Vice caché suite vente d'un VL : que faire ?

Bonjour, je suis en Nouvelle Calédonie mais à priori sous le coup de la  loi française.

J'ai vendu un véhicule d'occasion (NISSAN MURANO - 136000kms - 7000€) avec un contrôle technique de moins de 10 jours.

J'ai préalablement traité les 2 points relevés par le contrôle technique comme devant l'être (klaxon inopérant et efficacité insuffisante du frein de parking)

L'acheteur a effectué un essai du véhicule avant de décider de le prendre.

3 semaine après la vente, l'acheteur m'annonce avoir eu un problème d'échauffement du moteur en lien avec une fuite sur le radiateur. Par correction vis à vis de l'acheteur, j'ai accepter de prendre en charge 50% du cout du remplacement du radiateur.

1.5 mois après la vente, l'acheteur m'indique avoir le véhicule immobilisé par son garagiste pour raison de sécurité lié à une usure excessive du train avant. Compte-tenu d'un devis de réparation de 1400€ environ, l'acheteur envisage d'engager une procédure pour vice caché avec le support de la protection juridique de son assurance.

Que dois-je faire dans cette situation ?

J'ai le sentiment de ne pas avoir fait une faute ou un oubli, le contrôle technique n'ayant rien détecté concernant cette partie du véhicule qui fait bien l'objet de points de contrôle et d'autre part, je n'ai jamais ressenti de soucis à la conduite de mon véhicule jusqu'alors.

Est-ce que je dois prévenir mon assurance (qui est la même que celle de l'acheteur d'ailleurs !) pour me prémunir contre la démarche qui va être engagée ? (j'ai cependant arrêté mon assurance suite à la vente, n'ayant plus de véhicule à assurer)

Je suis inquiet sur la suite que risque d'avoir cette situation : que risque-t-il de se passer ?

Merci d'avance des réponses et conseils que vous pourriez me donner?

Bien Cordialement,