RSA et controle

Legend76 - 16 avril 2016 à 20:58
 zico - 17 avril 2016 à 19:13
Bonjour.
Je viens pour vous demander de l'aide concernant ma situation. Actuellement au RSA et cherchant un emploi, j'étais hébergé chez une amie depuis plusieurs mois.
Il y a 3 jours, j'ai reçu une lettre de controle de la CAF avec une date de passage afin de vérifier, j'imagine, l'état de ma situation maritale.
Mon amie a pris peur et ne veut plus m'héberger. Elle veut que je sois partie pour lundi et je ne sais pas quoi faire concernant le controle?
Je vais être SDF et je ne sais pas quoi dire à la CAF sachant que je ne saurais évidemment pas à l'adresse du RDV... Si je perds mon logement et mon RSA, je suis mort...

Selon vous, que dois-je dire à la CAF à ce sujet? Je comprends la crainte de mon amie pour ses allocations logement et donc je comprends son choix et la remercie pour ces mois d'aides.
J'ai plusieurs entretiens par semaine pour du boulot mais toujours rien, si je me retrouve à la rue sans ressources, j'ai peur de ne pouvoir rebondir.
Merci de votre aide par avance.

2 réponses

Micha1. Messages postés 6307 Date d'inscription dimanche 31 mai 2015 Statut Membre Dernière intervention 3 mars 2017 2 265
17 avril 2016 à 11:29
Bonjour,

et je ne sais pas quoi faire concernant le controle?

Vous devez informer la CAF rapidement, en expliquant votre situation.
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Je suis d'accord avec Micha1
Mais je pense aussi à priori qu'il vous faut aller habiter ailleurs par respect de la personne qui vous hébergeait. Allez voir le CCAS ou une assistante sociale à la mairie
Je pense que si vous ne prévenez pas tout de suite la CAF ça va être dur de convaincre le contrôleur que vous n'êtes pas en couple si en plus vous n'êtes pas en colocation car le gouvernement se fait un point d'honneur à économiser de l'argent sur les tricheurs on en parle assez à la télé et sur internet . .
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Votre amies est elle même en faute car elle ne vous a pas déclaré.
Quant à l'argent, ce n'est pas celui de l'Etat mais de la collectivité des travailleurs qui sont prélevés tous les mois, c'est nous qui sommes volés.
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