Fausse plainte pour coups et blessures

Bonjour,


tout d'abord je vous expose la situation pour vous comprenez bien ce qu'il se passe.
J'étais amie avec ma voisine au dessus et au mois de décembre, suite à une futilité, elle a décidé de couper les ponts.
Nous nous rendions des services mutuellement, elle partait, je m'occupais de son chat et sa tortue, ouverture volet ... au mois de décembre, je lui demande de s'occuper de mon chat car je devais partir en week-end chez mes parents. Elle avait accepté, puis à la dernière minute m'a fait faux bond prétextant qu'elle avait une vie ... donc mécontente, je lui envoie des sms un peu "brute de décoffrage" qu'en gros elle n'était pas sympa .. suite aux sms, elle n'a pas voulu s'expliquer et a décidé de couper les ponts, bref pour une histoire de chat.
Au mois de janvier, elle s'amuse à secouer ses tapis tous les jours sur mes fenêtres afin de les salir, je lui fais la remarque et elle est partie en vrille en m'insultant ...
j'ai mis des messages sur mon mur facebook en public pour la titiller un peu, elle s'est empressée de faire des copies d'crans et aller se plaindre à la gendarmerie, oui oui ... alors que ses messages n'étaient ni nominatif et encore moins insultant .... bref, je reçois la visite des gendarmes (déjà là j'ai trouvé qu'elle poussait le bouchon ...) qui me conseille de régler ça avec l'organisme qui nous loue l'appart. Donc 1ère lettre de plainte à l'organisme de ma part sans compter que désormais, au dessus, ça se donne à coeur joie pour faire du bruit bien comme il le faut pour nous importuner.
Elle se fait donc convoquée vers la fin janvier à l'organisme, son mec furieux vient nous voir dans la foulée. On a discuté calmement, elle, n'est pas venue ... bref, on avait pensé à trouver un terrain d'entente mais non foutaise ....
Le 14 février 2012, elle a fait son petit coup sournois en rentrant de l'école à 11H30 (elle est assistante maternelle et revenait avec son périscolaire), elle a refermé la porte blindée du bâtiment d'un coup sec pour ne pas que je passe, manque de bol, c'est mon fils de 5 ans qui est passé en avant et a failli se prendre la porte blindée métallique (heureusement que je l'ai retenue).
Bref, comme on ne peut absolument pas discuter avec elle, j'envoie un message à sa fille pour tenter de calmer le jeu, que les gosses n'ont rien à voir avec notre conflit.
A 13H30, je rentre tranquillement de l'école, elle partait accompagnée au moment où j'arrivais. Je me suis faite agressée verbalement, insulter, elle a hurlé, vociféré en présence du gamin qu'elle gardait, elle était accompagnée de la mère de son compagnon.
Donc en arrive en face à face et sa "belle mère" me dit "tu la touches je te touche" quand je l'ai menacé d'une gifle et de lui cracher au visage tellement désormais je la méprise pour tout le mal qu'elle fait ...
Bref, elle s'est interposée et rien ne s'est passé. Je rentre chez moi, énervée et je vais fumer à mon balcon. Là, les 2 reviennent de l'école et d'en bas ont recommencé à m'attaquer. Je suis sortie sur mon palier et elles hurlaient comme des hystériques.
Suite à ça, le week-end qui a suivi, nous n'avons pas dormi parce qu'ils se sont donné un plaisir de nous bousiller notre nuit pour tapage mais on ne pouvait rien faire car leur coup était préparé, ça faisait le guet à leur fenêtre pour voir si la gendarmerie arrivait ou pas.
Donc 2ème lettre de plainte à l'organisme, cette fois-ci en recommandé.
Il y a 2 semaines, je reçois par surprise une convocation à la gendarmerie où je suis accusée de coups et blessures envers ma voisine avec un témoin à l'appui, la personne qui l'accompagnait, qu'elle a déclaré comme "amie" alors que c'est la mère de son compagnon.
Elle me fait perdre mon temps, 1 heure de déposition, elle s'est fait faire un certificat médical, soit elle s'est fait tapé dessus exprès en manigançant avec sa complice belle mère, soit il est bidon, ce qui m'étonnerait fort les médecins ne vont pas s'amuser à délivrer des faux.
Reste que je suis accusée et que je n'ai rien fait. J'ai bien un témoin, l'agent d'entretien mais pour le moment, il ne m'a pas donné sa réponse s'il a accepte de témoigner pour prouver que je ne lui ai pas infligé de coups de poings.
Je risque d'être condamnée pour un acte que je n'ai pas commis, c'est mon honneur qui en jeu.
Elle ne recule devant rien et n'hésite pas à saisir la justice pour ses petites vengeances personnelles en faisant de fausses déclarations et en entrenant avec elle un faux témoignage.
J'ai été proche d'elle alors je sais qu'elle est instable psychologiquement à cause d'une santé très fragile (rechute de cancer) et elle a découvert cet été le cadavre d'un de ses amis pendus qui n'est autre que le compagnon de son fameux témoin. Elles ont été toutes les 2 dépressives avec médocs ...
comment me défendre si mon seul témoin me lâche ?