Faire face au RSI

Bonjour,
Je ne sais pas si j'attends vraiment une réponse de votre part en prenant la décision de m'inscrire sur ce forum et d'envoyer ce message, mon expérience face à la problématique du RSI est épuisante. Voilà une institution qui ne vous lâche pas, jamais. J'ai monté une société en 2007. Erreur, elle n'a sue faire ses preuves, les raisons sont multiples et bénéficient de circonstances atténuantes. ça arrive, on ne peut tout prévoir! Cette société a vécue 1 an, dévorée par des problèmes financiers. Elle est donc restée en sommeil jusqu'en 2011 (ces fameux trois ans au bout desquels une société est automatiquement radiée si l'activité est nulle) et tel était le cas. Ne pouvant absolument pas payer pour sa dissolution et dans les règles de l'art. Les cotisations sociales restant cependant à devoir. J'en ai réglé une partie, celles de 2008. Après multes démarches pour justifier de ma situation, hermétisme total! Celles de 2009 sont en cours sous contraintes d'huissier, un échéancier qui n'en finit pas et qui épuise ma situation financière, car je fais partie des précaires, petits boulots cdd qui me permettent de survivre et surtout de ne pas craquer! Mais voilà qu'ils reviennent à la charge, maintenant ils me réclament sans préavis et toujours via huissier les cotisations 2010 (une somme astronomique!) Je ne peux plus payer. Et puis je suis en dette de quoi après tout? A qui et à quoi sert cet argent? sachant que cette société n'était déjà plus active, pas de revenus, rien, 0 euros! Il y a quand même quelque chose qui ne colle pas non? Existe t-il un recours pour ce genre de situation? On va me dire la loi c'est la loi! Est-ce suffisant Tout ça n'est-il pas proche d'un abus de pouvoir à outrance? N'y a t-il aucun moyen de contrer cette forme de despotisme? Médiateur, TASS? Que vont-ils proposer? Chance de gagner ou chance d'enfoncer encore un peu plus le clou! Gagner un peu de temps, perdre toute son énergie à se dire peut-être...que. Que faire? Rien? Subir? Accepter?... Si quelqu'un a une version, j'écoute. Merci.