Refus de transfère de Bail suite décès
Lalice75020 Messages postés 6 Date d'inscription lundi 10 octobre 2022 Statut Membre Dernière intervention 11 octobre 2022 - 11 oct. 2022 à 00:49
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5 réponses
10 oct. 2022 à 11:21
"J'ai lue que je pouvais percevoir l'APL pour les occupant qui paie le loyer ? Le bailleur à refuser de remplir le cerfa de la CAF pour l'APL via sous-occupation."
En tant qu'occupant sans droit ni titre vous avez le droit à rien. Le bailleur est dans son droit.
"Dans la loie "les locataires" ont un délais d'imposé mais pas les bailleurs, ce n'est pas une balance équitable. "
De quel délai vous parlez ?
Car ça se saurait si les bailleurs étaient en situation de force par rapport aux locataires, c'est très clairement l'inverse.
"Ils sont donc aussi bloqué !"
En quoi sont-ils bloqués ?
Vous oubliez qu'en étant sans droit ni titre il peuvent demander votre expulsion à tout moment.
Ils ne sont pas tenus de vous reloger.
"Est-ce que en justice je peux défendre cette unique chambre de dispo qui coule de sources au vu d'un décès. "
Défendre à quel sujet ?
"Puis-je les bloquer car ils ne trouverons jamais un loyer plus bas en exigent un délais pour ce relogement car sur Paris ça peut durer 10ans"
Peut-être pas 10ans, mais facilement 2ans probablement.
Modifié le 10 oct. 2022 à 16:39
- : SVP vous ne m'aidez pas là. Vous savez de quoi vous parlez ?
Vous me dites : " Vous oubliez qu'en étant sans droit ni titre il peuvent demander votre expulsion à tout moment. Ils ne sont pas tenus de vous reloger."
- : Sérieusement, vous savez de quoi vous parlez ?? A l’article L 442-3-1 du Code de la Construction et de l’Habitation issu du livre IV intitulé « habitations à loyer modéré » dispose que :
« En cas de sous-occupation du logement telle que définie à l’article L. 621-2, le bailleur propose au locataire un nouveau logement correspondant aux besoins du déscendant du locataire défunt, nonobstant les plafonds de ressources prévus à l’article L. 441-1.
Ici vous me renseignez donc mal, il y a obligation à cet article
---
On reprend :
- : "J'ai lue que je pouvais percevoir l'APL pour les occupant qui paie le loyer ? Le bailleur à refuser de remplir le cerfa de la CAF pour l'APL via sous-occupation."
Vous : En tant qu'occupant sans droit ni titre vous avez le droit à rien. Le bailleur est dans son droit.
Sur le site de la CAF : (..) Il faut réaliser la demande d'Allocation logement en ligne sur le Caf.fr pour ouvrir des droits. Dans certains cas, une attestation de loyer complétée par le bailleur, doit être adressée à la Caf. Le droit à l'Allocation logement est lié à l'occupation du logement et au paiement d'un loyer.
https://www.caf.fr/allocataires/caf-de-l-ain/offre-de-service/vie-personnelle/votre-vie-evolue-votre-declaration-aussi/vous-beneficiez-de-l-allocation-logement#:~:text=Il%20faut%20r%C3%A9aliser%20la%20demande,au%20paiement%20d'un%20loyer.
On reprend :
en rapport à : "Ils sont donc aussi bloqué !"
Vous : En quoi sont-ils bloqués ? Vous oubliez qu'en étant sans droit ni titre il peuvent demander votre expulsion à tout moment. Ils ne sont pas tenus de vous reloger.
Re: le loyer principal du nouveau logement doit être inférieur à celui du logement d’origine. Donc difficile de trouver loyer inférieur, oui ils sont bloqués et moi avec.
On reprend :
- "Dans la loie "les locataires" ont un délais d'imposé mais pas les bailleurs, ce n'est pas une balance équitable. "
Vous : De quel délai vous parlez ? Car ça se saurait si les bailleurs étaient en situation de force par rapport aux locataires, c'est très clairement l'inverse.
- Re :
l’article 10 de la loi n° 48-1360 du 1er septembre 1948 : A l’expiration d’un DELAIS DE 6 mois à compter de la notification de la troisième offre de relogement, le locataire est déchu de tout titre d’occupation des locaux loués ».
- Donc les délais vont que dans un sens. Le temps qu'il nous trouve un logement au loyer inférieur et ce sur Paris, sans délais on va vivre sur la sellette.
MOI - : En conclusion, laissez tombé, vos réponses sont tellement personnel et visiblement vous ne connaissez pas la loi. Pourtant Il y a beaucoup de vos confrères ici qui contredisent vos petits avis personnel, puise qu'ils informent de cette obligation de relogement et autre... Pour ma part je veux faire valoir des délais et souhaitais savoir comment, car je peux attendre 10 ans, mais non la encore car ils sont bloqué pour trouver un loyer plus bas, si délais alors on reste chez nous, CQFD.
Un de vos investissement locatif vous fond voir le choses différemment ?
Merci, je vous tiendrais au courant, enfin les lecteurs ici dans les cases de nos soucis de VDM en deuil
Modifié le 10 oct. 2022 à 16:17
Bonjour,
« En cas de sous-occupation du logement telle que définie à l’article L. 621-2, le bailleur propose au locataire un nouveau logement correspondant aux besoins du déscendant du locataire défunt, nonobstant les plafonds de ressources prévus à l’article L. 441-1.
