3 réponses
>bonjour
a force de lire sur le harcelement, j'ai mis des mots sur 40 ans de vie avec un salaud!
je vous colle ce que j'ai lu et m'a révélée son identité!
je ne sais pas comment faire , il est charmant avec tout le monde ;je suis le monstre!
La communication perverse
La mise en place de l’empreinte utilise des procédés qui donnent l’illusion de la communication une communication particulière, non pas faite pour relier, mais pour éloigner et empêcher l’échange.
Refuser la communication directe
Quand une question directe est posée, les pervers éludent. Comme ils ne parlent pas, on leur prête grandeur ou sagesse. On entre dans un monde où il y a peu de communication verbale, juste des remarques à petites touches déstabilisantes. Rien n’est nommé, tout est sous-entendu.
Le déni du reproche ou du conflit par l’agresseur paralyse la victime qui ne peut se défendre. L’agression est perpétrée par le refus de nommer ce qui se passe, de discuter, de trouver ensemble des solutions. S’il s’agissait d’un conflit ouvert, la discussion serait possible et une solution pourrait être trouvée.
Devant le refus de communication verbale directe, il n’est pas rare que la victime ait recours aux courriers. Elle écrit des lettres pour demander des explications sur le rejet qu’elle perçoit, puis, n’ayant pas de réponse, elle écrit à nouveau, cherchant ce qui dans son comportement, aurait pu justifier une telle attitude. Il se peut qu’elle finisse par s’excuser de ce qu’elle aurait pu faire, consciemment ou non, pour justifier ou on l’attitude de son agresseur.
Dans certaines entreprises, les victimes qui, pour se protéger, envoient des lettres recommandées sont qualifiées de paranoïaques procédurières.
Quand il y a une réponse, elle est toujours à côté, indifférente.
Déformer le langage
On retrouve chez les pervers quand ils communiquent avec leur victime, une voix froide, blanche, plate, monocorde. C’est une voix sans tonalité affective, qui glace, inquiète, laissant affleurer dans les propos les plus anodins le mépris ou la dérision. La tonalité seule implique, même pour des observateurs neutres, des sous-entendus, des reproches non exprimés, des menaces voilées.
Même lors d’échanges violents le ton ne s’élève pas, laissant l’autre s’énerver tout seul, ce qui ne peut que le déstabiliser «écidément, tu n’es qu’un hystérique qui crie tout le temps »
Très souvent, le pervers ne fait l’effort d’articuler ou bien grommelle quelque chose quand l’autre est dans une autre pièce. Cela met lautre dans l’obligation de se déplacer pour entendre ou bien d’être en position de demandeur en faisant répéter. Il est facile ensuite de lui faire remarquer qu’il n’écoute pas.
Le message d’un pervers est délibérément flou et imprécis, entretenant la confusion. Il peut dire «n’ai jamais dit cela », et éviter tout reproche. En utilisant des allusions, il fait passer ses messages sans se compromettre.
Offrant des propos sans lien logique, il entretient la coexistence de différents discours contradictoires.
Il peut aussi ne pas terminer ses phrases, laissant des points de suspension qui ouvrent la voie à toutes les interprétations et à tous les malentendus. Ou bien il envoie des messages obscurs et refuse de les expliciter.
A une demande de service anodin d’une belle-mère à son gendre
« ce n’est pas possible
- Pourquoi
- Vous devriez le savoir
- Non, je ne comprends pas
- Eh bien, cherchez »
Ces propos sont agressifs mais dits sur un ton normal, calme, presque détendu, et l’autre, dont la réponse agressive est désamorcée a l’impression de réagir à côté.
Un autre procédé verbal habituel des pervers est d’utiliser un langage technique abstrait, dogmatique, pour entraîner l’autre des considérations auxquelles il ne comprend rien, et pour lesquelles il n’ose pas demander d’explications de peur de passer pour un imbécile. Ce qui importe alors dans le discours pervers, c’est la forme plutôt que le fond, paraître savant pour noyer le poisson. Pour répondre à sa femme qui souhaitait parler de leur couple, un mari prend un ton docte
«présentes une problématique typique des femmes castratrices qui projettent sur les hommes leur désir de phallus »
Ces interprétations psychanalytiques sauvages réussissent à déstabiliser l’autre, qui est rarement en état de répliquer pour renverser la situation à son avantage. Les victimes disent souvent que les arguments de leur agresseur sont tellement incohérents qu’elles devraient en rire, mais tant de mauvaise foi les met en colère.
