A voir également:
- Article 226-22 du code pénal
- Sas huissiers réunis harcèlement ✓ - Forum Consommation
- Société générale recouvrement téléphone ✓ - Forum surendettement
- Sociétè - Guide
- Cfr recouvrement - Forum Consommation
- Un huissier a t-il le droit de vous harcelez?? - Forum Justice
7 réponses
Bonjour..
Si tu as résilié conformément au Contrat et réglé la facture de cloture tu n'as rien à craindre (Hormis le harcèlement..).
Ne s'agirait-il pas de I.J??
De manière générale il est déconseillé de tenter quoi que ce soit avec les Officines de Recouvrement qui ne comprennent rien et dont le seul but est de soutirer de l'argent (Réellement dû ou pas..).. Toujours le faire avec le Créancier..
Tu peux lui faire une LRAR de Mise en Demeure de te fournir la justification du 'reliquat' et de cesser au plus vite le harcèlement.. Expose que pour toi tu n'as rien à régler et que si l'Opérateur s'obstine à te harceler par l'intermédiaire de l'Officine tu seras amené à te plaindre.. Tu peux évoquer la Tentative d'Extorsion ..
http://www.lexinter.net/Legislation2/l'extorsion.htm
Au sens strict il y a bien menaces (Les courriers comminatoires de l'Officine afin d'obtenir des fonds non dûs.. ). Ne le fais que si tu es absolument dans ton droit!
Bien sûr tu n'iras jamais en Justice pour 25 € mais l'évocation de l'Art. 312-1
et 312-6 (Extorsion en réunion) devrait calmer le jeu..
Il est par ailleurs totalement impensable que l'Opérateur ose aller en Justice pour une somme ridicule de surcroît non justifiée..
Bonne suite!
Si tu as résilié conformément au Contrat et réglé la facture de cloture tu n'as rien à craindre (Hormis le harcèlement..).
Ne s'agirait-il pas de I.J??
De manière générale il est déconseillé de tenter quoi que ce soit avec les Officines de Recouvrement qui ne comprennent rien et dont le seul but est de soutirer de l'argent (Réellement dû ou pas..).. Toujours le faire avec le Créancier..
Tu peux lui faire une LRAR de Mise en Demeure de te fournir la justification du 'reliquat' et de cesser au plus vite le harcèlement.. Expose que pour toi tu n'as rien à régler et que si l'Opérateur s'obstine à te harceler par l'intermédiaire de l'Officine tu seras amené à te plaindre.. Tu peux évoquer la Tentative d'Extorsion ..
http://www.lexinter.net/Legislation2/l'extorsion.htm
Au sens strict il y a bien menaces (Les courriers comminatoires de l'Officine afin d'obtenir des fonds non dûs.. ). Ne le fais que si tu es absolument dans ton droit!
Bien sûr tu n'iras jamais en Justice pour 25 € mais l'évocation de l'Art. 312-1
et 312-6 (Extorsion en réunion) devrait calmer le jeu..
Il est par ailleurs totalement impensable que l'Opérateur ose aller en Justice pour une somme ridicule de surcroît non justifiée..
Bonne suite!
Dome1400
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7 oct. 2010 à 11:13
7 oct. 2010 à 11:13
DE : UD Force ouvrière 75, 131 Rue Damrémont 75018 Paris
Les organismes de recouvrement de dettes Il faut savoir refuser ce qui n'est qu'une pression inadmissible, souvent abusivement présentée comme légale.
LES ORGANISMES DE RECOUVREMENT DES DETTES
1 - Les opérations de recouvrement
Deux situations sont à distinguer :
* Le recouvrement public, effectué en fonction d'une décision de justice : seul ce cas de figure permet à un huissier ?et à lui seul? d'engager une exécution forcée : saisie des meubles, du salaire, etc.
