Qui sont les héritiers réservataires
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Ysabe_l
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sophiag Messages postés 40673 Date d'inscription Statut Contributeur Dernière intervention -
sophiag Messages postés 40673 Date d'inscription Statut Contributeur Dernière intervention -
Bonjour,
Je voudrais savoir qui sont exactement les héritiers réservataires.
Je sais que les enfants le sont, les parents aussi il me semble ainsi que les époux.
Pour le cas dont je parle, il s'agit d'un monsieur
- qui n'a plus ses parents
- n'a jamais eu d'enfants
- a des frères et soeurs en vie qu'il n'a pas vu depuis plus de 50 ans
- a des neveux et nièces qu'il n'a jamais vu
Par ailleurs
- il a été marié pendant plus 50 ans et sa femme est décédée il y a 5 ans (ils étaient bien sûr encore mariés à son décès)
- il a élevé les enfants de sa femme depuis leur jeunesse
- les enfants de sa femme le considèrent comme leur père (et il les considère comme ses enfants), de même pour la descendance, les petits enfants de sa femme le considèrent comme un grand père et les arrières petits enfants de sa femme le considèrent comme un arrière grand père, le tout avec la réciproque.
Il ne souhaite pas laisser quoi que ce soit à sa famille qui l'a renié voici plus d'un demi-siècle et souhaite tout laisser à sa famille de coeur. En a-t-il la possibilité ?
S'il ne fait pas de testament a qui iront ses biens ?
Merci d'avance.
Je voudrais savoir qui sont exactement les héritiers réservataires.
Je sais que les enfants le sont, les parents aussi il me semble ainsi que les époux.
Pour le cas dont je parle, il s'agit d'un monsieur
- qui n'a plus ses parents
- n'a jamais eu d'enfants
- a des frères et soeurs en vie qu'il n'a pas vu depuis plus de 50 ans
- a des neveux et nièces qu'il n'a jamais vu
Par ailleurs
- il a été marié pendant plus 50 ans et sa femme est décédée il y a 5 ans (ils étaient bien sûr encore mariés à son décès)
- il a élevé les enfants de sa femme depuis leur jeunesse
- les enfants de sa femme le considèrent comme leur père (et il les considère comme ses enfants), de même pour la descendance, les petits enfants de sa femme le considèrent comme un grand père et les arrières petits enfants de sa femme le considèrent comme un arrière grand père, le tout avec la réciproque.
Il ne souhaite pas laisser quoi que ce soit à sa famille qui l'a renié voici plus d'un demi-siècle et souhaite tout laisser à sa famille de coeur. En a-t-il la possibilité ?
S'il ne fait pas de testament a qui iront ses biens ?
Merci d'avance.
A voir également:
- Qui sont les héritiers réservataires
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- Modèle lettre de désistement des héritiers pour une voiture pdf ✓ - Forum Donation-Succession
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5 réponses
Il ne souhaite pas laisser quoi que ce soit à sa famille qui l'a renié voici plus d'un demi-siècle et souhaite tout laisser à sa famille de coeur. En a-t-il la possibilité ?
Oui, s'il fait un testament en faveur des membres de la famile de son ex épouse, mais fiscalement ce sont des étrangers, ils paieront donc, le moment venu, 60% de droits de succession sur l'actif qu'ils recevront.
S'il ne fait pas de testament a qui iront ses biens ?
A sa propre famille, c'est à dire à ses frères et soeurs ou à ses neveux en cas de pré décès de frères ou soeurs.
Oui, s'il fait un testament en faveur des membres de la famile de son ex épouse, mais fiscalement ce sont des étrangers, ils paieront donc, le moment venu, 60% de droits de succession sur l'actif qu'ils recevront.
S'il ne fait pas de testament a qui iront ses biens ?
A sa propre famille, c'est à dire à ses frères et soeurs ou à ses neveux en cas de pré décès de frères ou soeurs.
D'accord, merci beaucoup de ces renseignements !
