Enfant reconnu

Bonjour,
De mon point de vue personnel, bien que la vérité mérite d'être connue tôt ou tard (de toutes manières le "tsunami" aura lieu après le décès du père car même décédée, cette enfant apparaîtra dans les formalités de succession), ce n'est pas à vous de la faire connaître au monde entier, en tout cas tant que votre époux est vivant ; laissez-le vivre sa vie comme il l'entend : vos enfants apprécieront davantage qu'il leur fasse connaître ses secrets lui-même, le cas échéant.
Quant aux "amis" et à la "famille", est-ce bien là la priorité, vous avez bien le temps d'attendre que votre mari leur en parle s'il en a envie.

Si vous avez du mal à supporter la situation, cherchez plutôt conseil auprès d'un psychologue et des médecins de votre mari.

Merci de m'avoir lu

Vous me dites que cet enfant apparaitra lors des formalités de succession mon mari me dit que non .

Qui a raison

Bien sur que je suis différente depuis cet aveu mais à qui en parler? au médecin qui suit mon mari, à un psychiatre j- je n'ai jamais consulté - je ne ais pas

Bonjour,

"Vous me dites que cet enfant apparaitra lors des formalités de succession mon mari me dit que non . "

Je ne sais pas si Sorgin a "lu" que l'enfant de votre mari est mort à l'âge de 17 ans, donc probablement sans enfant.

A vous de voir, si vraiment, vous ressentez le besoin de parler à un professionnel, sachant que selon les villes, il est parfois très difficile de trouver de façon rapide un rendez-vous.

Pour la famille élargie et aux amis, je suis du même avis que Sorgin, aucune obligation, ni nécessité si ce n'est la vôtre.

Cordialement

Lors des formalités de succession, le notaire recherchera et établira la liste de tous les héritiers et leur état (état civil, situation de famille...), et pour ceux qui sont déjà décédés il doit rechercher s'ils ont des représentants (descendants) ; il serait étonnant qu'à aucun moment personne n'entende parler de cette enfant, ne serait-ce que parce que le notaire se trouverait par exemple obligé d'expliquer la lenteur de son action par l'attente de certains documents la concernant, ou de certains témoignages pour certifier qu'elle n'a pas eu d'enfant elle-même.
Je ne suis pas certain que le notaire puisse faire l'impasse de la mentionner dans les actes de partage, ne serait-ce que pour officialiser qu'il n'y a pas de représentant à cette héritière réservataire défunte. Quelqu'un d'autre pourra peut-être confirmer.

Je suis d'accord avec vous je ne veux pas me disperser dans mes questions mais je ne sais jamais si ma demande ou ma réponse est "envoyée"

Je vous prie de bien vouloir me dire comment être certain que ma réponse est enregistrée

mERCI