* Le recouvrement privé exercé par des sociétés spécialisées ?ou des études d'huissier hors toute décision de justice? entrepris à la demande d'un créancier : bailleur, organisme de crédit, opérateur de téléphonie, magasin de grande surface, etc.
Ce dernier type d'intervention qui ne relève que d'une vulgaire "mise sous pression" du client débiteur, et que les consommateurs sont rigoureusement en droit d'ignorer, fera seul l'objet du présent exposé.
2 - Le recouvrement privé
Les officines de recouvrement pullulent aujourd'hui. Agissant sur mandat d'un quelconque fournisseur de biens ou de services, elles viennent sommer un consommateur d'avoir à payer une dette, le plus souvent réelle, mais parfois absolument infondée.
La première réaction du consommateur est donc de s'assurer de la réalité de la dette invoquée, afin le cas échéant, de tenter de négocier avec le créancier un aménagement des modalités de paiement.
Vient ensuite ?que la dette soit certaine ou non? la question des pratiques sordides d'un certain nombre de ces officines : harcèlement par téléphone ou par courrier, menaces de toutes sortes : saisie du compte bancaire, des meubles et des objets de valeur ; courriers adressés à l'employeur, aux membres de la famille, etc. Quelle attitude dès lors adopter ?
* Ne rien faire : même lorsque la somme due est incontestable, tout créancier qui veut en obtenir le remboursement forcé doit s'adresser à un juge, lequel rend alors une décision exécutoire.
* Mettre fin au harcèlement : il convient pour cela de mettre en demeure (par courrier avec AR) tant le créancier que l'organe de recouvrement ?officine spécialisée ou huissier? d'avoir à cesser ses pratiques sous peine de poursuites pour :
- abus de droit : article 1382 du code civil ;
- atteinte à la vie privée : article 9 du code civil, et encore plus efficace l'article 226-22 du code pénal : sanction prévue = 5 années de prison.
Si la dette n'est pas fondée les poursuites à engager relèvent de :
- l'escroquerie : article 313-1 du code pénal, sanction = 5 ans de prison,
- la tentative d'extorsion de fonds : article 312-1 du code pénal, sanction = 7 ans de prison.
3 - Les modalités de règlement de la dette
* Les sommes réclamées, même par provision, sont à régler au seul créancier, et absolument pas à l'organe de recouvrement (société ou huissier) lequel pourrait conserver l'argent à son profit ce qui serait de nul effet quant au règlement de la dette.
* Hors le cas d'une décision de justice qui peut mettre à la charge du consommateur un certain nombre de frais, et hors le cas particulier de chèque impayé (impliquant des pénalités légales spécifiques) seul le strict montant de la dette est à payer. Toute perception fut-ce par huissier, de quelconques frais de recouvrement privé est à la charge du seul créancier : article 32 de la loi du 9 juillet 1991.
4 - Le problème des huissiers
L'huissier à la française est un legs de l'Ancien Régime. Sur le principe il est intolérable que l'exécution d'actes publics soit concédée à des intérêts privés. Partout ailleurs dans le monde (sauf en Belgique) cette intervention relève d'agents de la fonction publique.
Les dérives et abus du système sont dénoncés depuis longtemps, tant au sein de la profession (1) que des organisations nationales de consommateurs (2) et les sanctions judiciaires ne manquent pas. Malheureusement tous les gouvernements se sont refusés jusqu'à présent de normaliser la situation. La loi JOSPIN-GUIGOU du 22 novembre 1999 a même aggravé le dispositif en accordant aux huissiers une rémunération supplémentaire pour l'exécution des décisions de justice : 10% des sommes dues jusqu'à 1500 € et 4% au-delà ; une sorte de prise au tas ! Ces frais sont normalement à la charge du créancier mais le juge peut décider de les affecter au consommateur débiteur...
Les huissiers exercent usuellement les fonctions suivantes :
- rédaction et signification d'actes de procédure,
- exécution forcée des décisions de justice,
- établissement de constats [lesquels rappelons-le, n'ont jamais qu'une valeur probatoire relative, pouvant être détruite par toute preuve contraire].
