Reprise d'un studio loué pendant 15 ans
claudine
-
30 août 2011 à 19:45
Mysteek Messages postés 321 Date d'inscription lundi 14 septembre 2009 Statut Membre Dernière intervention 23 mars 2014 - 30 août 2011 à 20:57
Mysteek Messages postés 321 Date d'inscription lundi 14 septembre 2009 Statut Membre Dernière intervention 23 mars 2014 - 30 août 2011 à 20:57
Bonjour,
je suis proprietaire, j'ai loué un studio, qui était neuf au départ.
le locataire est resté pendant 15 ans, le papier peint doit être changé
qui doit se charger des travaux
merci de me répondre
cordialement
je suis proprietaire, j'ai loué un studio, qui était neuf au départ.
le locataire est resté pendant 15 ans, le papier peint doit être changé
qui doit se charger des travaux
merci de me répondre
cordialement
A voir également:
- Reprise d'un studio loué pendant 15 ans
- Demande de reprise à 80 après congé maternité - Guide
- 15 ans et 3 mois majorité - - Législation
- Emancipation 15 ans - Guide
- Salaire 16 ans - - Stages et apprentissage
- Ccnt du 15 mars 1966 salaire - Guide
1 réponse
Mysteek
Messages postés
321
Date d'inscription
lundi 14 septembre 2009
Statut
Membre
Dernière intervention
23 mars 2014
54
30 août 2011 à 20:57
30 août 2011 à 20:57
La vétusté s'entend de l'usure normale résultant de l'usage prolongé des lieux sans aggravation de cette usure par le fait du locataire.
L'usure générale normale incombe au bailleur, puisque le loyer est réputé constituer déjà la contrepartie de cette usure.
la réfection des papiers peints, peintures et revêtements de sol atteints par la vétusté résultant seulement de l'usure normale n'incombe pas au locataire lorsque l'état des lieux de sortie ne révèle pas un défaut d'entretien ou un manque de soin de sa part.
Le protocole inclut un taux annuel d'abattement pour vétusté.
Pour les peintures et tapisseries, la durée d'usage théorique prévu dans cet accord est de 10 ans et le taux d'abattement annuel est de 9%, avec une franchise pour les deux premières années suivant la réfection à neuf des matériaux.
Le taux de vétusté applicable est donc de 90 % maximum au bout de 10 ans, 10 % des réparations revenant au locataire.
Or, si au terme de ce délai de dix ans, aucune faute ou dégradation n'est imputable au locataire, il ne parait pas possible de lui faire supporter une quote-part des travaux de remise en état, quelque soit l'ancienneté des papiers peints ou des peintures.
La réfection des logements représente un coût non négligeable. Après plusieurs années d'occupation d'un même logement (plus de 10 ans), ce coût ne peut guère être imputé au locataire
source : http://www.adil.org/56/modules.php?name=News&file=article&sid=222
L'usure générale normale incombe au bailleur, puisque le loyer est réputé constituer déjà la contrepartie de cette usure.
la réfection des papiers peints, peintures et revêtements de sol atteints par la vétusté résultant seulement de l'usure normale n'incombe pas au locataire lorsque l'état des lieux de sortie ne révèle pas un défaut d'entretien ou un manque de soin de sa part.
Le protocole inclut un taux annuel d'abattement pour vétusté.
Pour les peintures et tapisseries, la durée d'usage théorique prévu dans cet accord est de 10 ans et le taux d'abattement annuel est de 9%, avec une franchise pour les deux premières années suivant la réfection à neuf des matériaux.
Le taux de vétusté applicable est donc de 90 % maximum au bout de 10 ans, 10 % des réparations revenant au locataire.
Or, si au terme de ce délai de dix ans, aucune faute ou dégradation n'est imputable au locataire, il ne parait pas possible de lui faire supporter une quote-part des travaux de remise en état, quelque soit l'ancienneté des papiers peints ou des peintures.
La réfection des logements représente un coût non négligeable. Après plusieurs années d'occupation d'un même logement (plus de 10 ans), ce coût ne peut guère être imputé au locataire
source : http://www.adil.org/56/modules.php?name=News&file=article&sid=222