Après etat des lieux, apparition de "moisissures" avec le loc

rico4260 Messages postés 1 Date d'inscription mardi 24 juin 2014 Statut Membre Dernière intervention 24 juin 2014 - 24 juin 2014 à 23:41
 Claustra - 25 juin 2014 à 09:10
Bonjour
nous avons un nouveau locataire. Il a signé un état des lieux qui ne mentionnait rien d'important (tout les états du sol au plafond sont signalés comme bons par l'agence mandatée pour la gestion). Or, après quelques mois d'habitation, le locataire a déclaré une chambre "insalubre" étant donné qu'elle était attaquée par de la moisissure sur les murs. Nous avons vu les photos et effectivement les murs sont attaqués. Ce dernier, très procédurier a saisi le conciliateur de justice, a fait estimé ses dégâts à plus d'un loyer et demande désormais des dommages et intérêts...
Nous avons vécu pendant 8 ans dans cette habitation sans avoir le moindre problème. Nous avons soupçonné ce locataire de boucher toutes les aérations mais seule l'agence peut aller voir sur place (nous sommes à plus de 500 km des lieux loués) et l'agence est assez "légère" sur sa façon de gérer notre location.
Je pensais m'appuyer sur l'état des lieux, qui, fait sérieusement, ne mentionnait pas de traces de ce genre. Peut-on considérer que ce locataire a volontairement dégradé le logement ?
Merci par avance de vos conseils.

3 réponses

bonjour, S'il n'ouvre pas suffisamment les fenêtres régulièrement pour renouveler l'air, s'il étend le linge dans cette pièce, s'il n'y a pas de ventilation forcée (qui d'ailleurs ne dispense pas d'aérer, car il y a une limite à tout), il est possible que les moisissures apparaissent. Les fenêtres ont-elles été remplacées par du double vitrage, ce qui fait souvent apparaître un problème qui n'existait pas auparavant, à cause de la trop grande étanchéité des nouvelles fenêtres, surtout dans les logements sans VMC et si en plus l'aération en haut de la fenêtre n'existe pas.

Vous pouvez vous renseigner à l'ADIL la plus proche de chez vous, en indiquant les caractéristiques du logement et de la copropriété.

La copropriété dispose-t-elle d'une VMC collective ou d'une ventilation naturelle (moins efficace, car fonction du temps)
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