Altercation avec ma supérieure
kateh
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prisme social Messages postés 775 Statut Membre -
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Bonjour,
Travaillant dans une société comptant 6 personnes, j'ai été victime de discrimination tant sur mon salaire, inférieur de 300 € pour 23 mois de société, contre une collègue (8 moiis d'ancienneté). Discrimination également quant à ma corpulence physique, beaucoup plus de déplacements à effectuer que les collègues, amis de ma supérieure, les 2 personnes étant mariés avec des enfants, il ne fallait pas les éloigner trop longtemps de leur famille. Des collègues ont entendus les propos déplacés de cette personne, mais face à la pression que leur met ma supérieure, ils sont devenus amnésiques. Bref tout cela pour vous dire que le 13 octobre 2008, mon véhicule était en panne, j'ai prévenu la direction que je serais en retard, nous avions un RDV important à 11 h 30. Après avoir tenté de ma faire dépanner, rien n'y a fait, ma soeur ma donc accompagné sur mon lieu de travail où je suis arrivé à 10 H 40. Au vu de ce que j'avais déjà subi et dans l'état de stress dans lequel j'étais, ma soeur est intervenu à l'extérieur de la société et à discuté avec ma supérieure. Cette dernière s'est sentie agressée, moi je n'étais pas là lorsque ma soeur lui a parlé.
Suite à ceci, ma supérieure se prévaut d'avoir des témoins qui étaient 2 collègues de travail et amie de cette personne. Elle me rejète la faute, mise à pied suite à l'altercation de ma soeur suivi de mon licenciement pour faute grave. Je démarre une procédure prudhommale, mais je ne peux toucher encore les ASSEDIC car depuis mon licenciement effectif le 31 octobre 2008, elle bloque volontairement tous les documents, retard dans l'attestation (manque de tampon, de signature, de date), même chose sur certificat de travail.
Nous avons eu ensemble l'entretien préalable au licenciement (je suis syndiquée, donc j'étais assistée par un délégué), les fait qu'elle a énoncé devant le conseiller et le motif de mon licenciement sont en contradiction avec les fait rapportés sur ma lettre de licenciement.
Lorsqu'elle m'a fait remis en main propre ma mise à pied à titre conservatoire, elle m'a dit que je pourrai dire merci à ma soeur et lorsque je lui ai demandé qu'elle faute j'avais commise, elle m'a dit qu'elle ne savait pas encore, mais qu'elle trouverait, surtout que sur mon travail elle m'a précisé qu'elle n'avait rien à me reprocher.
Suite à une discrimination sur ma corpulence peut-il y avoir annulation de la rupture du contrat de travail, si j'arrive à obtenir les attestations des personnes de différents services qui ont entendus ses propos.
Merci des conseils que vous pourrez m'apporter.
Travaillant dans une société comptant 6 personnes, j'ai été victime de discrimination tant sur mon salaire, inférieur de 300 € pour 23 mois de société, contre une collègue (8 moiis d'ancienneté). Discrimination également quant à ma corpulence physique, beaucoup plus de déplacements à effectuer que les collègues, amis de ma supérieure, les 2 personnes étant mariés avec des enfants, il ne fallait pas les éloigner trop longtemps de leur famille. Des collègues ont entendus les propos déplacés de cette personne, mais face à la pression que leur met ma supérieure, ils sont devenus amnésiques. Bref tout cela pour vous dire que le 13 octobre 2008, mon véhicule était en panne, j'ai prévenu la direction que je serais en retard, nous avions un RDV important à 11 h 30. Après avoir tenté de ma faire dépanner, rien n'y a fait, ma soeur ma donc accompagné sur mon lieu de travail où je suis arrivé à 10 H 40. Au vu de ce que j'avais déjà subi et dans l'état de stress dans lequel j'étais, ma soeur est intervenu à l'extérieur de la société et à discuté avec ma supérieure. Cette dernière s'est sentie agressée, moi je n'étais pas là lorsque ma soeur lui a parlé.
Suite à ceci, ma supérieure se prévaut d'avoir des témoins qui étaient 2 collègues de travail et amie de cette personne. Elle me rejète la faute, mise à pied suite à l'altercation de ma soeur suivi de mon licenciement pour faute grave. Je démarre une procédure prudhommale, mais je ne peux toucher encore les ASSEDIC car depuis mon licenciement effectif le 31 octobre 2008, elle bloque volontairement tous les documents, retard dans l'attestation (manque de tampon, de signature, de date), même chose sur certificat de travail.
Nous avons eu ensemble l'entretien préalable au licenciement (je suis syndiquée, donc j'étais assistée par un délégué), les fait qu'elle a énoncé devant le conseiller et le motif de mon licenciement sont en contradiction avec les fait rapportés sur ma lettre de licenciement.
Lorsqu'elle m'a fait remis en main propre ma mise à pied à titre conservatoire, elle m'a dit que je pourrai dire merci à ma soeur et lorsque je lui ai demandé qu'elle faute j'avais commise, elle m'a dit qu'elle ne savait pas encore, mais qu'elle trouverait, surtout que sur mon travail elle m'a précisé qu'elle n'avait rien à me reprocher.
Suite à une discrimination sur ma corpulence peut-il y avoir annulation de la rupture du contrat de travail, si j'arrive à obtenir les attestations des personnes de différents services qui ont entendus ses propos.
Merci des conseils que vous pourrez m'apporter.
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3 réponses
BOnjour,
Votre question est trop détaillé. pourriez vous vous limiter à une ou deux questions plus succintes ?
Cordialement
Votre question est trop détaillé. pourriez vous vous limiter à une ou deux questions plus succintes ?
Cordialement
laisse tomber kateh, soit il comprend rien soit il a un probleme aussi avec les personnes de forte corpulence
Bonjour
il semblerait dans un premier temps que vous intentiez une action prud'hommale, donc vous devez avoir déjà un avocat et j'ai peur que ce qui pourra être dit ici ne soit redondant.
ensuite pour faire juste un point sur votre dernière question, la réintégration c'est tout de même assez rare dans le cadre d'une décision prud'hommale, en effet les conseillés prud'hommaux étant là pour juger sur les demandes formulés par votre avocat, si celui ci ne demande pas votre réintégration, cela ne veut pas de soit.
enfin et pour faire simple, retourner travailler dans une société où les gens ont si peu de considération pour vous, cela vaut il vraiment le coup ???
à vous lire
il semblerait dans un premier temps que vous intentiez une action prud'hommale, donc vous devez avoir déjà un avocat et j'ai peur que ce qui pourra être dit ici ne soit redondant.
ensuite pour faire juste un point sur votre dernière question, la réintégration c'est tout de même assez rare dans le cadre d'une décision prud'hommale, en effet les conseillés prud'hommaux étant là pour juger sur les demandes formulés par votre avocat, si celui ci ne demande pas votre réintégration, cela ne veut pas de soit.
enfin et pour faire simple, retourner travailler dans une société où les gens ont si peu de considération pour vous, cela vaut il vraiment le coup ???
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