Coucou Sophiag,
ce lien afin que tu comprennes -:))
https://droit-finances.commentcamarche.com/forum/affich-6736441-harcelement-moral-envers-mon-petit-fils
Bonne journée
ce lien afin que tu comprennes -:))
https://droit-finances.commentcamarche.com/forum/affich-6736441-harcelement-moral-envers-mon-petit-fils
Bonne journée
Ce n'était pas des conseils que vous avez donné je suis désolée,vous avez accablé mes dires avec des suppositions que vous vous êtes vous même crées ,vous voyez vous voyez, vous considérez mes propos comme du "harcèlement" alors que vous avez réfuté ce terme employé par moi même pour mon petit fils qui vit certainement une situation beaucoup difficile a gérer que la vôtre,vous êtes adulte vous avez les mots qu'il faut pour vous défendre (si je puis dire)LUI NON!!! Rassurez vous je ne suivrez pas longtemps votre profil les personnes comme vous n'ont rien a m'apporter de positif* J'arrête de vous "harceler" pauvre enfant!
Alors je pense que soit vous n'avez pas du tout compris ma réponse soit vous confondez avec une autre personne.
La seule chose que je vous ai dit c'est de donner plus de détails sur ce que vous appelez harcèlement parce que le seul fait de ne pas pouvoir téléphoner à sa mère (seul exemple que vous avez donné) n'est pas recevable.
Maintenant si vous refusez de dire ce qu'il subit comme harcèlement on ne peut vous donner aucun autre conseil. Je peux parfaitement comprendre que vous ne souhaitiez pas étaler votre vie, et surtout celle de l'enfant en public, mais dans ce cas, et encore une fois c'est juste ce que je vous ai dit, il faut voir un avocat et tout lui expliquer.
Tout le reste de votre message ce n'est que des ressentis et aucun fait concert. Un juge ne se basera jamais sur des ressentis si on ne lui présente aucun fait. Et encore pire si le seul fait présenté est un fait qui n'en est pas un (l'absence de coup de téléphone).
Je n'ai en aucun cas remis en cause ce que subit votre petit fils ! J'ai juste expliqué que si vous voulez des conseils adaptés il faut en dire plus et si vous ne voulez pas le faire en public il faut le faire avec un avocat.
La seule chose que je vous ai dit c'est de donner plus de détails sur ce que vous appelez harcèlement parce que le seul fait de ne pas pouvoir téléphoner à sa mère (seul exemple que vous avez donné) n'est pas recevable.
Maintenant si vous refusez de dire ce qu'il subit comme harcèlement on ne peut vous donner aucun autre conseil. Je peux parfaitement comprendre que vous ne souhaitiez pas étaler votre vie, et surtout celle de l'enfant en public, mais dans ce cas, et encore une fois c'est juste ce que je vous ai dit, il faut voir un avocat et tout lui expliquer.
Tout le reste de votre message ce n'est que des ressentis et aucun fait concert. Un juge ne se basera jamais sur des ressentis si on ne lui présente aucun fait. Et encore pire si le seul fait présenté est un fait qui n'en est pas un (l'absence de coup de téléphone).
Je n'ai en aucun cas remis en cause ce que subit votre petit fils ! J'ai juste expliqué que si vous voulez des conseils adaptés il faut en dire plus et si vous ne voulez pas le faire en public il faut le faire avec un avocat.
Abindidon, oui !
En effet.
;-)
Je suis bien aise que dans ce domaine un peu aride qu'est le Droit nous soyons detanzantan ... harcelés de réponses aussi pittoresques que celles-ci !
Ça détend.
Quand on lit le vocabulaire employé par cette pauvre femme (ce qui reste à prouver, car malgré mon penchant naturel pour la parité j'ai comme un doute, soudain ...), on peut se poser des vraies questions sur le rapport qui peut exister entre un fort attrait quasi spontané pour les sous-vêtements féminins bas-ventraux et le besoin violemment affiché de vouloir passer pour une brave dame cherchant à sauver son petit-fils des griffes d'on ne sait quels Thénardiers putatifs, dont le propre père de ce dernier.
Il me semble qu'un sujet similaire avait fait l'objet d'une thèse, remarquable, de doctorat fin de cycle en psychiatrie dans les années 74/75
À l'université de Memphis, bien sûr ...
