Nuisance sonores : bruits enfants

Bonjour

Le bailleur, réagit en fonction des informations qui lui ont été données par la (ou les) locataire(s). Voir s'il est possible d'engager une médiation entre vous et eux.

Peut-être, de votre côte, prendre des dispositions pour limiter/atténuer le bruit que pourraient faire vos enfants quitte à montrer au bailleur les aménagements effectués (pose de tapis/moquette par exemple).

Éventuellement déposer une plainte ou saisir la justice en cas d'insultes répétées.

Bonsoir,

"ce ne sont pas des robots avec un interrupteur"

Non, ce sont des êtres humains. 

"Personnellement, quand j'ai visité l'appartement j'ai bien dit à la personne que es garçons étaient très très actifs et que je ne voulais pas de soucis avec les voisins"   

​​​​​Ce n'est pas une excuse et encore moins un prétexte pour justifier une quelconque nuisance.

"Le petit a encore tendance à courir"

D'où le problème peut être. 

En tant que parent, VOUS êtes responsable des nuisances qu'occasionnent vos enfants. Il serait dans un premier temps, judicieux d'expliquer à vos enfants de ne pas vagabonder ou sauter dès le matin (à tout heure même) car il y a des voisins en dessous donc de faire très attention. Pour les jeux par exemple, mettre un tapis épais afin d'atténuer le bruit.

Je ne doute pas de votre bonne foi et de l'ignorance des bruits de vos enfants, mais ayant subi 5 enfants au-dessus de ma tête, je peut vous dire que c'est pas vivable et qu'on devient vite irascible. 

Une "arrestation" de voisinage, ne sera pas valable que ce soit pour le bailleur, ou devant une quelconque juridiction. 

La seule solution amiable que je peut vous conseiller, est d'attendre que les choses s'apaise avec vos voisins et de repartir sur de bonnes bases en vous expliquant. Si vous ne le souhaitez pas, écrivez leur un courrier pour vous excusez de la gêne et que vous serez vigilante désormais.

bonsoir

effectivement il faut toujours des preuves pour aller en justice  et les bruits des enfants doivent être extra-ordinaires pour qu'un tribunal  vous condamne pour trouble anormal de voisinage à cause des bruits des enfants .dans les faits cela arrive rarement si ce n'est jamais pour des jeunes enfants

 c'est le lot des immeubles mal isolés avec beaucoup de personnes dedans ...

Bonjour,

Merci pour votre réponse.

Concernant l'énergie débordante de mes garçons, il n'a jamais été question de m'en suis pas servie comme excuse ni même comme justificatif de nuisance. C'est un ancien immeuble dont les niveaux d'insonorisation de sont pas ceux des nouveaux. Je l'ai précisé car je ne voulais pas d'un appartement où ils devraient être sans cesse dans la crainte de faire trop de bruit et moi même être toujours derrière leur dos pour leur dire de faire attention, ... . Mes enfants sont bien au courant qu'il y a des personnes en dessous mais à 3 ans et à 5 ans , c'est vite oublier lorsque l'on vit dans son imagination et dans l'excitation d'un jeu. Chaque enfant réagit différemment. Donc j'estime une certaine tolérance est de mise dans de tel immeuble. D'autant plus qu'ils sont loin d'être eux même irréprochable lorsque j'ai été voir les locataires en dessous de ceux de moi. Car eux aussi entendent nombreuses disputes très violentes de leur appartement. Et ce sont les seuls à s'être plaint. Ceux d'à côté n'entendent rien. 

Je n'empêcherais pas mes enfants de bouger le matin. Je ne fais pas partis des parents qui mettent leurs enfants devant la télé pour avoir la paix ou qu'il restent sagement assis devant un écran. D'ailleurs, même s'ils l'ont un peu hors journée d'école. Ils s'en lassent vite. Il faut que ça bouge. C'est un trait de caractère. Donc, oui les parents sont responsables de ses enfants mais d'après ce que j'ai pu lire, ils ont un droit d'usage autant que les voisins ont un droit de tranquillité. Ils se lèvent vers 7h et dorment vers 20/ 20:30. Ils disposent déjà d'un tapis de 1cm d'épaisseur. Le matin, ils m'aident à faire le petit-déjeuner, à mettre la table. Honnêtement, ils ne font pas tant de bruit que celà. 

Enfin bref, je ne demandais pas de jugement. Mais essentiellement les recours que je pouvais avoir. Apparemment, sans preuve et en contestant les faits et de ma bonne foi auprès de mon bailleur, ils ne peuvent rien faire d'après mes recherches et consultation d'un défenseur des droits.