Controle rsa

Bonjour,
Bonjour,
je viens de lire tous vos messages et je suis outrée de ce que le rsa se permet de faire. Courant fevrier, un controleur de la caf m a appelé pour me demander tous mes relevés de comptes car je n avais pas declaré des capitaux lors des declarations trimestrielles chez eux. Je leur ai expliqué que du fait que c etait declaré aux impots, je n allais pas le faire deux fois. Là on me pose des questions, je parle d une pension de reversion au lieu d une pension compensatoire que j ai touché le jour de mon divorce et que j avais mise de coté car je devais subir plusieurs operations, on se moque de moi, on le prend de haut, on m engueule , me coupe la parole, il y avait du monde autout de moi ce jour là, je n arretais pas de pleurer tellement j ai ete mise plus bas que terre mais là ou je me suis effondrée c est quand la personne de la caf m a dit "Mais ma pauvre petite dame, ce n est pas avec la petite vie qu il vous reste a vivre que vous allez pouvoir rembourser ce que vous nous devez". Je ne touche le RSA que depuis 2 ans et en plus quand je me suis separée du pere de mes enfants j ai touché l API pendant 8 MOIS, elle m a aussi dit que je devais rembourser. Alors ecroulée apres tout ca, j avais envie de me foutre en l air mais ma fille etait là c est ce qui m a sauvée. ensuite 10mn plus tard autre coup de fil de la caf, toute radoucie, la dame me demande mes relevés de comptes mois par mois, le prix detaillés des 4 operations de la bouche que j ai subie et mon acte de divorce; mes parents on pris un avocat, ils ne roulent pas sur l or, moi il ne reste meme plus de quoi payer ma derniere operation donc tout cela n a servit a rien; je ne dors plus la nuit, je n arrete pas de pleurer, crise d angoisse , du mal a respirer. Pourquoi ces gens là nous mettent t il plus bas que terre, ont ils le droit de fouiller nos comptes, ce n est pas plus pire que si j avais assassiné quelqu un; maintenant mes enfants ont peurs eux aussi, je n en peux plus. Merci a tous ceux qui auronty pris la peine de me lire