Huissier SOFINCO

normandeitalienne - 14 avril 2010 à 22:17
 coco13 - 16 déc. 2016 à 11:28
J'ai eu des difficultés des prélèvements ont été rejetés pour SOFINCO. Au mois de février j'ai été contacté par un huissier de justice à qui j'ai reglé en février, mars et avril le montant d'une échéance mais il ne cesse de m'harceler pour que prenne contact avec une société de rachat de crédit de leur connaissance, n'ayant aucun renseignements concernant cette société malgré mes recherches sur internet et autre je n'ai pas accepté et de ce fait le personne a refusé tout arrangement et m'a menacé par courrier de saisie à domicile.
Je lui ai adressé une lettre recommandée avec AR en lui disant qu'elle ne pouvait m'imposer une société de rachat de crédit et qu'à nouveau je lui ai proposé un échéancier chaque mois comme depuis plusieurs mois le montant de l'échéance initiale.
Mais refus de sa part.
Cet huissier n'est pas de ma juridiction. Il va je pense en contacter un de ma ville ce nouvel huissier prendra t 'il contact avec moi ? Peut il venir sans que nous soyons passés au tribunal ? Comment savoir s'il a un acte exécutoire ? il s'agit d'un crédit à la consommation.
Peut il saisir les comptes bancaires sans être passé au tribunal ?
Merci de vos réponses
A voir également:

29 réponses

Ce n'est pas une réponse ça !

Je ne vois pas ce que le rôle de l'huissier de justice vient faire dans la distinction entre "forclusion" et "prescription" que vous défendez.

Sauf si, bien sûr, vous n'en savez absolument rien, ce qui semble se confirmer !

Mais, toutefois, comptez sur moi ( codes à l'appui ! ) pour vous reprendre à chaque fois que vous étalerez votre pseudo-science !
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Utilisateur anonyme
18 avril 2010 à 18:35
Je ne doute pas un instant de vos capacités à interpréter les textes juridiques à votre manière.

Permettez moi de douter de vos informations et d'autre chose vous concernant

Je vous rappelle un texte de vous

Gérard 4 mar 2010 à 13:06
Oui, cela on le sait et nous sommes un certain nombre à traiter ces dossiers avec succès dans nos associations de défense sans faire autant de bruit !
Mais cela ne permet pas de dire qu'une injonction de payer n'est pas un jugement, par exemple, ou comme dans un autre post que les frais d'huissier qui ne reposent pas sur un titre exécutoire sont à la charge des débiteurs. J'attends tj vos références au NCPC dans cette affaire !
Et je m'étonne toujours de la bienveillance dont vous faites preuve vis à vis des huissiers de justice qui sont à mon sens pires que les officines de recouvrement car ils utilisent la casquette d'officier ministériel pour induire les débiteurs en erreur.
Une officine on sait au départ ce que c'est......un huissier aussi avec l'expérience !
Quant aux méthodes qu'ils utilisent !...
J'en ai cité trois hier nommément en exemple dans une réponse et je pense que qui les a rencontrés sait de quoi ils sont capables.


Gérard 3 avr 2010 à 20:45
Vous ne m'avez toujours pas dit - dans ces conditions - pourquoi vous aviez fixé le terme de ce délai en 2011 !

Ma seule intervention s'est située à ce niveau de certitude erronée de votre part.

Pour le reste ce n'est pas moi qui ai abordé le problème de la prescription dans ce post ...c'est vous.

Sans, d'ailleurs, vous poser le problème de l'interruption que vous évoquez maintenant.

Avant de partir au soleil pour deux semaines, j'adapterai pour vous une partie de l'intervention que j'avais faite à la demande d'un Frère huissier (*) en septembre 2008 à l'intention des collaborateurs de trois études pour les informer de la profonde réforme apportée par la loi du 18.06.2008 qu'ils auraient à utiliser presque journellement.
Tiens, si vous voulez vous recycler, utilisez le lien que Séverine
(« demandeuse ») évoquait ce jour dans son post « CREDIREC-CREDIPAR ».
Je ne connaissais pas, mais il est parfait en matière de prescription.
Quant au fait que vous me répondiez plus......
Cela ne m'empêchera pas d'essayer d'aider -comme d'autres - les gens qui nous posent des questions.

(*) huissier '"de justice" s'entend...un VRAI.quoi ! Un qui connaît la procédure CIVILE, parce que dans votre dernière réponse, en la matière, vous frôlez des sommets !Modifié par Gérard le 3/04/2010 à 21:04

---> de Wazix : Frère huissier ??? Frère la gratouille peut-être ??

Vos références : Article 311-37 du Code de procédure civile :


Article 311

En cas de renonciation ou de transaction sur l'inscription de faux, le ministère public peut requérir toutes les mesures propres à réserver l'exercice de poursuites pénales.

https://www.legifrance.gouv.fr/

Alinea 37 par contre on cherche.