Un autre procédé pervers consiste à nommer les intentions de l’autre ou à deviner ses pensées cachées, comme si on savait mieux que lui ce qu’il pense. « Au fond, je sais très bien que tu te dis que ... »
Mentir
Plus souvent qu’un mensonge direct, le pervers utilise d’abord un assemblage de sous-entendus, de non-dits, destiné à créer un malentendu pour ensuite l’exploiter à son avantage. Il s’agit d’avoir le dessus dans l’échange verbal. Un procédé trop direct amènerait le partenaire à dénoncer l’autoritarisme de l’agresseur. Au contraire, des techniques indirectes le déstabilisent et l’amènent à douter de la réalité de ce qui vient de se passer.
Un autre type de mensonge indirect consiste à répondre de façon imprécise ou à côté, ou par une attaque qui fait diversion. A une femme qui exprimait ses doutes sur la fidélité de son mari «dire quelque chose comme ça, il faut que, toi, tu aies quelque chose à te reprocher »
Le mensonge peut également s’attacher aux détails à sa femme qui lui reproche d’être allé huit jours à la campagne avec une fille, le mari répond
«’est toi la menteuse, d’une part ce n’était pas huit jours mais neuf, et d’autre part, il ne s’agissait pas d’une fille mais d’une femme »
Le mensonge chez le pervers narcissiques ne devient direct que lors de la phase de destruction. C’est alors un mensonge au mépris de toute évidence. C’est surtout un mensonge convaincu qui convainc l’autre. Quelle que soit l’énormité du mensonge, le pervers s’y accroche et finit par convaincre l’autre
a force de lire sur le harcelement, j'ai mis des mots sur 40 ans de vie avec un salaud!
je vous colle ce que j'ai lu et m'a révélée son identité!
je ne sais pas comment faire , il est charmant avec tout le monde ;je suis le monstre!
La communication perverse
La mise en place de l’empreinte utilise des procédés qui donnent l’illusion de la communication une communication particulière, non pas faite pour relier, mais pour éloigner et empêcher l’échange.
Refuser la communication directe
Quand une question directe est posée, les pervers éludent. Comme ils ne parlent pas, on leur prête grandeur ou sagesse. On entre dans un monde où il y a peu de communication verbale, juste des remarques à petites touches déstabilisantes. Rien n’est nommé, tout est sous-entendu.
Le déni du reproche ou du conflit par l’agresseur paralyse la victime qui ne peut se défendre. L’agression est perpétrée par le refus de nommer ce qui se passe, de discuter, de trouver ensemble des solutions. S’il s’agissait d’un conflit ouvert, la discussion serait possible et une solution pourrait être trouvée.
Devant le refus de communication verbale directe, il n’est pas rare que la victime ait recours aux courriers. Elle écrit des lettres pour demander des explications sur le rejet qu’elle perçoit, puis, n’ayant pas de réponse, elle écrit à nouveau, cherchant ce qui dans son comportement, aurait pu justifier une telle attitude. Il se peut qu’elle finisse par s’excuser de ce qu’elle aurait pu faire, consciemment ou non, pour justifier ou on l’attitude de son agresseur.
Dans certaines entreprises, les victimes qui, pour se protéger, envoient des lettres recommandées sont qualifiées de paranoïaques procédurières.
Quand il y a une réponse, elle est toujours à côté, indifférente.
Déformer le langage
On retrouve chez les pervers quand ils communiquent avec leur victime, une voix froide, blanche, plate, monocorde. C’est une voix sans tonalité affective, qui glace, inquiète, laissant affleurer dans les propos les plus anodins le mépris ou la dérision. La tonalité seule implique, même pour des observateurs neutres, des sous-entendus, des reproches non exprimés, des menaces voilées.
Même lors d’échanges violents le ton ne s’élève pas, laissant l’autre s’énerver tout seul, ce qui ne peut que le déstabiliser «écidément, tu n’es qu’un hystérique qui crie tout le temps »
Très souvent, le pervers ne fait l’effort d’articuler ou bien grommelle quelque chose quand l’autre est dans une autre pièce. Cela met lautre dans l’obligation de se déplacer pour entendre ou bien d’être en position de demandeur en faisant répéter. Il est facile ensuite de lui faire remarquer qu’il n’écoute pas.
Le message d’un pervers est délibérément flou et imprécis, entretenant la confusion. Il peut dire «n’ai jamais dit cela », et éviter tout reproche. En utilisant des allusions, il fait passer ses messages sans se compromettre.
