Abus de pouvoir
Sabali971
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Sabali971 Messages postés 4 Date d'inscription vendredi 12 avril 2013 Statut Membre Dernière intervention 13 avril 2013 - 13 avril 2013 à 15:59
Sabali971 Messages postés 4 Date d'inscription vendredi 12 avril 2013 Statut Membre Dernière intervention 13 avril 2013 - 13 avril 2013 à 15:59
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12 avril 2013 à 17:48
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Bonjour ,
Etiez vous presente avec lui à la gendarmerie ? Ce serait la meilleure preuve qu'il y est bien allé et vous seriez alors temoin des faits.
Pour le moment vous n'etes donc que sur la version qu'il vous a rapportée.
Etiez vous presente avec lui à la gendarmerie ? Ce serait la meilleure preuve qu'il y est bien allé et vous seriez alors temoin des faits.
Pour le moment vous n'etes donc que sur la version qu'il vous a rapportée.
Sabali971
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12 avril 2013 à 21:28
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Hum.... Je suis gendarme, le problème vient de là c'est que l'équipe ne supporte pas le fait que je sorte avec un habitant étant donné que s'est petit ils me privent de sortir avec quelqu'un, sauf que je ne veux pas. Et le jour où il est venu oui j'étais là...
Foyer
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Modifié par Foyer le 13/04/2013 à 14:45
Modifié par Foyer le 13/04/2013 à 14:45
Bonjour ,
Votre "avenir" dans l'institution ne risque t-il pas d'etre compromis ?
Ne serait-il pas plus sage de demander une mutation et que vous partiez tous les deux ?
Votre "avenir" dans l'institution ne risque t-il pas d'etre compromis ?
Ne serait-il pas plus sage de demander une mutation et que vous partiez tous les deux ?
Sabali971
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13 avril 2013
13 avril 2013 à 15:59
13 avril 2013 à 15:59
Bonjour,
Mon avenir est déjà choisi, ils ne veulent pas me laisser partir de la gendarmerie, on voulu me faire passer pour "folle" en m'envoyant voir un Psychologue Militaire, mais je connais ma situation, je sais qu'en acceptant l'arrêt maladie que le médecin voulait me prescrire je leur donnais raison, et ils seraient protégés.
En l'occurrence, je ne suis pas en dépression, je veux juste arrêter mon métier, qui me ronge, ne me plaît plus, et surtout dans lequel je ne me reconnais plus. Il est claire que si je reste au sein de cette institution OUI je vais devenir folle. Mais comme ils ne l'acceptent pas, car pour eux je suis un bon élément, ils me le font payer, m'ont laissé jusqu'à la mi-juin pour donner ma réponse. j'ai fais un choix, ils le savent que je ne changerais pas d'avis. mais en attendant ils me mettent une pression constante chaque jour qui me font péter des câbles ! Je rentre chez moi je pleure, je vais au travail je sais que se sera prise de tête avec les supérieurs.... Et comme je le dis dans mes précédents commentaires, ils mettent en jeux également mon copain, qui lui n'a rien demandé. Je ne pense pas qu'ils aient le droit de se mêler de ma vie privée autant qu'ils le font. Si ma relation ne déteint pas sur mon travail, ou pose problème, je ne vois pourquoi ils veulent me priver d'avoir une compagnie. J'ai le droit de vivre, d'avoir des contacts, je connais mon travail, je choisi pas des personnes qui influent sur mon travail. Mais arriver à ce point c'est tout de même abusé. Je leur fais comprendre que je servirais au sein de cette institution autant qu'il le faudra pour ne pas les mettre dans la ME... le temps qu'ils trouvent un autre personne, mais moi je ne peux pas rester. Je deviendrai folle et surtout je ne supporte plus cette hypocrisie, cette jalousie, ce manque de confiance, cet abus de pouvoir des supérieurs dès qu'ils se retrouvent faible... Et je ne veux plus qu'ils abuse avec mon compagnon.