Votre arrogance n'a pas d'égal.

je doute que vos informations avec références rapportées au personnel des officines privées de recouvrement les impressionnent, car il s'en moque totalement. C'est ainsi.
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Bonsoir, si vous voyez qu'il y a trop de harcèlements répétés et que vous êtes de bonne foi, écrivez en joignant les preuves directement a la chambre nationale des huissiers, pour moi, moins de deux mois après l'huissier à du s'expliquer devant ses pères , j'ai non seulement eu gain de cause, mais les excuses écrite de l'huissier qui était une femme bien trop zélée et qui s'est faite rappelée à l'ordre par ses pères . Courage privilégiez toujours un accord amiable, ne signez pas n'importe quoi sous la pression, par contre honorez vos engagements.
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Tiens Wazix !

Un internaute vient de rencontrer et relever une contre vérité que vous aviez émise quant à un titre exécutoire !

Voir « Titre exécutoire délais de prescription ».

Cela confirme votre manque de connaissances en matière de procédure civile !
Et je ne suis a priori pas le seul à le penser .l
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Utilisateur anonyme
20 avril 2010 à 09:58
Et je ne suis a priori pas le seul à le penser

---> je suis entièrement d'accord avec vous !

je n'ai pas fait mystère d'avoir quitté mon activité d'agent huissier du trésor il y a 15 ans. Alors les dernières réformettes de délais liées aux abus de certains organismes de crédit ne m'ont pas particulièrement frappé, et même si j'appelle toujours une saisie-arrêt, terme de mon temps. Mais quelle importance.


"Et je m'étonne toujours de la bienveillance dont vous faites preuve vis à vis des huissiers de justice qui sont à mon sens pires que les officines de recouvrement car ils utilisent la casquette d'officier ministériel pour induire les débiteurs en erreur."


"Avant de partir au soleil pour deux semaines, j'adapterai pour vous une partie de l'intervention que j'avais faite à la demande d'un Frère huissier (*) en septembre 2008 à l'intention des collaborateurs de trois études pour les informer de la profonde réforme apportée par la loi du 18.06.2008 qu'ils auraient à utiliser presque journellement."


--> Quant à moi à votre sujet, je pense que vous êtes un sujet de psychiatrie.

" Un paranoïaque dans l'armée ça s'appelle un brigadier " Michel Audiard - un taxi pour Tobrouk.
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Chan-elle Messages postés 3099 Date d'inscription dimanche 26 juillet 2009 Statut Membre Dernière intervention 22 mai 2016 1 029
20 avril 2010 à 14:47
A la différence c'est qu'un Huissier du trésor, n'a pas besoin d'un titre exécutoire pour recouvrer une créance, il passe outre car le Trésor public peut non seulement créer son propre titre exécutoire (AMR) mais jouit aussi du droit d'être préféré par rapport aux restes des créanciers (article R 85 LPF).
Ce privilège du Trésor s'exerce sur tous les biens meubles et effets mobiliers du contribuable en quelque lieu qu'ils se trouvent et prime sur les autres privilèges (article R 86 LPF).

Quoique
La Cour de cassation vient de mettre le holà à ces excès, appelant la comptabilité publique à plus de discernement dans l'application de l'ATD (cass. com. 12 mai 2004, Pourvoi 01-02710 ; cass. com 23 novembre 2004, arrêt 1670 FD). Fort de cet arrêt, les contribuables destinataires d'un ATD mal à propos peuvent demander le remboursement des frais de procédure indûment mis en oeuvre.


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Utilisateur anonyme
21 avril 2010 à 09:11
Quoique
La Cour de cassation vient de mettre le holà à ces excès, appelant la comptabilité publique à plus de discernement dans l'application de l'ATD (cass. com. 12 mai 2004, Pourvoi 01-02710 ; cass. com 23 novembre 2004, arrêt 1670 FD). Fort de cet arrêt, les contribuables destinataires d'un ATD mal à propos peuvent demander le remboursement des frais de procédure indûment mis en oeuvre.

Exact Chan-elle
Dans certains postes comptables l'ATD était ( à mon époque ) fabriqué à la chaine par des équipes de dépannage...

Il avait été utilisé aussi pour les amendes qui ne sont pas privilégées comme l'impôt sur le revenu et les taxes au lieu de l'opposition administrative.

Anecdocte : un motard auvergnat avait eu un accident à Paris. Il avait été soigné à l'Assistance publique. Il restait un montant de 600 Fr qu'il n'avait pas payé. Nous avions obtenu son employeur et son compte bancaire.. Cette "cote" n'étant pas privilégiée, nous avions demandé la possibilité au juge d'instance d'alors de pratiquer une opposition. La juge s'était déclarée " incompétente" . les 600 fr ont été perdus.*

Mais pour les impôts et taxes, privilégiés, passant cependant après les super-privilièges que sont les salaires du personnel dans la procédure de liquidation, nul besoin de titre exécutoire, parce que la procédure est prévue dans le préambule de loi de finance votée chaque année par le législateur. C'est donc la loi de finance qui permet au Trésor public de requérir directement ( le chef de poste) pour un recouvrement contentieux.

