Rachat d'une enseigne et licenciement des salariés ?
Emilie
-
16 déc. 2018 à 10:22
tania57 Messages postés 36155 Date d'inscription samedi 22 mai 2010 Statut Membre Dernière intervention 12 mai 2024 - 22 déc. 2018 à 12:59
tania57 Messages postés 36155 Date d'inscription samedi 22 mai 2010 Statut Membre Dernière intervention 12 mai 2024 - 22 déc. 2018 à 12:59
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4 réponses
tania57
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22 déc. 2018 à 12:59
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Bonjour refusez la rupture conventionnelle et demandez le licenciement économique plus avantageux avec le csp
tania57
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16 déc. 2018 à 10:35
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Bonjour quand il y a rachat il y a reprise donc c'est à celui qui reprendra de vous licencier avec tous vos avantages
Après vous pourrez éventuellement vous tourner vers le tribunal
Après vous pourrez éventuellement vous tourner vers le tribunal
Bonjour, merci pour ce retour.
Mais puisqu'ils veulent changer le nom de l'enseigne, est-ce tout de même reconnu comme un rachat ?
On a plutôt l'impression qu'ils (l'actuel associé et les investisseurs), veulent fermer notre enseigne, puis s'associer et ouvrir leur nouvelle.
La nuance est là, est c'est là que nous ne savons pas comment nous positionner
Mais puisqu'ils veulent changer le nom de l'enseigne, est-ce tout de même reconnu comme un rachat ?
On a plutôt l'impression qu'ils (l'actuel associé et les investisseurs), veulent fermer notre enseigne, puis s'associer et ouvrir leur nouvelle.
La nuance est là, est c'est là que nous ne savons pas comment nous positionner
tania57
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16 déc. 2018 à 10:56
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Si cela s'appelle chez toto et que la nouvelle enseigne s'appellera chez tata ne change rien laissez les venir soyez patiente on ne peut être licenciée sans respecter certaines règles
Utilisateur anonyme
17 déc. 2018 à 22:14
17 déc. 2018 à 22:14
Effectivement Tania.
On peut penser qu'agir à la va vite ne sera pas de nature a faire dans le respect des règles de surcroît.
On peut penser qu'agir à la va vite ne sera pas de nature a faire dans le respect des règles de surcroît.
Bonjour à tous,
nous en avons su plus concernant le rachat de notre enseigne, avec la confirmation que les nouveaux acquéreurs ne souhaitaient pas nous garder.
Nous n'avons toujours pas de date mais l'actionnaire actuel nous a dit qu'il allait nous proposer une rupture conventionnelle, sans pour autant nous donner plus de détails.
Je pense qu'il s'agit ici de la solution de facilité pour lui, mais quel serait notre intérêt d'accepter ?
Que se passera-t-il si nous refusons ?
D'avance merci.
nous en avons su plus concernant le rachat de notre enseigne, avec la confirmation que les nouveaux acquéreurs ne souhaitaient pas nous garder.
Nous n'avons toujours pas de date mais l'actionnaire actuel nous a dit qu'il allait nous proposer une rupture conventionnelle, sans pour autant nous donner plus de détails.
Je pense qu'il s'agit ici de la solution de facilité pour lui, mais quel serait notre intérêt d'accepter ?
Que se passera-t-il si nous refusons ?
D'avance merci.
Bonjour.
Lorsqu'il y a une vente de fonds de commerce, et que le repreneur ne souhaite pas garder le personnel, ça passe par un accord entre vendeur et repreneur, et tout ceci a une conséquence directe sur le prix du fonds.
Il doit y avoir désaccord à ce niveau, puisque votre employeur actuel vous propose une rupture conventionnelle. En fait c'est son seul moyen légal de mettre fin aux contrats de travail.
Pour lui, ça n'est qu'une question d'argent, vous devez en être conscient.
Ensuite, accepter ou pas cette rupture conventionnelle, il vous appartient d'en décider ; Avez-vous commencé une "prospection" pour un futur travail ? Y a t'il de la demande d'embauche auprès de chez vous ?
Si vous vous orientez vers cette solution, ne vous privez pas de demander plus que le minimum légal.
En cas de refus de la rupture conventionnelle de votre part, le futur employeur doit avoir un motif de licenciement s'il veut se séparer des salariés ; Quitte parfois à décréter des conditions de travail insupportables pour les salariés, avec l'ambiance qui peut s'ensuivre ;
Lorsqu'il y a une vente de fonds de commerce, et que le repreneur ne souhaite pas garder le personnel, ça passe par un accord entre vendeur et repreneur, et tout ceci a une conséquence directe sur le prix du fonds.
Il doit y avoir désaccord à ce niveau, puisque votre employeur actuel vous propose une rupture conventionnelle. En fait c'est son seul moyen légal de mettre fin aux contrats de travail.
Pour lui, ça n'est qu'une question d'argent, vous devez en être conscient.
Ensuite, accepter ou pas cette rupture conventionnelle, il vous appartient d'en décider ; Avez-vous commencé une "prospection" pour un futur travail ? Y a t'il de la demande d'embauche auprès de chez vous ?
Si vous vous orientez vers cette solution, ne vous privez pas de demander plus que le minimum légal.
En cas de refus de la rupture conventionnelle de votre part, le futur employeur doit avoir un motif de licenciement s'il veut se séparer des salariés ; Quitte parfois à décréter des conditions de travail insupportables pour les salariés, avec l'ambiance qui peut s'ensuivre ;
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