je ne m'attendais pas à une réponse aussi injurieuse, me laissant pantois dans l'interprétation et qui me donne beaucoup à penser de mon côté quant à votre mentalité, ne souhaitant pas plus la mort d'aucuns de mes proches, que celle de la personne handicapée dont il est fait mention, ayant perdu beaucoup, déjà, des membres de ma famille, et ayant à ce titre, pour mon malheur, hérité par anticipation.
D'autre part, dans votre abyssale impolitesse, vous remarquerez que j'ai constaté dans mon précédent mail qu'il était logique que l'état soit partie prenante dans la succession de ladite personne, au regard des nombreuses pensions dont celle-ci à bénéficié jusque là : la seule question étant - je le rappelle - à quelle hauteur la législation prévoit-elle la taxation sur la quotité. Fallait-il en conclure que je souhaitais le décès de quiconque ?
Bref, j'espérais trouver une réponse qui soit plus "vulgarisée"ici, que les textes de loi quelquefois abrupts à la compréhension du néophyte : j'irai donc acheter un ouvrage en librairie traitant la question, prenant soin d'éviter la page des insultes qui, je gage, ne s'y trouvera pas comme ici.