Offrant des propos sans lien logique, il entretient la coexistence de différents discours contradictoires.
Il peut aussi ne pas terminer ses phrases, laissant des points de suspension qui ouvrent la voie à toutes les interprétations et à tous les malentendus. Ou bien il envoie des messages obscurs et refuse de les expliciter.
A une demande de service anodin d’une belle-mère à son gendre
« ce n’est pas possible
- Pourquoi
- Vous devriez le savoir
- Non, je ne comprends pas
- Eh bien, cherchez »
Ces propos sont agressifs mais dits sur un ton normal, calme, presque détendu, et l’autre, dont la réponse agressive est désamorcée a l’impression de réagir à côté.
Un autre procédé verbal habituel des pervers est d’utiliser un langage technique abstrait, dogmatique, pour entraîner l’autre des considérations auxquelles il ne comprend rien, et pour lesquelles il n’ose pas demander d’explications de peur de passer pour un imbécile. Ce qui importe alors dans le discours pervers, c’est la forme plutôt que le fond, paraître savant pour noyer le poisson. Pour répondre à sa femme qui souhaitait parler de leur couple, un mari prend un ton docte
«présentes une problématique typique des femmes castratrices qui projettent sur les hommes leur désir de phallus »
Ces interprétations psychanalytiques sauvages réussissent à déstabiliser l’autre, qui est rarement en état de répliquer pour renverser la situation à son avantage. Les victimes disent souvent que les arguments de leur agresseur sont tellement incohérents qu’elles devraient en rire, mais tant de mauvaise foi les met en colère.
Un autre procédé pervers consiste à nommer les intentions de l’autre ou à deviner ses pensées cachées, comme si on savait mieux que lui ce qu’il pense. « Au fond, je sais très bien que tu te dis que ... »
Mentir
Plus souvent qu’un mensonge direct, le pervers utilise d’abord un assemblage de sous-entendus, de non-dits, destiné à créer un malentendu pour ensuite l’exploiter à son avantage. Il s’agit d’avoir le dessus dans l’échange verbal. Un procédé trop direct amènerait le partenaire à dénoncer l’autoritarisme de l’agresseur. Au contraire, des techniques indirectes le déstabilisent et l’amènent à douter de la réalité de ce qui vient de se passer.
Un autre type de mensonge indirect consiste à répondre de façon imprécise ou à côté, ou par une attaque qui fait diversion. A une femme qui exprimait ses doutes sur la fidélité de son mari «dire quelque chose comme ça, il faut que, toi, tu aies quelque chose à te reprocher »
Le mensonge peut également s’attacher aux détails à sa femme qui lui reproche d’être allé huit jours à la campagne avec une fille, le mari répond
«’est toi la menteuse, d’une part ce n’était pas huit jours mais neuf, et d’autre part, il ne s’agissait pas d’une fille mais d’une femme »
Le mensonge chez le pervers narcissiques ne devient direct que lors de la phase de destruction. C’est alors un mensonge au mépris de toute évidence. C’est surtout un mensonge convaincu qui convainc l’autre. Quelle que soit l’énormité du mensonge, le pervers s’y accroche et finit par convaincre l’autre
PORTER PLAINTE !!!
les actes de harcellement sont tres severement punis par la loi ! même dans l'armée !!!(conseil de discipline et mise à pied) il faudra des témoins....et ça se sera plus difficile !
les actes de harcellement sont tres severement punis par la loi ! même dans l'armée !!!(conseil de discipline et mise à pied) il faudra des témoins....et ça se sera plus difficile !
7 déc. 2010 à 17:53
C'est intéressant et tout à fait exact. C'est la situation que je vis en ce moment dans un organisme de sécurité sociale avec une femme ayant déjà eu, dans un précédant poste, un procès pour harcèlement moral...qu'elle a gagné, malheureusement.
Mais j'apporte un point supplémentaire. Le pervers est un manipulateur. Bien souvent il se sert des autres pour transmettre et véhiculer son délire psychotique. Le malheur est quand il parvient à faire des cadres R.H. ses alliés. On peut dire qu'il a tout gagné et peut véhiculer ces dénigrements en toute lattitude. Ceux-ci seront reliés par les responsables. C'est ainsi qu'on peut tuer une réputation, un homme. Je ne comprends pas qu'il n'y ait pas de véritable "aidant" pour juguler cette façon de procéder dans les entreprises, tant publiques, que privées.