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Que vous soyez mariés, pacsés ou "rien" ne change rien à la part dévolue à vos enfants en cas de décès : chacun héritera pour moitié de la part dans la maison de son parent défunt (vos enfants auront donc 15 % chacun, et ceux de votre ami 35 % chacun), une fois déduite la part éventuelle du conjoint/compagnon survivant.
Par contre ce qui change, c'est la part qui revient au conjoint/compagnon survivant : en cas de mariage, le survivant reçoit 1/4 en pleine propriété de la part du défunt (ou autre choix possibles si donation au dernier vivant) et rien en cas de PACS ou d'union libre (mais possibilité de faire un testament).
Il serait utile de consulter un notaire pour envisager avec lui les diverses possibilités d'union ou de testament selon vos souhaits.
Cordlt.
Par contre ce qui change, c'est la part qui revient au conjoint/compagnon survivant : en cas de mariage, le survivant reçoit 1/4 en pleine propriété de la part du défunt (ou autre choix possibles si donation au dernier vivant) et rien en cas de PACS ou d'union libre (mais possibilité de faire un testament).
Il serait utile de consulter un notaire pour envisager avec lui les diverses possibilités d'union ou de testament selon vos souhaits.
Cordlt.
ps: suite a ma question je voudrais savoir si ses filles ou les miennes si l un de nous décède peuvent elles nous mettre à la porte?
Merci pour votre réponse
Merci pour votre réponse
Ca pourrait aller jusque là..
Si par exemple un des enfants demande la partage et qu'il n'est possible au survivant de racheter la part de l'autre. Dans ce cas, il n'y aura d'autre solution que de vendre le bien pour partager le prix de la vente.
D'où l'intérêt de consulter un notaire pour envisager au moins un testament léguant l'usufruit au survivant ou éventuellement seulement un droit d'habitation !
Cordlt.
Si par exemple un des enfants demande la partage et qu'il n'est possible au survivant de racheter la part de l'autre. Dans ce cas, il n'y aura d'autre solution que de vendre le bien pour partager le prix de la vente.
D'où l'intérêt de consulter un notaire pour envisager au moins un testament léguant l'usufruit au survivant ou éventuellement seulement un droit d'habitation !
Cordlt.