Et entre temps, il paraît que ça se soigne assez facilement.
Encore faut-il le vouloir.
"Bon l'affaire est close! " : encore de vaines promesses !
En effet.
;-)
Je suis bien aise que dans ce domaine un peu aride qu'est le Droit nous soyons detanzantan ... harcelés de réponses aussi pittoresques que celles-ci !
Ça détend.
Quand on lit le vocabulaire employé par cette pauvre femme (ce qui reste à prouver, car malgré mon penchant naturel pour la parité j'ai comme un doute, soudain ...), on peut se poser des vraies questions sur le rapport qui peut exister entre un fort attrait quasi spontané pour les sous-vêtements féminins bas-ventraux et le besoin violemment affiché de vouloir passer pour une brave dame cherchant à sauver son petit-fils des griffes d'on ne sait quels Thénardiers putatifs, dont le propre père de ce dernier.
Il me semble qu'un sujet similaire avait fait l'objet d'une thèse, remarquable, de doctorat fin de cycle en psychiatrie dans les années 74/75
À l'université de Memphis, bien sûr ...
Et entre temps, il paraît que ça se soigne assez facilement.
Encore faut-il le vouloir.
"Bon l'affaire est close! " : encore de vaines promesses !
.
Il est toujours encore prodigieux et stupéfiant de voir que certaines personnes cherchent à prouver qu'elles sont un specimen unique de vertu en écrivant les pires Z'orreurs en quelques lignes, en commettant de belles fôtes de français tout en ayant reproché la même chose à d'autres peu de temps avant, en méprisant gaillardement les règles de ponctuation (comme par exemple l'usage abusif et donc à mauvais escient des astérisques, l'oubli des accents sur les capitales et j'en passe), et en avouant a contrario que c'est elle qui "connaît les vraies insultes".
Il convient de noter qu'il n'est pas difficile de croire cette dernière allégation : quand un descendant de douze ans d'âge (ce qui est certes vieux pour un pur malt mais très jeune pour un humain) sait déjà allègrement traiter les adultes de "ploucs", on peut facilement imaginer dans quel milieu de grossièreté ce pauvre petit doit baigner depuis sa naissance.
Comme dirait Sagan : bonjour tristesse !
On se demande pourquoi il tient tellement à téléphoner quand il est chez son père : peut-être que ce dernier ne lui parle qu'avec élégance et il est en manque ?
Ou alors c'est pas le même, peut-être ?
Difficile de se faire une idée, en effet, avec des informations aussi (volontairement ?) parcellaires.
Padbol ...
Mais c'est sans doute le but recherché, aussi ....
"tu était commandant dans l'armée de l'air***" : encore une légère rectification à apporter : les insignes de commandant, ce n'est pas trois étoiles, mais quatre galons.
Il est toujours encore prodigieux et stupéfiant de voir que certaines personnes cherchent à prouver qu'elles sont un specimen unique de vertu en écrivant les pires Z'orreurs en quelques lignes, en commettant de belles fôtes de français tout en ayant reproché la même chose à d'autres peu de temps avant, en méprisant gaillardement les règles de ponctuation (comme par exemple l'usage abusif et donc à mauvais escient des astérisques, l'oubli des accents sur les capitales et j'en passe), et en avouant a contrario que c'est elle qui "connaît les vraies insultes".
Il convient de noter qu'il n'est pas difficile de croire cette dernière allégation : quand un descendant de douze ans d'âge (ce qui est certes vieux pour un pur malt mais très jeune pour un humain) sait déjà allègrement traiter les adultes de "ploucs", on peut facilement imaginer dans quel milieu de grossièreté ce pauvre petit doit baigner depuis sa naissance.
Comme dirait Sagan : bonjour tristesse !
On se demande pourquoi il tient tellement à téléphoner quand il est chez son père : peut-être que ce dernier ne lui parle qu'avec élégance et il est en manque ?
Ou alors c'est pas le même, peut-être ?
Difficile de se faire une idée, en effet, avec des informations aussi (volontairement ?) parcellaires.
Padbol ...
Mais c'est sans doute le but recherché, aussi ....