Depuis les années 1980 la profession des huissiers est sortie de sa mission publique et s'est massivement reconvertie dans la très lucrative activité du recouvrement privé, laquelle draine aujourd'hui les trois-quarts de ses revenus.
Ce type de pratique qui joue abusivement sur la confusion des rôles est normalement sanctionné par l'article 433-13 du code pénal, qui stipule :
Est puni d'un an d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende le fait par toute personne :
1° D'exercer une activité dans des conditions de nature à créer dans l'esprit du public une confusion avec l'exercice d'une fonction publique ou d'une activité réservée aux officiers publics ou ministériels ;
2° D'user de documents ou d'écrits présentant, avec des actes judiciaires ou extrajudiciaires ou avec des documents administratifs, une ressemblance de nature à provoquer une méprise dans l'esprit du public.
Aucun gouvernement à ce jour ?à fortiori aucun magistrat de parquet? ne s'est encore appliqué à faire respecter cet article 433-13 du code pénal, mais rien n'empêche bien évidemment le consommateur victime de déposer une plainte sur le fondement de ce texte légal.
____________
1) J.P. CEVAER : Le racket légal des huissiers (Albin Michel, 1996)
2) Huissiers, constat de carence (50 millions de consommateurs, décembre 1986)
Quand les huissiers bafouent la loi (Que choisir, juin 2000 et octobre 2008)
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Les organismes de recouvrement de dettes Il faut savoir refuser ce qui n'est qu'une pression inadmissible, souvent abusivement présentée comme légale.
LES ORGANISMES DE RECOUVREMENT DES DETTES
1 - Les opérations de recouvrement
Deux situations sont à distinguer :
* Le recouvrement public, effectué en fonction d'une décision de justice : seul ce cas de figure permet à un huissier ?et à lui seul? d'engager une exécution forcée : saisie des meubles, du salaire, etc.
* Le recouvrement privé exercé par des sociétés spécialisées ?ou des études d'huissier hors toute décision de justice? entrepris à la demande d'un créancier : bailleur, organisme de crédit, opérateur de téléphonie, magasin de grande surface, etc.
Ce dernier type d'intervention qui ne relève que d'une vulgaire "mise sous pression" du client débiteur, et que les consommateurs sont rigoureusement en droit d'ignorer, fera seul l'objet du présent exposé.
2 - Le recouvrement privé
Les officines de recouvrement pullulent aujourd'hui. Agissant sur mandat d'un quelconque fournisseur de biens ou de services, elles viennent sommer un consommateur d'avoir à payer une dette, le plus souvent réelle, mais parfois absolument infondée.
La première réaction du consommateur est donc de s'assurer de la réalité de la dette invoquée, afin le cas échéant, de tenter de négocier avec le créancier un aménagement des modalités de paiement.
Vient ensuite ?que la dette soit certaine ou non? la question des pratiques sordides d'un certain nombre de ces officines : harcèlement par téléphone ou par courrier, menaces de toutes sortes : saisie du compte bancaire, des meubles et des objets de valeur ; courriers adressés à l'employeur, aux membres de la famille, etc. Quelle attitude dès lors adopter ?
* Ne rien faire : même lorsque la somme due est incontestable, tout créancier qui veut en obtenir le remboursement forcé doit s'adresser à un juge, lequel rend alors une décision exécutoire.
* Mettre fin au harcèlement : il convient pour cela de mettre en demeure (par courrier avec AR) tant le créancier que l'organe de recouvrement ?officine spécialisée ou huissier? d'avoir à cesser ses pratiques sous peine de poursuites pour :
- abus de droit : article 1382 du code civil ;
- atteinte à la vie privée : article 9 du code civil, et encore plus efficace l'article 226-22 du code pénal : sanction prévue = 5 années de prison.
