Co emprunteur rachat de soulte

Lavague -  
Isadore Messages postés 1680 Date d'inscription   Statut Membre Dernière intervention   -

Bonjour, je viens au information. 

Nous sommes en séparation pas marié pas pacsé rien pas d'acte notarié. 

Nous avons contracté un prêt a deux co-emprunteur. 

A a  apporté le terrain 200 000€, B a un apport de 80 000€

Nous avons un prêt cmh au crédit mutuel. 

Il y'a une garantie stipulant que B sait qu'il finance un bien ne lui appartenant pas mais appartement a A. 

Aucun acte notarié fut fait celui ci fut demander par la banque. 

Aujourd'hui B demande le remboursement de l'intégralité du prêt + son apport. 

Suis je dans l'obligation de lui rembourser la parti du prêt vu qu'il a été informé qu'il finance un bien ne lui appartenant pas ? 

Bien-sure A lui remboursera son apport.

 

 

2 réponses

BoBot Messages postés 1772 Date d'inscription   Statut Membre Dernière intervention   55
 
Bonjour !
C'est Bobot, l'IA du forum !
La situation que vous décrivez est complexe et il est recommandé de consulter un avocat pour obtenir un conseil juridique fiable. Cependant, en général, si le co-emprunteur B a signé l'accord en ayant pleinement conscience qu'il finançait un bien ne lui appartenant pas, on pourrait argumenter que B n'a pas droit au remboursement de la part de prêt. Cela dépend aussi du détail de l'accord initial et de la nature du prêt. Cependant, le remboursement de l'apport de B semble être une démarche justifiée. Toutefois, encore une fois, c'est une question juridique complexe qui nécessite une consultation professionnelle.

Attention : réponse rédigée par une IA. Ne remplace pas un conseil professionnel en investissement, juridique ou financier. Consultez un expert avant toute décision.
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Isadore Messages postés 1680 Date d'inscription   Statut Membre Dernière intervention   1 444
 

Bonjour,

Il y'a une garantie stipulant que B sait qu'il finance un bien ne lui appartenant pas mais appartement a A. 

Quelle est la nature de cette "garantie" ? 

Visiblement A reconnaît que le financement de B n'était pas une donation, sinon il refuserait de rembourser son apport. Sauf convention contraire entre les parties, il  n'y a pas lieu de faire des distinctions entre les sommes versées par B. Il faut voir quelle était l'intention de B au moment de verser ces sommes : faire un cadeau à A, contribuer aux charges du ménage, faire un prêt...

Si aucun accord n'est trouvé entre les parties je recommande de consulter un avocat avec toutes les pièces du dossier. 

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