"tu était commandant dans l'armée de l'air***" : encore une légère rectification à apporter : les insignes de commandant, ce n'est pas trois étoiles, mais quatre galons.
Bonjour BmV
Clap, clap, clap
Tout est bien résumé avec une belle prose en prime.
Je rajouterais que de " faire lire" le sujet à un enfant de 12 ans, le mettre dans ce genre de confidence (qui parle de son papa en négative), le positionner dans un conflit de loyauté, démontre et à juste titre, que c'est bien la grand-mère et la Maman qui sont à l'origine de cette aliénation parentale.
Comme je suis dans mon bon jour de bonté, je porte à votre information que cette attitude est connue des JAF qui de par leur grande expérience, ont la capacité à repérer rapidement quand un enfant est aliéné, voir traduire ce qui est dit sur le papa en faisant une analyse rapide du but recherché.
Par conséquent, le Code civil prévoit aussi que dans le cas ou le parent gardien ne fait pas tout pour préserver la relation avec l'autre parent, le JAF peut, soit ordonner une enquête sociale (ils vont être gâtés avec vous) et à la demande du père, soit transféré la garde de l'enfant chez lui, soit mettre en place une garde alternée, soit encore, si vraiment l'entourage est néfaste au bon développement de l'enfant, mettre en place des visites médiatisées pour la maman.
C'est pourquoi ces jeux dangereux qui ont pour conséquence de faire souffrir le petit-fils et le fils, sont réprimées par la loi.
Code civil en cadeau et cadeau aussi des symptômes de l'aliénation parentale et la, MERCI DE FAIRE LIRE A VOTRE PETIT FILS, cela lui sera d'une grande aide pour pouvoir s'exprimer et comprendre ce qu'il subit.
Article 373-2 du code civil
La séparation des parents est sans incidence sur les règles de dévolution de l'exercice de l'autorité parentale.
Chacun des père et mère doit maintenir des relations personnelles avec l'enfant et respecter les liens de celui-ci avec l'autre parent.
Article 373-2-1 du code civil
Si l'intérêt de l'enfant le commande, le juge peut confier l'exercice de l'autorité parentale à l'un des deux parents.
L'exercice du droit de visite et d'hébergement ne peut être refusé à l'autre parent que pour des motifs graves.
Lorsque, conformément à l'intérêt de l'enfant, la continuité et l'effectivité des liens de l'enfant avec le parent qui n'a pas l'exercice de l'autorité parentale l'exigent, le juge aux affaires familiales peut organiser le droit de visite dans un espace de rencontre désigné à cet effet.
Lorsque l'intérêt de l'enfant le commande ou lorsque la remise directe de l'enfant à l'autre parent présente un danger pour l'un d'eux, le juge en organise les modalités pour qu'elle présente toutes les garanties nécessaires. Il peut prévoir qu'elle s'effectue dans un espace de rencontre qu'il désigne, ou avec l'assistance d'un tiers de confiance ou du représentant d'une personne morale qualifiée.
Le parent qui n'a pas l'exercice de l'autorité parentale conserve le droit et le devoir de surveiller l'entretien et l'éducation de l'enfant. Il doit être informé des choix importants relatifs à la vie de ce dernier. Il doit respecter l'obligation qui lui incombe en vertu de l'article 371-2.
_______________________________________
Article 373-2-6 du code civil
Le juge du tribunal de grande instance délégué aux affaires familiales règle les questions qui lui sont soumises dans le cadre du présent chapitre en veillant spécialement à la sauvegarde des intérêts des enfants mineurs.
Le juge peut prendre les mesures permettant de garantir la continuité et l'effectivité du maintien des liens de l'enfant avec chacun de ses parents.
Il peut notamment ordonner l'interdiction de sortie de l'enfant du territoire français sans l'autorisation des deux parents. Cette interdiction de sortie du territoire sans l'autorisation des deux parents est inscrite au fichier des personnes recherchées par le procureur de la République.