Si la dette n'est pas fondée les poursuites à engager relèvent de :
- l'escroquerie : article 313-1 du code pénal, sanction = 5 ans de prison,
- la tentative d'extorsion de fonds : article 312-1 du code pénal, sanction = 7 ans de prison.
3 - Les modalités de règlement de la dette
* Les sommes réclamées, même par provision, sont à régler au seul créancier, et absolument pas à l'organe de recouvrement (société ou huissier) lequel pourrait conserver l'argent à son profit ce qui serait de nul effet quant au règlement de la dette.
* Hors le cas d'une décision de justice qui peut mettre à la charge du consommateur un certain nombre de frais, et hors le cas particulier de chèque impayé (impliquant des pénalités légales spécifiques) seul le strict montant de la dette est à payer. Toute perception fut-ce par huissier, de quelconques frais de recouvrement privé est à la charge du seul créancier : article 32 de la loi du 9 juillet 1991.
4 - Le problème des huissiers
L'huissier à la française est un legs de l'Ancien Régime. Sur le principe il est intolérable que l'exécution d'actes publics soit concédée à des intérêts privés. Partout ailleurs dans le monde (sauf en Belgique) cette intervention relève d'agents de la fonction publique.
Les dérives et abus du système sont dénoncés depuis longtemps, tant au sein de la profession (1) que des organisations nationales de consommateurs (2) et les sanctions judiciaires ne manquent pas. Malheureusement tous les gouvernements se sont refusés jusqu'à présent de normaliser la situation. La loi JOSPIN-GUIGOU du 22 novembre 1999 a même aggravé le dispositif en accordant aux huissiers une rémunération supplémentaire pour l'exécution des décisions de justice : 10% des sommes dues jusqu'à 1500 € et 4% au-delà ; une sorte de prise au tas ! Ces frais sont normalement à la charge du créancier mais le juge peut décider de les affecter au consommateur débiteur...
Les huissiers exercent usuellement les fonctions suivantes :
- rédaction et signification d'actes de procédure,
- exécution forcée des décisions de justice,
- établissement de constats [lesquels rappelons-le, n'ont jamais qu'une valeur probatoire relative, pouvant être détruite par toute preuve contraire].
Depuis les années 1980 la profession des huissiers est sortie de sa mission publique et s'est massivement reconvertie dans la très lucrative activité du recouvrement privé, laquelle draine aujourd'hui les trois-quarts de ses revenus.
Ce type de pratique qui joue abusivement sur la confusion des rôles est normalement sanctionné par l'article 433-13 du code pénal, qui stipule :
Est puni d'un an d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende le fait par toute personne :
1° D'exercer une activité dans des conditions de nature à créer dans l'esprit du public une confusion avec l'exercice d'une fonction publique ou d'une activité réservée aux officiers publics ou ministériels ;
2° D'user de documents ou d'écrits présentant, avec des actes judiciaires ou extrajudiciaires ou avec des documents administratifs, une ressemblance de nature à provoquer une méprise dans l'esprit du public.
Aucun gouvernement à ce jour ?à fortiori aucun magistrat de parquet? ne s'est encore appliqué à faire respecter cet article 433-13 du code pénal, mais rien n'empêche bien évidemment le consommateur victime de déposer une plainte sur le fondement de ce texte légal.
____________
1) J.P. CEVAER : Le racket légal des huissiers (Albin Michel, 1996)
2) Huissiers, constat de carence (50 millions de consommateurs, décembre 1986)
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7 oct. 2010 à 12:55
7 oct. 2010 à 12:55
http://udfo75.nuxit.net/afoc/article.php?id=23
Abandonnez pour l'instant tout au moins votre idée de plainte.
D'une part, cela n'est pas l'urgence et, d'autre part, le nombre de dépôt de telles plaintes qui sont retenues par le Parquet est infime.