Quand je me repasse cette audition où ils le traite comme une ME... alors qu'à la base il est venu en tant que " victime " .... Mais eux savaient très bien ce qu'ils faisaient, ils ont voulu lui mettre la pression, le faire craquer pour qu'il me lâche. Ils lui ont même dit de ne plus me voir car sinon il allait avoir de gros problème. et comme on continu de se voir, c'est depuis ça que mon compagnon se fait sans arrêt arrêter. Se servir d'une enquête passée pour mettre la pression sur mon copain en lui sortant des propos sexistes, et le juger comme délinquant au lieu de l'apprécier en tant que victime comme cela aurait du être si les gendarmes de cette brigade étaient impartial, et savaient faire preuve de discernement. Le public doit être accueilli sans préjugé.... Je suis désolée, mais là c'est tout de même inadmissible ! je connais un peu le travail, je suis dedans.... Moi si un jour e verbalise quelqu'un au bord de la route, sa se passe mal, prise de tête, mais au final la sanction est là. Et que le lendemain cette même personne vient au bureau de l'unité pour déposer plainte contre " X ", je vais savoir faire la part des choses, oublier le conflit passé, et l'accueillir en tant que victime et l'écouter. Je ne le jugerais pas.... Voilà le principe que je relève dans cette histoire ! Les devoirs du Gendarmes doivent être accomplit dans toute circonstance, et là j'ai plus l'impression qu'ils sont en tord.
Injustice, je peux le dire ? Oui.... car ils ne viendront pas en aide à mon compagnon, ils ne l'aiment pas, et je pense que même une lettre au Procureur ne changera rien, c'est de l'abus !
Mon avenir est déjà choisi, ils ne veulent pas me laisser partir de la gendarmerie, on voulu me faire passer pour "folle" en m'envoyant voir un Psychologue Militaire, mais je connais ma situation, je sais qu'en acceptant l'arrêt maladie que le médecin voulait me prescrire je leur donnais raison, et ils seraient protégés.
En l'occurrence, je ne suis pas en dépression, je veux juste arrêter mon métier, qui me ronge, ne me plaît plus, et surtout dans lequel je ne me reconnais plus. Il est claire que si je reste au sein de cette institution OUI je vais devenir folle. Mais comme ils ne l'acceptent pas, car pour eux je suis un bon élément, ils me le font payer, m'ont laissé jusqu'à la mi-juin pour donner ma réponse. j'ai fais un choix, ils le savent que je ne changerais pas d'avis. mais en attendant ils me mettent une pression constante chaque jour qui me font péter des câbles ! Je rentre chez moi je pleure, je vais au travail je sais que se sera prise de tête avec les supérieurs.... Et comme je le dis dans mes précédents commentaires, ils mettent en jeux également mon copain, qui lui n'a rien demandé. Je ne pense pas qu'ils aient le droit de se mêler de ma vie privée autant qu'ils le font. Si ma relation ne déteint pas sur mon travail, ou pose problème, je ne vois pourquoi ils veulent me priver d'avoir une compagnie. J'ai le droit de vivre, d'avoir des contacts, je connais mon travail, je choisi pas des personnes qui influent sur mon travail. Mais arriver à ce point c'est tout de même abusé. Je leur fais comprendre que je servirais au sein de cette institution autant qu'il le faudra pour ne pas les mettre dans la ME... le temps qu'ils trouvent un autre personne, mais moi je ne peux pas rester. Je deviendrai folle et surtout je ne supporte plus cette hypocrisie, cette jalousie, ce manque de confiance, cet abus de pouvoir des supérieurs dès qu'ils se retrouvent faible... Et je ne veux plus qu'ils abuse avec mon compagnon.
Quand je me repasse cette audition où ils le traite comme une ME... alors qu'à la base il est venu en tant que " victime " .... Mais eux savaient très bien ce qu'ils faisaient, ils ont voulu lui mettre la pression, le faire craquer pour qu'il me lâche. Ils lui ont même dit de ne plus me voir car sinon il allait avoir de gros problème. et comme on continu de se voir, c'est depuis ça que mon compagnon se fait sans arrêt arrêter. Se servir d'une enquête passée pour mettre la pression sur mon copain en lui sortant des propos sexistes, et le juger comme délinquant au lieu de l'apprécier en tant que victime comme cela aurait du être si les gendarmes de cette brigade étaient impartial, et savaient faire preuve de discernement. Le public doit être accueilli sans préjugé.... Je suis désolée, mais là c'est tout de même inadmissible ! je connais un peu le travail, je suis dedans.... Moi si un jour e verbalise quelqu'un au bord de la route, sa se passe mal, prise de tête, mais au final la sanction est là. Et que le lendemain cette même personne vient au bureau de l'unité pour déposer plainte contre " X ", je vais savoir faire la part des choses, oublier le conflit passé, et l'accueillir en tant que victime et l'écouter. Je ne le jugerais pas.... Voilà le principe que je relève dans cette histoire ! Les devoirs du Gendarmes doivent être accomplit dans toute circonstance, et là j'ai plus l'impression qu'ils sont en tord.
Injustice, je peux le dire ? Oui.... car ils ne viendront pas en aide à mon compagnon, ils ne l'aiment pas, et je pense que même une lettre au Procureur ne changera rien, c'est de l'abus !