____________________________________________
Article 373-2-12 du code civil
Avant toute décision fixant les modalités de l'exercice de l'autorité parentale et du droit de visite ou confiant les enfants à un tiers, le juge peut donner mission à toute personne qualifiée d'effectuer une enquête sociale. Celle-ci a pour but de recueillir des renseignements sur la situation de la famille et les conditions dans lesquelles vivent et sont élevés les enfants.
Si l'un des parents conteste les conclusions de l'enquête sociale, une contre-enquête peut à sa demande être ordonnée.
L'enquête sociale ne peut être utilisée dans le débat sur la cause du divorce.
Clap, clap, clap
Tout est bien résumé avec une belle prose en prime.
Je rajouterais que de " faire lire" le sujet à un enfant de 12 ans, le mettre dans ce genre de confidence (qui parle de son papa en négative), le positionner dans un conflit de loyauté, démontre et à juste titre, que c'est bien la grand-mère et la Maman qui sont à l'origine de cette aliénation parentale.
Comme je suis dans mon bon jour de bonté, je porte à votre information que cette attitude est connue des JAF qui de par leur grande expérience, ont la capacité à repérer rapidement quand un enfant est aliéné, voir traduire ce qui est dit sur le papa en faisant une analyse rapide du but recherché.
Par conséquent, le Code civil prévoit aussi que dans le cas ou le parent gardien ne fait pas tout pour préserver la relation avec l'autre parent, le JAF peut, soit ordonner une enquête sociale (ils vont être gâtés avec vous) et à la demande du père, soit transféré la garde de l'enfant chez lui, soit mettre en place une garde alternée, soit encore, si vraiment l'entourage est néfaste au bon développement de l'enfant, mettre en place des visites médiatisées pour la maman.
C'est pourquoi ces jeux dangereux qui ont pour conséquence de faire souffrir le petit-fils et le fils, sont réprimées par la loi.
Code civil en cadeau et cadeau aussi des symptômes de l'aliénation parentale et la, MERCI DE FAIRE LIRE A VOTRE PETIT FILS, cela lui sera d'une grande aide pour pouvoir s'exprimer et comprendre ce qu'il subit.
Article 373-2 du code civil
La séparation des parents est sans incidence sur les règles de dévolution de l'exercice de l'autorité parentale.
Chacun des père et mère doit maintenir des relations personnelles avec l'enfant et respecter les liens de celui-ci avec l'autre parent.
Article 373-2-1 du code civil
Si l'intérêt de l'enfant le commande, le juge peut confier l'exercice de l'autorité parentale à l'un des deux parents.
L'exercice du droit de visite et d'hébergement ne peut être refusé à l'autre parent que pour des motifs graves.
Lorsque, conformément à l'intérêt de l'enfant, la continuité et l'effectivité des liens de l'enfant avec le parent qui n'a pas l'exercice de l'autorité parentale l'exigent, le juge aux affaires familiales peut organiser le droit de visite dans un espace de rencontre désigné à cet effet.
Lorsque l'intérêt de l'enfant le commande ou lorsque la remise directe de l'enfant à l'autre parent présente un danger pour l'un d'eux, le juge en organise les modalités pour qu'elle présente toutes les garanties nécessaires. Il peut prévoir qu'elle s'effectue dans un espace de rencontre qu'il désigne, ou avec l'assistance d'un tiers de confiance ou du représentant d'une personne morale qualifiée.
Le parent qui n'a pas l'exercice de l'autorité parentale conserve le droit et le devoir de surveiller l'entretien et l'éducation de l'enfant. Il doit être informé des choix importants relatifs à la vie de ce dernier. Il doit respecter l'obligation qui lui incombe en vertu de l'article 371-2.
_______________________________________
Article 373-2-6 du code civil
Le juge du tribunal de grande instance délégué aux affaires familiales règle les questions qui lui sont soumises dans le cadre du présent chapitre en veillant spécialement à la sauvegarde des intérêts des enfants mineurs.
Le juge peut prendre les mesures permettant de garantir la continuité et l'effectivité du maintien des liens de l'enfant avec chacun de ses parents.
Il peut notamment ordonner l'interdiction de sortie de l'enfant du territoire français sans l'autorisation des deux parents. Cette interdiction de sortie du territoire sans l'autorisation des deux parents est inscrite au fichier des personnes recherchées par le procureur de la République.