Présentez votre cas à une association de défense des consommateurs (type UFC) qui écrira aux intervenants dans ce dossier.
Il est extrêmement difficile pour un particulier de régler seul ce type de problème.
D'une part, cela n'est pas l'urgence et, d'autre part, le nombre de dépôt de telles plaintes qui sont retenues par le Parquet est infime.
Présentez votre cas à une association de défense des consommateurs (type UFC) qui écrira aux intervenants dans ce dossier.
Il est extrêmement difficile pour un particulier de régler seul ce type de problème.
J'explicite un peu ma réponse de tout à l'heure.
Dans les dossiers que je traite pour une association de consommateurs (en moyenne trente dossiers par an) je n'a jamais connu une plainte pour harcèlement être suivie d' effet.
Habitude géographique, peut être, mais les Procureurs se suivent et pratiquent tous de la même façon.
Quand je dis qu'il est extrêmement difficile pour un particulier de s'en sortir seul, j'ai vu tant de lettres étayées par des articles du Code civil, du Code pénal, du Code de la conso + le fameux article 32 (tarte à la crème des forums) + la compétence territoriale des huissiers, pour m'apercevoir qu'il est inutile de faire valoir tant de textes légaux ou réglementaires que les officines ou huissiers connaissent mieux que les débiteurs.
Et comme souvent; de plus, l'article nnn du code xxx est cité mal à propos et entre deux fautes d'orthographe ! Cela explique pourquoi les dossiers ainsi amorcés atterrissent sur nos bureaux.
Avec parfois trop de retard pour éviter la signification de l'ordonnance en injonction de payer ou la saisie dans le cadre de la prescription trentenaire
"devenue décennale".
Dans les dossiers que je traite pour une association de consommateurs (en moyenne trente dossiers par an) je n'a jamais connu une plainte pour harcèlement être suivie d' effet.
Habitude géographique, peut être, mais les Procureurs se suivent et pratiquent tous de la même façon.
Quand je dis qu'il est extrêmement difficile pour un particulier de s'en sortir seul, j'ai vu tant de lettres étayées par des articles du Code civil, du Code pénal, du Code de la conso + le fameux article 32 (tarte à la crème des forums) + la compétence territoriale des huissiers, pour m'apercevoir qu'il est inutile de faire valoir tant de textes légaux ou réglementaires que les officines ou huissiers connaissent mieux que les débiteurs.
Et comme souvent; de plus, l'article nnn du code xxx est cité mal à propos et entre deux fautes d'orthographe ! Cela explique pourquoi les dossiers ainsi amorcés atterrissent sur nos bureaux.
Avec parfois trop de retard pour éviter la signification de l'ordonnance en injonction de payer ou la saisie dans le cadre de la prescription trentenaire
"devenue décennale".
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19 août 2012
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7 oct. 2010 à 13:12
7 oct. 2010 à 13:12
ILs vous poursuivent pour 25 euros ???
De quand date cette soir disa,t créance ? Peut etre est elle prescrite ?
--
De quand date cette soir disa,t créance ? Peut etre est elle prescrite ?
--
Oui, on me harcèle pour 25,91 euros très exactement, encaissés depuis longtemps par SFR d'ailleurs. Voici un aperçu de l'histoire : j'ai résilié chez SFR en avril 2010 (engagement terminé depuis longtemps) une envie d'aller voir ailleurs, après tout, c'est mon droit. Mais visiblement ils n'aiment pas être quittés.J'ai reçu un courrier m'informant qu'ils prenaient bien en compte la résiliation à dater du 20 avril ; or, passé la date je me suis aperçue que la ligne était toujours en service. Prudente et ne souhaitant pas que mon compte soit prélevé d'aucune somme que ce soit, j'ai fait opposition. J'ai envoyé la somme de la dernière facture par chèque, (les fameux 25,91 euros) en recommandé avec AR. J'ai la preuve que cette somme a été débitée sur mon compte, j'ai les récépissés de l'envoi en recommandé du chèque de 25,91 ainsi que le retour AR de SFR, et malgré cela, Recotrash continue à jouer les gros bourrins. Encore un courrier dans ma boîte ce matin. J'ai mis tout ça dans une grosse enveloppe, ça me servira à quoi ?? Je vais essayer de me rabattre dès aujourd'hui sur UFC. Je verrai bien.
