Achat d'une maison (galère)

Bonjour

Je m'occupe d'un dossier qui concerne mon père et qui traîne depuis le 4 avril 2003.
Mon père, était locataire d'un logement attenant à celui de la propriétaire depuis le 1er octobre 1987.
A la suite du décès de la propriétaire fin 2002, sa nièce a décidée de vendre la maison en sa totalité.
Elle est venue visiter la maison, avec le notaire qui allait s'occuper de la vente de la vente. Ce jour là, le notaire a dit à mon père que la maison allait être vendue, et que s'il était intéressé, d'attendre son courrier.
Le 4 avril 2003, mon père recevait un courrier du notaire lui proposant d'acheter la maison en sa totalité. Et il lui accordait un délai de réflexion de deux mois, (4 avril donc jusqu'au 3 juin 2003). Mais une chose m'a intriguée ainsi que mon père.
Le courrier que mon père avait reçus ce 4 avril 2003, était anti daté du 26 septembre 2001.
Au mois de mai 2003, mon père a fait savoir au notaire son désir d'acquérir la maison car il était d'accord et sur le prix et sur la chose proposée. Et là les problèmes ont débutés.
Nous avons appris qu'un compromis de vente avait dore et déjà était signé:
- Compromis signé par les nouveaux acquéreurs le 11 avril, (les deux acquéreurs travaillent tous deux au sein de l'étude du notaire);
- Et le 26 avril compromis signé par les deux vendeuses.
Donc, non respect du délai de réflexion accordé à mon père.
D'après un conciliateur que j'ai contacté, il parait que selon l'Article 1583 mon père serait propriétaire du bien proposé vu qu'il a répondu dans les délais.

Suite à cela mon père a décidé de porter l'affaire devant la justice et là, à nouveau des galères.
- Un premier avocat attribué par le BAJ qui devait défendre mon père. Nous a mené en bateau car en même temps elle défendait et elle défend les deux acquéreurs.
Et les intérêts du notaire.
- Ensuite un deuxième avocat à qui mon père lui a demandé d'annuler la vente. Mais elle a préféré demander des dommages et intérêts. Il en ressort que mon père n'a jamais voulu la maison.
- Et actuellement depuis 2010, un troisième avocat a qui mon père a versé plus de 5000 euros en espèces et nous n'avons aucunes factures.

En 2013, j'ai écris à Mme le Bâtonnier du TGI des deux premiers avocats. ET à ce jour je n'ai aucune réponse de sa part.

Dernièrement j'ai pris contact avec le bâtonnier du TGI du troisième avocat. Et dernièrement j'ai reçus un courrier de sa part: dossier référencé en déontologie.

En 2013, mon père a dus déménager car il allait être expulsé par les forces de l'ordre.
Sachez, que mon père est de nationalité Espagnole et qu'il parle mal le Français, il est âgé de 78 ans, et handicapé à 90%.
Je trouve honteux que des personnes qui exercent un métier d'homme de loi agissent ainsi.

Au mois d'avril 2003, mon père était tout content car on venait de lui proposer d'acheter la maison où il vivait depuis 16 années. D'autant plus, que le logement attenant au sien il aurait put le louer aussitôt, ce qui lui aurait payé le crédit. A l'heure actuelle, la maison serait finie de payer.

Mon n'a fait que répondre à une offre qui lui a été faite et depuis il vit un calvaire.
Il veut que réparation soit faite et que chaque personne soit condamnée à sa juste valeur.
Plus des dommages et intérêts pour tous les préjudices subits.

O n'a pas le droit d'agir ainsi, surtout lorsque l'on occupe un emploi représentant la loi. (Les lois sont et doivent être respecter par tout le monde).
Mon père veut et à toujours voulu la maison.
Je ne sais plus quoi faire?

un grand merci à ceux qui pourront m'aider