____________________________________________
Article 373-2-12 du code civil
Avant toute décision fixant les modalités de l'exercice de l'autorité parentale et du droit de visite ou confiant les enfants à un tiers, le juge peut donner mission à toute personne qualifiée d'effectuer une enquête sociale. Celle-ci a pour but de recueillir des renseignements sur la situation de la famille et les conditions dans lesquelles vivent et sont élevés les enfants.
Si l'un des parents conteste les conclusions de l'enquête sociale, une contre-enquête peut à sa demande être ordonnée.
L'enquête sociale ne peut être utilisée dans le débat sur la cause du divorce.
Bonjour Sophiag,
Parfait exposé qui heureusement servira à d' autres, car vu le cas, je crains que ce soit cuit pour ce genre d' individu affabuateur de surcroît ! ... Car l' histoire du génie qui pleure chez papa mais nous traite de " plouc " ... lol ! ... C' est du bidon !
Par contre, la démarche de la mère et de la soi-disant grand mère c' est plus plus que toxique !!!
Sauf qu' on m' a toujours dit qu'on ne discute pas avec une brouette ... On la pousse!
Parfait exposé qui heureusement servira à d' autres, car vu le cas, je crains que ce soit cuit pour ce genre d' individu affabuateur de surcroît ! ... Car l' histoire du génie qui pleure chez papa mais nous traite de " plouc " ... lol ! ... C' est du bidon !
Par contre, la démarche de la mère et de la soi-disant grand mère c' est plus plus que toxique !!!
Sauf qu' on m' a toujours dit qu'on ne discute pas avec une brouette ... On la pousse!
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L'ALIÉNATION PARENTALE EST UNE MALTRAITANCE PSYCHOLOGIQUE
Un parent incapable de gérer la séparation conjugale peut prendre l'enfant en otage dans son conflit. Lors d'une séparation parentale conflictuelle, l'enfant est dans l'impossibilité de faire respecter ses droits. Soumis au chantage psychologique ou à la violence physique, cet enfant va se rallier corps et âme au parent manipulateur jusqu'à devenir captif de son mode de pensée, et rompre tout lien affectif avec son autre parent ainsi qu'avec toute la famille de celui-ci. Prisonnier d'une relation d'emprise, il va tenir des propos insensés, voire même de graves accusations mensongères, en profonde discordance avec la réalité des faits, pour rejeter son autre parent jusqu'à sa destruction psychologique. Ce processus d'emprise et de manipulation qui va amener l'enfant à rompre tout lien affectif avec l'un de ses parents ainsi qu'avec tout l'environnement familial de celui-ci, s'appelle l'Aliénation Parentale.
Pour l'enfant, devenu orphelin d'un parent honorable, aimant et toujours vivant, c'est le début d'une longue destruction identitaire, marquée par l'angoisse et de terribles difficultés relationnelles.
L'aliénation parentale n'est pas une simple addition de familles et d'individus détruits, mais un problème de société auquel il est urgent de répondre !
Quelque témoignage
Laurence - 2009
(...) Moi, je me souviens que lorsque ma mère dénigrait mon père, avec insistance et moult arguments paranoïaques, je résistais intérieurement et je gardais de la loyauté vis-à-vis de lui et du discernement. Mais le lavage de cerveau, cela, je l'ai effectivement vécu, je répétais tout ce que disait ma mère dans la vie quotidienne, comme un automate, mais j'ai parfois résisté. J'ai ensuite lutté intérieurement très consciemment dans ma jeunesse pour enfin penser par moi-même, vers les 23 ans, avoir mes propres opinions(...) J'ai 45 ans, mes parents ont divorcé quand j'avais 10 ans. J'ai souffert d'une maladie psychique grave dès 30 ans. Je suis maintenant rétablie. Mais je n'ai pas pu fonder une famille...Lire la suite.
