Nouveau conjoint et propriété de la maison
agripine16
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Enka1 Messages postés 19112 Date d'inscription Statut Membre Dernière intervention -
Enka1 Messages postés 19112 Date d'inscription Statut Membre Dernière intervention -
Bonjour,
Séparée depuis 8 mois de mon ancien conjoint, je souhaitais rester propriétaire de la maison et donc je supporte seule le crédit de la maison et lui ai racheté sa soulte.
Je vis aujourd'hui avec un nouveau conjoint qui souhaiterait participer aux dépenses de la maison et être reconnu comme propriétaire avec moi : quels documents devons-nous établir SANS PASSER devant le notaire? Une reconnaissance de dette serait-elle valable ?
Merci
Séparée depuis 8 mois de mon ancien conjoint, je souhaitais rester propriétaire de la maison et donc je supporte seule le crédit de la maison et lui ai racheté sa soulte.
Je vis aujourd'hui avec un nouveau conjoint qui souhaiterait participer aux dépenses de la maison et être reconnu comme propriétaire avec moi : quels documents devons-nous établir SANS PASSER devant le notaire? Une reconnaissance de dette serait-elle valable ?
Merci
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4 réponses
Sans ce cas là à combien peuvent s'élever les frais de notaire, la maison étant évaluée à 180000€ ?
Merci
Merci
Bonjour,
Ce que vous dites me semble de la plus parfaite mauvaise augure et particulièrement suspect de la part de ce monsieur !
Sans vouloir vous faire peur, mais à votre place, on me dirait çà :
" un nouveau conjoint qui souhaiterait participer aux dépenses de la maison et être reconnu comme propriétaire avec moi "
La personne ne resterait pas en face de moi et chez moi, plus de 5 minutes ! !
Il ne vous prendrait pas pour le pigeon du coin, des fois ? ! ..
En effet, rien ne lui empêche de participer ... Sans vouloir en avoir la propriété ...
Réfléchissez bien ... Et demandez conseil à un notaire ...
Cordialement.
Au pays des aveugles, les borgnes sont rois ...
Ce que vous dites me semble de la plus parfaite mauvaise augure et particulièrement suspect de la part de ce monsieur !
Sans vouloir vous faire peur, mais à votre place, on me dirait çà :
" un nouveau conjoint qui souhaiterait participer aux dépenses de la maison et être reconnu comme propriétaire avec moi "
La personne ne resterait pas en face de moi et chez moi, plus de 5 minutes ! !
Il ne vous prendrait pas pour le pigeon du coin, des fois ? ! ..
En effet, rien ne lui empêche de participer ... Sans vouloir en avoir la propriété ...
Réfléchissez bien ... Et demandez conseil à un notaire ...
Cordialement.
Au pays des aveugles, les borgnes sont rois ...
Il a un passé particulier : son ex-femme lui a tout pris lors d'un premier mariage, et s'il contribue au partage des frais de la maison, je comprends qu'il veuille être rassuré sur ses investissements.... non ?
:-)
:-)
NON !
C' est trop facile ! ... Et de plus, il n' est absolument pas obligé de participer aux dits " investissements " ...
Et vous n' êtes pas là pour compenser son passé. Ce n' est pas parce qu' il a été soi-disant pigeon ... Que vous devez faire la même chose, à son bénéfice.
Les femmes qui ont des biens attirent beaucoup d' hommes sans scrupule et ils arrivent à leurs fins ... en se faisant plaindre, justement ! ...
C' est trop facile ! ... Et de plus, il n' est absolument pas obligé de participer aux dits " investissements " ...
Et vous n' êtes pas là pour compenser son passé. Ce n' est pas parce qu' il a été soi-disant pigeon ... Que vous devez faire la même chose, à son bénéfice.
Les femmes qui ont des biens attirent beaucoup d' hommes sans scrupule et ils arrivent à leurs fins ... en se faisant plaindre, justement ! ...
Bonjour Choubaka,
Notre rôle n' est pas de juger ... mais le devoir de l' être humain est de conseiller et si possible d' aider et c' est ce que j' estime faire en conseillant cette dame. il se trouve que j' ai eu un cadre professionnel qui puisse me le permettre.
Et là, c' est une question de conscience.
Alors, effectivement, après c' est à elle de prendre son destin en main.
Notre rôle n' est pas de juger ... mais le devoir de l' être humain est de conseiller et si possible d' aider et c' est ce que j' estime faire en conseillant cette dame. il se trouve que j' ai eu un cadre professionnel qui puisse me le permettre.
Et là, c' est une question de conscience.
Alors, effectivement, après c' est à elle de prendre son destin en main.
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