Ici vous me renseignez donc mal, il y a obligation à cet article
Sauf que vous êtes occupant sans titre ni droit et non locataire
Modifié le 10 oct. 2022 à 17:24
Creusez avec moi :
(...) En cas de refus de transfère de bail aux descendant du défunt parent, dans le cas de sous occupation des lieux, "il n’est pas possible de dire qu’ils sont sans droit, ni titre" par l’article L442-1-3 créée par la loi N°2009-323 du 25 mars 2009 précisant uniquement que, dans ce cas, le bailleur est tenu de proposer « au locataire un nouveau logement correspondant à ses besoins » et « sur les territoires définis au 7 de l’article 10 de la loi n°48-1360 du 1er septembre 1948″, trois offres de relogement." (...)
Eux comme moi sommes bloqués car ils ne pourront jamais trouver un logement au loyer inférieur. Seul des délais peuvent nous sauver, car comme expliquer sur Paris ce peut attendre des lustres et je passe à cote du panel des aides sociale comme l APL, je le souligne car mon RSA couvre uniquement le loyer. C'est un cercle vicieux. Puis-je gagner en justice pour débloquer la situation et conclure que les lois et articles font que eux comme moi sommes bloqués.
Eux qui ne trouverons pas (bloqué) et moi qui ne sera pas reloger de fait, dans leur courrier je reste jusqu'a relogement dans l'attente de trouver un loyer plus bas, donc impossible. Je veux faire pencher la balance de mon côte comme toute personne qui ce respecte. Personne ne commende le choix du covid de vous enmener ou pas ni même de la vie. Nous ne sommes pas des opportunistes ni des voleur car nous sommes regarder de la sorte
sources https://www.avocatconseilparis.com/publications/logement-hlm-jurisprudence-deces-du-parent-qui-occupait-le-logement-transmission-du-bail-et-obligation-en-cas-doccupation-insuffisante-de-formuler-des-offres-de-relogementganisme-en-cas-de
10 oct. 2022 à 16:24
"Ils ne sont pas tenus de vous reloger." Sérieusement, vous savez de quoi vous parlez ?? "
Oui, car vous êtes occupant sans droit ni titre et non locataire.
A partir de là rien de ce que vous citez ne s'applique.
10 oct. 2022 à 16:48
Ok alors je dois rester dans de bon terme avec eux, car j'étais prête a aller me foutre en l'air devant leur bureau. Plus rien a perdre.
Modifié le 10 oct. 2022 à 16:51
Alors sommes nous donc "des squoiteurs" qui paye un loyer au yeux de la loi ? Dites moi OUI ou NON, je suis prête et vous autorise.
Pour un transfère de bail refusé car il y a la chambre de ma mère disponible car décédée ? Puis-je aller me défendre au tribunal sans être rebouter ?
Modifié le 10 oct. 2022 à 19:20
Un squatteur est quelqu'un qui est entré dans un logement par effraction... donc ce n'est pas votre cas.
En attendant de savoir si vous serez débouté (et pas "rebouté"), consultez un avocat.
10 oct. 2022 à 17:06
bonjour,
ai trouvé ce texte d'un avocat au barreau de Paris :
<< (...)
En application des dispositions susvisées, il convient de considérer que les descendants bénéficient, en vertu de l’article 14 de la loi du 6 juillet 1989, au jour du décès du locataire, d’un transfert du bail HLM automatique.
Ils doivent justifier d’une occupation de l’appartement, avant le décès du locataire, d’au moins un an.
Par ailleurs, en cas de sous occupation des lieux, il n’est pas possible de dire qu’ils sont sans droit, ni titre, l’article L442-1-3 créée par la loi N°2009-323 du 25 mars 2009 précisant uniquement que, dans ce cas, le bailleur est tenu de proposer « au locataire un nouveau logement correspondant à ses besoins » et « sur les territoires définis au 7 de l’article 10 de la loi n°48-1360 du 1er septembre 1948″, trois offres de relogement.
Ce n’est qu’à l’expiration d’un délai de « six mois à compter de la notification de la troisième offre de relogement » que le « locataire est déchu de tout titre d’occupation des locaux loués. »
.
"Puis-je défendre cette chambre libre comme mon bureau pour mon activité "
Il me semble (à vérifier donc) qu'il n'y a pas besoin de demande d'accord SI l'activité n'oblige pas à recevoir des personnes chez soi : donc, une "activité" qui n'aurait pas pour conséquences des va et vient incessants serait libre....
.
Par ailleurs, vous semblez avoir assez de ressources mentales pour vous défendre contre votre bailleur et ici même sur ce forum contre les intervenants bénévoles que nous sommes... alors mettre toute cette énergie dans une reprise sérieuse de votre activité me semblerait bien + utile pour vous et votre fiston :-) Ne croyez-vous pas ?
Bon courage.
Il y a dans les mairies des consultations gratuites d'avocats : il serait peut-être intéressant pour vous d'en rencontrer un.... renseignez-vous.
(Oserais-je vous dire que j'ai dû travailler le jour-même de l'enterrement de ma mère parce que mon associée - profession libérale paramédicale - avait refusé de me remplacer.... ?)
cdt.
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Posez votre question11 oct. 2022 à 00:49
OMG