Alexandra - 2008
Krysta - mai 2005
(...) Chez moi, on parlait de divorce mais on ne divorçait pas... Et pourtant, j'ai subi la manipulation psychologique et l'emprise de ma mère pour en arriver à tuer psychologiquement mon père avec lequel nous vivions cependant. Il a été l'objet d'une campagne de dénigrement dévastatrice. Je l'ai considéré comme un moins que rien pendant toutes ces années parce qu'il n'a pas pu prendre sa place face à ma mère "toute-puissante". Elle avait même réussi à me convaincre qu'il ne m'avait pas désirée (ce qui est faux mais que je n'ai appris que récemment). Pour moi, mon père n'existait pas. Aujourd'hui, je suis en thérapie, je galère, j'essaye de comprendre et de remettre chacun à sa place... Lire la suite.
Christel - 2005
(...) Il nous avait demandé de venir dans la chambre avec lui car il avait des choses importantes à nous dire. Il nous a parlé pendant des heures, elle l'avait trahie, lui le père travailleur. Elle NOUS avait TRAHIE ! Il nous a parlé de son adultère avec son meilleur ami à lui. Chose impensable. Il a pleuré, nous a supplié de l'aider et surtout de l'aimer car il était désespéré. Les jours suivants, il nous a appris à la haïr. Lui l'a frappée, devant nous, l'a insultée. Un mois, deux, je ne sais plus combien de temps ça a pu durer. Il nous a dit qu'il voulait qu'elle parte, mais qu'il n'avait plus la force de lui dire de partir. Alors Karine et moi avons donc fait deux sacs plastiques avec ses affaires et le soir, quand elle a voulu rentrer, nous avons bloqué la porte. Elle a pleuré, supplié, puis a pris ses sacs et est partie....
L'ALIÉNATION PARENTALE EST UNE MALTRAITANCE PSYCHOLOGIQUE
Un parent incapable de gérer la séparation conjugale peut prendre l'enfant en otage dans son conflit. Lors d'une séparation parentale conflictuelle, l'enfant est dans l'impossibilité de faire respecter ses droits. Soumis au chantage psychologique ou à la violence physique, cet enfant va se rallier corps et âme au parent manipulateur jusqu'à devenir captif de son mode de pensée, et rompre tout lien affectif avec son autre parent ainsi qu'avec toute la famille de celui-ci. Prisonnier d'une relation d'emprise, il va tenir des propos insensés, voire même de graves accusations mensongères, en profonde discordance avec la réalité des faits, pour rejeter son autre parent jusqu'à sa destruction psychologique. Ce processus d'emprise et de manipulation qui va amener l'enfant à rompre tout lien affectif avec l'un de ses parents ainsi qu'avec tout l'environnement familial de celui-ci, s'appelle l'Aliénation Parentale.
Pour l'enfant, devenu orphelin d'un parent honorable, aimant et toujours vivant, c'est le début d'une longue destruction identitaire, marquée par l'angoisse et de terribles difficultés relationnelles.
L'aliénation parentale n'est pas une simple addition de familles et d'individus détruits, mais un problème de société auquel il est urgent de répondre !
Quelque témoignage
Laurence - 2009
(...) Moi, je me souviens que lorsque ma mère dénigrait mon père, avec insistance et moult arguments paranoïaques, je résistais intérieurement et je gardais de la loyauté vis-à-vis de lui et du discernement. Mais le lavage de cerveau, cela, je l'ai effectivement vécu, je répétais tout ce que disait ma mère dans la vie quotidienne, comme un automate, mais j'ai parfois résisté. J'ai ensuite lutté intérieurement très consciemment dans ma jeunesse pour enfin penser par moi-même, vers les 23 ans, avoir mes propres opinions(...) J'ai 45 ans, mes parents ont divorcé quand j'avais 10 ans. J'ai souffert d'une maladie psychique grave dès 30 ans. Je suis maintenant rétablie. Mais je n'ai pas pu fonder une famille...Lire la suite.
