Le malheur des enfants placés

cloée Messages postés 2 Statut Membre -  
sarah2012 Messages postés 6228 Date d'inscription   Statut Contributeur Dernière intervention   -
Bonjour,
j'ai quarente trois ans mon fils qui a maintenant quatre ans est placé en famille d'acceuil depuis le 11 decembre 2009, depuis ce jour je suis mere meurtrie saviez vous qu'un enfant placé en famille d'acceuil par des association qui ce considerent bienveillantes touchent 1600euros par enfant cela fait trois et demi que cela dure et je sais qu'au mois de septembre
date a laquelle nous sommes convoqués(je suis en plein divorce avec mon mari)l'enfant sera une fois de plus pour des raisons fantasques (a moins que mon fils soit rendu a son pere)la juge et les services sociaux trouverons un pretexte pour ne pas me le rendre.
je suis une femme meurtrie car j'ai vecu lorsque mon fils etait pres de moi le plus grand bonheur de ma vie. C'etait un enfant adorable ne manquant de rien amour, soins, jouets
si je ne recupere pas mon fils je pense mettre fin a mes jours que peut on attendre de la vie quand on vous enleve votre chair comment ne pas en vouloir a la justice qui detruit la personnalité de votre fils,qui le prive de l'amour de ses parents et qui n'en a que faire de suivre son evolution,mon enfant reprensente pour la juge des enfant un numero et rien de plus...

2 réponses

sarah2012 Messages postés 6228 Date d'inscription   Statut Contributeur Dernière intervention   2 354
 
bonsoir cloée,

"si je ne recupere pas mon fils je pense mettre fin a mes jours"

Je comprends que ce soit difficile à vivre, mais en faisant cela vous décidez de votre plein gré d'abandonner votre enfant. Donc c'est très loin d'être la solution.

Cordialement
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BmV Messages postés 98633 Date d'inscription   Statut Modérateur Dernière intervention   19 268
 
1 - "... est placé en famille d'acceuil depuis le 11 decembre 2009 ..." : sur décision de justice, donc. 

Pour quel motif ?

2 - quelle est la question ?



-=O(_BmV_)O=-          " Le travail le plus fatigant n'est pas celui que l'on fait, mais celui qui                                nous reste à faire..."     Jean Brassard
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