Merci à vous tous. A +
Merci à vous tous. A +
J'y avais pensé mais il s'agirait d'une dernière mensualité payée au mois de mai.
Après tout tu as raison., on ne sait jamais ...
Je vais donner le texte qui dispose d'un prescription annale en matière de téléphonie, internet etc...(après tout sur ce post on n'est plus à un article près !...)
Article L34-2 Code des postes et des communications électroniques
« La prescription est acquise, au profit des opérateurs mentionnés à l'article L. 33-1, pour toutes demandes en restitution du prix de leurs prestations de communications électroniques présentées après un délai d'un an à compter du jour du paiement.
La prescription est acquise, au profit de l'usager, pour les sommes dues en paiement des prestations de communications électroniques d'un opérateur appartenant aux catégories visées au précédent alinéa lorsque celui-ci ne les a pas réclamées dans un délai d'un an courant à compter de la date de leur exigibilité. »
Donc à quand remonte la prestation réglée au mois de mai ?
Si antérieure à octobre 2009, on examine le cas de très près !
Après tout tu as raison., on ne sait jamais ...
Je vais donner le texte qui dispose d'un prescription annale en matière de téléphonie, internet etc...(après tout sur ce post on n'est plus à un article près !...)
Article L34-2 Code des postes et des communications électroniques
« La prescription est acquise, au profit des opérateurs mentionnés à l'article L. 33-1, pour toutes demandes en restitution du prix de leurs prestations de communications électroniques présentées après un délai d'un an à compter du jour du paiement.
La prescription est acquise, au profit de l'usager, pour les sommes dues en paiement des prestations de communications électroniques d'un opérateur appartenant aux catégories visées au précédent alinéa lorsque celui-ci ne les a pas réclamées dans un délai d'un an courant à compter de la date de leur exigibilité. »
Donc à quand remonte la prestation réglée au mois de mai ?
Si antérieure à octobre 2009, on examine le cas de très près !
indochine
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19 août 2012
288
10 oct. 2010 à 23:21
10 oct. 2010 à 23:21
exact !
Bonjour,
J'aimerais savoir si avant la visite d'un huissier, nous sommes avertis par le tribunal quelques jours à l'avance par courrier RAR, ou bien est-ce que ledit "huissier" peut se présenter chez vous comme ça, sans être mandaté (je ne sais pas si ça se dit) par le tribunal ? S'il se pointe comme une fleur, (sans que je sache en réalité si c'est bien un huissier et sans mandat du tribunal et qu'en plus il se montre insistant) suis-je en droit d'appeler la police ?
Vous avez compris que c'est toujours en rapport avec Recotrash/clash...
Merci de me répondre.
J'aimerais savoir si avant la visite d'un huissier, nous sommes avertis par le tribunal quelques jours à l'avance par courrier RAR, ou bien est-ce que ledit "huissier" peut se présenter chez vous comme ça, sans être mandaté (je ne sais pas si ça se dit) par le tribunal ? S'il se pointe comme une fleur, (sans que je sache en réalité si c'est bien un huissier et sans mandat du tribunal et qu'en plus il se montre insistant) suis-je en droit d'appeler la police ?
Vous avez compris que c'est toujours en rapport avec Recotrash/clash...
Merci de me répondre.
indochine
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19 août 2012
288
14 oct. 2010 à 11:16
14 oct. 2010 à 11:16
Il faut un titre executoire de toute manière...
Si pas de jugement l'huissier n'intervient quà titre contentieux/amiable, rien de plus !