Alexandra - 2008
Krysta - mai 2005
(...) Chez moi, on parlait de divorce mais on ne divorçait pas... Et pourtant, j'ai subi la manipulation psychologique et l'emprise de ma mère pour en arriver à tuer psychologiquement mon père avec lequel nous vivions cependant. Il a été l'objet d'une campagne de dénigrement dévastatrice. Je l'ai considéré comme un moins que rien pendant toutes ces années parce qu'il n'a pas pu prendre sa place face à ma mère "toute-puissante". Elle avait même réussi à me convaincre qu'il ne m'avait pas désirée (ce qui est faux mais que je n'ai appris que récemment). Pour moi, mon père n'existait pas. Aujourd'hui, je suis en thérapie, je galère, j'essaye de comprendre et de remettre chacun à sa place... Lire la suite.
Christel - 2005
(...) Il nous avait demandé de venir dans la chambre avec lui car il avait des choses importantes à nous dire. Il nous a parlé pendant des heures, elle l'avait trahie, lui le père travailleur. Elle NOUS avait TRAHIE ! Il nous a parlé de son adultère avec son meilleur ami à lui. Chose impensable. Il a pleuré, nous a supplié de l'aider et surtout de l'aimer car il était désespéré. Les jours suivants, il nous a appris à la haïr. Lui l'a frappée, devant nous, l'a insultée. Un mois, deux, je ne sais plus combien de temps ça a pu durer. Il nous a dit qu'il voulait qu'elle parte, mais qu'il n'avait plus la force de lui dire de partir. Alors Karine et moi avons donc fait deux sacs plastiques avec ses affaires et le soir, quand elle a voulu rentrer, nous avons bloqué la porte. Elle a pleuré, supplié, puis a pris ses sacs et est partie....
Bien entendu BmV.
Loinnnnnnnnnnnnnnnnnn de moi d'avoir eu l'intention de prétendre que cela la concerne elle directement.
Mais puisque son petit fils lit nos réponses, alors, peut etre qu'il va se reconnaître quelque part ?
Mais je ne sais pas pourquoi , ma boule de cristal m'a dit qu'elle ne fera pas lire ce passage la.
Loinnnnnnnnnnnnnnnnnn de moi d'avoir eu l'intention de prétendre que cela la concerne elle directement.
Mais puisque son petit fils lit nos réponses, alors, peut etre qu'il va se reconnaître quelque part ?
Mais je ne sais pas pourquoi , ma boule de cristal m'a dit qu'elle ne fera pas lire ce passage la.
.
Alors là, ta boule de cristal doit être grippée et c'est de la méchanceté pure, du procès d'intention gratuit et de la mauvaise foi.
Je suis persuadé, moi, que, vu qu' "elle" ne veut que le bien du petit, "elle" le lui fera lire, non pas tant pour le contenu, forcément "inadapté", mais juste pour qu'il lise enfin de la prose écrite en français correct, avec des phrases bien tournées, claires, factuelles et compréhensibles.
Ça va lui être bénéfique pour ses études.
;->
.
Alors là, ta boule de cristal doit être grippée et c'est de la méchanceté pure, du procès d'intention gratuit et de la mauvaise foi.
Je suis persuadé, moi, que, vu qu' "elle" ne veut que le bien du petit, "elle" le lui fera lire, non pas tant pour le contenu, forcément "inadapté", mais juste pour qu'il lise enfin de la prose écrite en français correct, avec des phrases bien tournées, claires, factuelles et compréhensibles.
Ça va lui être bénéfique pour ses études.
;->
.
Je pense comme toi aussi.
Mais j'ai quand meme faillit m'étouffer de rire en lisant ta réponse.....
Enfin, ceci dit, si elle pouvait transmettre cela aux personnes qui agissent ainsi auprès de leurs enfants , cela aura été bénéfique. sic....
Elles rendraient service à la communauté, nous aurions moins d'enfants détruits, souffrants et cela ferait partie d'une bonne action.
Que Madame puisse avoir la bonté de transmettre à qui de droit.
Mais j'ai quand meme faillit m'étouffer de rire en lisant ta réponse.....
Enfin, ceci dit, si elle pouvait transmettre cela aux personnes qui agissent ainsi auprès de leurs enfants , cela aura été bénéfique. sic....
Elles rendraient service à la communauté, nous aurions moins d'enfants détruits, souffrants et cela ferait partie d'une bonne action.
Que Madame puisse avoir la bonté de transmettre à qui de droit.