. problème c'est qu'ils m'ont donné un nouveau médicament, du CLOPIXOL. ce nouveau médicament bloquer ma pensée il m'a fait faire vraiment n'importe quoi. j'ai par exemple mis le feu à la maison de mes parents. j'allais aussi voler dans les chambres. alors que je n'ai jamais été voleur de ma vie. je voulais que ce traitement inutile s'arrête. alors j'ai fugué deux mois dans la rue. jusqu'à que je retourne à l'hôpital consterné par le peu de possibilité que j'avais. je suis resté deux ans avec ce traitement a faire n'importe quoi. à cette période je me suis mis mes parents sur le dos leur rejetant la faute. pour moi l'enfance qui m'avait été offert était la cause de mes problèmes. j'ai déliré jusqu'à atteindre un point illogique de la pensée. puis je ne sais pas pourquoi ils m'ont remis mon ancien traitement. au bout de deux ans et demi de délire il était temps. je suis rendu compte petit à petit de tous les conneries que j'ai fait à cause de ce médicament. les gens de mon pavillon de mes plus. même les habitués qui me connaissais depuis cinq ans se sont détournés de moi. j'avais passais mon temps à voler. donc j'ai demandé à changer de Pole. ça devenu tout même assez tendu. ils m'ont dit que je ne pouvais pas. un soir après une très grosse dispute où j'ai failli me battre, j'ai cassé un verre et j'en ai caché dans tout le pavillon. j'ai prévenu les infirmiers que si je n'allais pas en pavillon fermé je leur dirai jamais où était cacher les bout de verre. il fallait bien que je me défende. par la suite j'ai appris que dans mon dossier il y avait marqué que je me sentais persécutée. à partir de ce moment mon espoir a été totalement finie. et il est mort le jour où j'ai rencontré enfin un psychologue. c'était un Freudien pratiquement à la retraite. il ne parler que de sexualité de l'enfant comme tous les freudien. j'ai demandé à changer de psychologue mais rien n'a suivi. bon là j'avais déjà touché bien le fond. alors je me laissais faire et j'ai inventé des histoires pour mettre un peu d'autodérision dans ma situation. j'étais en HDT. bon il fallait quand même que je fasse quelque chose de ma vie j'avais 25 ans maintenant. même si j'ai eu une enfance difficile a force de cheminement je m'étais quand même bien sortie des galères de ce petit garçon qui était en moi. j'ai créé une entreprise sur Internet. un beau jour j'ai demandé à mon meilleur ami de l'hp d'aller m'acheter des clopes. tout de suite les médecins m'ont fait un procès d'intention. ils ont déclaré que je ne pourrai pas m'occuper de moi car j'ai prêté ma carte bleue. mon père a reçu une lettre il y a quelques jours de la gendarmerie. cette lettre c'était pour lui demander des conseils à propos de mon futur curateur. voilà dans un mois j'aurai un curateur, fini mon entreprise. de plus la lettre me faisait passer pour le pire des handicapés mentales. je ne vais plus pouvoir faire des projets pour ma vie. et la seule chose que je ferai c'est attendre les 90 € de la semaine prochaine. ça c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. j'étais tellement tolérant. j'ai eu de la patience. j'ai eu du respect. j'ai fait tout ce qu'on m'a demandé. le seul truc c'est que j'ai beaucoup de difficultés à m'exprimer quand on me prend pour un con. parce que je suis blasé. ça fait maintenant 8 ans que je suis en psychiatrie et la seule chose de contrée que j'ai eu c'est des entretien avec un freudien. et là je raconte vraiment une petite partie. je dois à ce jour 8000 € à l'hôpital de Pau. pour strictement aucun soin. si vous savez quel recours je peux avoir pour me sortir de ce pétrin? Je vous en remercierez de toutes mes forces. peut être que vous pouvez me donner un endroit pour posé la question? Excusez les fautes j'écris avec un téléphone et je suis dyslexique, un vrais.