Et pour 30 euros vous n'aurez certainement pas la visite d'un huissier...
Si pas de jugement l'huissier n'intervient quà titre contentieux/amiable, rien de plus !
Et pour 30 euros vous n'aurez certainement pas la visite d'un huissier...
...Surtout que ces 25,91 euros (et non 30) ont été encaissés depuis des mois par SFR... mais Recomachin sont des gros bourrins, ils veulent aussi les sous qu'ils rajoutent par-dessus la somme soi disant due !!! si l'huissier se pointe je prends le papier qu'il me tend, je lui souhaite une bonne journée et en plus avec le sourire ? Oui, c'est ce que je vais faire, ça le mettra en rogne parce qu'il n'aura pas eu son petit pourcentage...
A+
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Pour une créance de 10 Euros le Cabinet G.R.E.F ( Paris 15éme ) me demande 80 euros maintenant, frais de déplacement frais d'intervention à titre transactionel (sans rire), intéréts légaux ?! On croit rêver ! N'est il pas possible de faire comparaitre de tels induvidus devant la loi, pourquoi protéger ces délinquants ?
23 août 2010 à 14:59
J'ai envoyé hier un mail à la sté de recouvrement (Reco...quelque chose!) et les ai menacé de déposer une plainte s'ils ne cessaient pas, j'ai évoqué les articles que tu cites, etc. Et comme par hasard, je reçois un mail ce matin où ils disent avoir contacté l'opérateur en question qui ne retrouve pas trace de mon paiement (je précise que de mon côté j'avais envoyé ce chèque en AR, j'ai le récépissé de retour signé par l'opérateur !) La société de recouvrement me demande la copie de mon relevé bancaire où apparaît ce chèque débité, mais je suis frileuse à envoyer quelques docu. que ce soient à cette boîte. Je préfère traiter maintenant directement avec SFR, pour ne pas les nommer. Le problème avec eux, c'est qu'on ne sait jamais où adresser les courriers et les mails et si c'est pour payer encore un AR pour une faute que je n'ai pas commise, je ne m'en sortirai jamais!
Voilà, merci de m'avoir lue encore une fois...
Bonne semaine à Toi.
23 août 2010 à 17:25
Effectivement toujours régler le pb avec le supposé créancier, jamais avec les sbires du Recouvrement.. Entre nous tu ne risques rien dans cette affaire! Vois directement avec SFR qui très certainement te dira qu'ils n'ont pas de dossier à ton nom !
Alors en attendant laisse Recotrash brailler, ils sont totalement impuuissants..
http://assistance.sfr.fr/accueil_service-client/contacter/contact-abonnes-mobile/fc-2398-62273
Ces infos semblent dater de 2010..
A+
24 août 2010 à 08:50
Ok et encore merci !!! mais il est vrai qu'à partir de la somme ridicule de 25 euros on voit les frais x par 5 sur le papier... cela a de quoi intimider et je pense qu'ils jouent là-dessus (au cas où ça marcherait) ; mais c'est la première fois que j'ai affaire à ce genre d'escrocs et en naviguant sur les forums je m'aperçois que c'est des t... du c...!! oui, Recocash impuuuissant, c'est bien le mot. Ils doivent avoir un problème de ce côté là et essaient de compenser d'une autre façon hahaha !!!
A bientôt !!
Modifié par Afrikarnak le 24/08/2010 à 16:48
Frais totalement illégaux... Bravo RECO-TRASH!! Ils cherchent dans les fonds de poubelles!!
A+
11 sept. 2010 à 12:37
Encore une lettre d'intimidation de RECO-CLASH !!! Cette fois-ci j'en ai assez et vais de ce pas au commissariat déposer une plainte pour harcèlement et tentative d'extorsion de fonds. Ai-je tort ou raison, est-ce illusoire ? En tout cas même si ça ne sert à rien, j'aurai l'impression d'être un peu moins passive
A+......................................................