* Nous soupçonnions les magistrats de mauvaises pensées à l'égard du Trésor public...Forcément !
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car sofinco ma ficher
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Pour quelle raison ?
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lemoncella1 Messages postés 1166 Date d'inscription vendredi 12 mars 2010 Statut Membre Dernière intervention 31 mai 2010 539
14 avril 2010 à 22:28
pourquoi de votre propre chef vous ne voyez pas avec votre banque pour un rachat de crédit, ce serait plus raisonnable que de passer dhuissier en huissier.
cdt
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Utilisateur anonyme
17 avril 2010 à 19:21
"J'ai lu il y a peu, ici même, une distinction péremptoire entre forclusion et prescription...il y avait en la matière une profonde révolution apportée au Code civil"

---> je suppose que c'est de moi dont il s'agit. En effet il existe une manifeste différence entre forclusion ( impossibilité de poursuivre par voie juridique ) et prescription ( dette invalide ). Mais concernant les officines privées de recouvrement ces nuances n'ont aucune valeur. Il n'est pas interdit de réclamer des dettes anciennes. C'est au débiteur à savoir s'il doit obtempérer aux demandes de ces officines.

Les réponses d'articles des codes avec références concernant la forclusion voir la prescription n'impressionnent absolument pas le personnel des officines privées de recouvrement AMIABLE et non juridique, mais rassurent néanmoins le débiteur face aux bluffs et menaces de ce personnel, menaces qu'il ne peut faire exécuter.

Ces textes qui sont des garanties offertes aux débiteurs par le législateur pour éviter les abus tels que la multiplication des intérêts dans le temps de crédit impayé sont destinés aux juges de proximité et d'instance qui sont seuls aptes à décider du recouvrement contentieux, l'huissier n'étant qu'un exécutant d'une décision de justice.

Mais invoquer ces textes au personnel des officines privées ne peut que l'indisposer et nuire aux débiteurs qui de bonne foi, voulant régulariser une dette tentent une transaction.

Peut-être etes vous de ceux qui prétendent faire des cours de droit aux huissiers, alors que la mise à jour des règles sont émises par la Chancellerie aux chambres régionales ou départementales d'huissiers qui transmettent ainsi qu'aux tribunaux.

Nous essayons d'aider les personnes affolées par des demandes ubuesques. Des précisions nécessaires à leur demande font souvent défaut pour essayer de comprendre leur situation d'autant que ces personnes ne sont pas versées dans le recouvrement. quand il est question d'huissiers qui se mettent eux aussi à pratiquer le recouvrement amiable, une volonté des officines privées de recouvrement pour asseoir leur autorité, et un nouveau filon pour ces auxiliaires de justice, donc il faut savoir faire la différence entre une démarche amiable et une démarche judiciaire.

Rien n'empêche quiconque de réclamer une dette forclose, prescrite, éteinte. C'est au débiteur à faire valoir ses droits.
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Chan-elle Messages postés 3099 Date d'inscription dimanche 26 juillet 2009 Statut Membre Dernière intervention 22 mai 2016 1 029
17 avril 2010 à 20:23
Bonsoir

Cela a déja été évoqué ICI a plusieurs reprises

Mais bon a savoir
La procédure de recouvrement amiable n'a pas abouti, le créancier demande au
tribunal de reconnaître le bien-fondé de la dette. Il s'agit-là de mettre en oeuvre
un recouvrement forcé. de payer
Procédure la plus simple et la plus fréquente
: le juge rend, à la demande du créancier, une injonction de payer sans que
les deux parties ne soient convoquées au tribunal.
Dans cet acte, tout doit être précisé :
le montant de la dette et éventuellement les frais si le juge l'a décidé ainsi.
C'est obligatoirement un huissier qui doit remettre cet acte au débiteur :
en main propre ou à la personne présente au domicile du débiteur le jour du passage. La remise à un mineur est interdite. ou à la mairie en cas d'absence.
Si l'huissier n'a pu vous remettre l'acte en main propre, il vous adresse?
Cette procédure ne prive pas le débiteur de son droit de recours. Il a un mois à
compter de la date de notification de l'acte pour contester auprès du tribunal qui a
rendu l'injonction de payer. Les deux parties seront alors convoquées et un
jugement contradictoire sera rendu. Passé ce délai d'un mois sans réaction du consommateur, l'huissier pourra mettre en oeuvre toutes les procédures
nécessaires
La somme due est à verser à l'huissier. Si le débiteur ne paie pas ou s'il n'a pas contesté dans le délai prévu, l'exécution de la décision de justice pourra se faire par voie de saisie.
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Je ne sais pas de quel répondeur il s'agissait, mais la différence entre forclusion est prescription extinctive ne réside nullement dans ce que vous avancez, il s'agit dans les deux cas deux cas de l'extinction d'un droit résultant de l'inaction son titulaire pendant un certain laps de temps.
La nuance entre forclusion et prescription ne réside donc pas là !
Où est-elle à votre sens ?
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Chan-elle Messages postés 3099 Date d'inscription dimanche 26 juillet 2009 Statut Membre Dernière intervention 22 mai 2016 1 029
17 avril 2010 à 23:00
Mais ICI dans son cas il n'y a pas de forclusion IMPOSSIBLE comme elle dit avoir réglé février mars avril
http://www.mce-info.org/Pdf/fiche-recouvrement.pdf
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