Accès parking sousterrain par les piétons
Gayomi Messages postés 21935 Date d'inscription Statut Membre Dernière intervention -
Bonjour,
Je possède un appartement dans une résidence dont le parking est au sous-sol.
Il y a un escalier qui permet aux piétons de sortir mais bon nombre d'usager sorte en passant par la rampe d'accès des voitures en actionnant le portail automatique.
Peut-on les obliger à utiliser les escaliers pour entrer et sortir ?
Merci de votre aide
5 réponses
Bonjour,
D'abord pour des questions de responsabilité, on met une affichette après avoir voté en AG : interdiction de sortie piétons par rampe véhicule pour cause d'accident. Ainsi la responsabilité du syndicat ne devrait pas être engagée.
Ensuite on fait de la com pour les résidents, car je pense que le manu militari n'aura pas cours chez vous .... ;o) ......
Sinon, perso, je ne vois rien d'autre ....
Bonjour,
Les affichettes sont déjà en place depuis plusieurs mois et la com pour les locataires du parking mais qui ne sont pas résidents mais n'y fait...
Le problème c'est que si un jour un conducteur percute un piéton c'est le premier qui aura des ennuis...
La problématique n'est pas la vitesse mais la visibilité car la rampe est à l'intérieur et les jours de plein soleil, ce qui est très fréquent à Nîmes, le contraste jour/obscur en rentrant est très gênant les 2 premiers mètres...et de plus personne n'est parfait et un jour un conducteur rentrera un peu plus vite que d'habitude et percutera un piéton qui n'avait rien à faire à cet endroit...
Peut-on les obliger à utiliser les escaliers pour entrer et sortir ?
Même si l'obligation existe, comment faire respecter l'obligation ?
Des PV "piétons interdits" ?
L'embauche d'un vigile ?
Autre idée ?
" Des PV "piétons interdits" ? " : seuls les agents publics assermentés (police, gendarmerie, maire, agents SNCF, ....) peuvent dresser des PV !
Et ceux-ci n’ont pas autorité pour agir dans le cadre des conflits privés.
Entre personnes privées, même agissant au nom d'un conseil syndical ou d'un syndic, personne ne dispose ainsi d'un pouvoir coercitif ni du droit à une sanction pécuniaire.
On pourrait envisager, par précaution, la pose d'un ou deux ralentisseurs dans l'accès des véhicules et pour le reste faire de la pédagogie encore et encore. C'est désolant et décourageant, mais à part, en effet, l'embauche d'un vigile, démesurée pour ce seul objectif, il ne semble pas y avoir d'autre alternative.
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