Marié, contestation de paternité impossible ?
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Chan-elle Messages postés 3108 Statut Membre -
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Bonjour,
A L'AIDE TOUT SIMPLEMENT !!
Que faire quand des Avocats rendent un dossier en annonçant qu’aucun espoir n’est possible !
Un désaveu de paternité signifie aujourd'hui en FRANCE remplir certaines conditions pour avoir droit à un jugement et dénoncer la paternité, mais que faire quand on a été trompé et que la situation fait qu'aucun texte de loi n'est adapté!
Quand la mère a mis le père d'un enfant volontairement parrain et cacher au mari durant sept ans que l'enfant n'était pas le sien. Que la supercherie n'est découverte qu'après le divorce par aveux mais en souhaitant conserver les droits de pension alimentaire et de succession !
Que faire lorsqu'il est soit disant trop tard en FRANCE!!
Une pension alimentaire réclamée grâce à une toute puissance protégée !!
Mais cet enfant a un père, aussi, pourquoi faire encore porter la faute à un homme qui n'est pas responsable et qui a déjà beaucoup souffert.
Devoir se résigner et essayer d'admettre qu'il n'y a aucun article pouvant nous aider reste difficile.
La mère a décidé de maintenir un enfant de (10 ans aujourd'hui) dans l'ignorance. Cette enfant à bien un père "connu" et pouvant être identifié mais cette dernière nous a annoncé qu'elle ne dévoilerai jamais à l'enfant l'identité de son vrai père et qu'après tout elle pouvait tout aussi bien avoir eu "pleins de relations ". Sauf qu'elle exige que ce soit mon compagnon qui assume le rôle de père par aide financière. Les relations avec l'enfant ont été interrompues dans le seul but d'une vérité dévoilée un jour, mais connaissant ladite personne c'est sur son lit de mort que l'enfant en aura certainement connaissance. C'est abjecte et nous aimerions de tout cœur pouvoir faire quelque chose avant, que la justice permette de lever le voile (pour que celui qui a été trompé puisse n'avoir plus cette charge, pour l'enfant qui pourra savoir un jour, et pour que le vrai père (parrain) prenne ses responsabilité.
Peut-être pourrez vous nous aider, aussi je demande votre aide et votre soutien, et vous remercie de ce que vous allez faire pour nous en nous conseillant.
-Que faire lorsque l’on a peut être aucune chance pour dénoncer une vérité devant des portes closes ?
-Que faire quand on a été victime d’une trahison que l’on n’osait pas imaginer et surtout lorsque l’on se sent impuissant au point de sombrer en étant atteint dans sa dignité …de se sentir diminué assis au coin d’une table perdu dans ses pensées.
C’est l’histoire de mon ami et cette histoire je souhaite en faire état, avec l’espoir de faire entendre sa détresse…mais surtout avec la crainte de répercussions plus graves sur une intimité bafouée. « Se sentir diminué assis au coin d’une table perdu dans ses pensées » c’est ce qui lui arrive aujourd’hui.
Cette histoire : je souhaite simplement vous la confier pour lui, parce que cette lutte devient vaine.
Sujet : DESAVEUX DE PATERNITE – INTIMIDATION POUR CONSERVER UNE PENSION ALIMENTAIRE VERSEE INJUSTEMENT
Pièces du dossier :
- Courrier retraçant les faits (ci-joint)
- Aveux écrits de l’ex-conjointe en date du 1er juillet 2006 mais sachant malgré ceci qu'elle aura gain de cause et conservera ses avantages.
La présentation du dossier nous ayant été refusée par plusieurs avocats, il nous est difficile de rester passif en étant témoin quotidiennement d’une mauvaise foi, d’un mépris des faits et du non respect de la dignité humaine, « si tu fais quelque chose ou demande la suppression de la pension alimentaire, tu n'auras aucun droit……..tu restes le père de l'enfant.
Monsieur D souhaite saisir le Tribunal afin que soit ordonnée une expertise sanguine et une recherche d’ADN pour établir la preuve de sa non-paternité concernant l’enfant D née le 23/01/1999 - lieu
Monsieur D souhaite que le Tribunal puisse se prononcer pour que la vérité soit enfin rendue par décision de Justice et souhaite dénoncer la filiation naturelle par le biais de cette action.
Au vu des différents éléments laissés à l’appréciation du Tribunal, il semblerait que Monsieur D ne soit pas le père de l’enfant D et que les faits qui lui ont été dissimulés volontairement n’excluent pas une certaine préméditation dans cette affaire.
MAIS CELA N'EST PAS RECEVABLE pour une histoire de mariage, de délais !
Sur les faits dénoncés :
- Entendu que Madame T est passé aux aveux après le divorce prononcé en date du 19 janvier 2006 en déclarant à Monsieur D qu’il n’était manifestement pas le père de l’enfant D.E mais que Monsieur D devait se taire pour préserver les apparences au regard de tiers.
- Entendu que Madame T a dissimulé volontairement les faits pendant toute la durée du mariage ce qui devrait constituer normalement une fraude.
- Entendu que le couple s’est marié le 07/08/1993, que Monsieur D est père d’un petit garçon D.C né le 05/09/1996 et que l’enfant D.E portant le nom de D de fait est née le 23/01/1999 avec une différence d’âge constatée entre les deux enfants de 2 ans 4 mois et 18 jours.
- Entendu que dans ces conditions Monsieur D était loin de songer à un adultère, 19 mois seulement après la naissance de son premier enfant.
- Entendu qu’en septembre 1998, Monsieur D s’investissait dans un projet immobilier au moyen d’un héritage personnel pour permettre à sa famille de s’installer en août 1999- lieu, et que préoccupé par ce projet familial, il était loin d’envisager qu’une tromperie puisse avoir lieu et qu’une conception extraconjugale lui soit cachée durant cette période et ce, jusqu’après la séparation définitive.
- Entendu que si les relations se sont dégradées à un moment où la vie de couple à été rendue difficile à cause de soupçons concernant les agissements personnels de Madame T (mais non de la conception d'un enfant illégitime mais devenant légitime par le mariage), Monsieur D n’avait jamais pensé que son épouse puisse être capable d’abus de confiance.
En effet, Monsieur D pensait sincèrement être le père de l’enfant.
- Entendu que les aveux formulées par Madame T et les recherches menées ensuite en parallèle par Monsieur D pour tenter de comprendre les faits permettent de supposer qu’à cette même période Madame T ait eu, non pas une simple aventure, mais une liaison soutenue avec Monsieur B demeurant à l’adresse indiquée xxxx que seul le Tribunal permettra d’impliquer dans cette affaire. En effet, Monsieur D s’il ne peut que s’accorder des doutes face à cette liaison extraconjugale par manque d’éléments, et même s’il a obtenu verbalement certaines confidences de membres de son entourage, évoquant une relation assez proche, ne peut que s’en référer au Tribunal.
- Toutefois entendu que Madame T à souhaité au cours de cette grossesse désigner Monsieur B en qualité de parrain de l’enfant, et que ce choix délibéré pourrait sembler intentionnel s’il s’avérait que Monsieur D ne soit pas le père de l’enfant et que le Tribunal souhaite disposer en complément d’éléments d’appréciation supplémentaires pour se prononcer sur la filiation de l’enfant, la "préméditation pourrait être évoquée"
MAIS NE L'EST PAS CAR RIEN NE PERMET EN France DE LE FAIRE
.
Il n’est pas sans rappeler que Monsieur D s’est investi depuis le 07/08/1993 durant 11 années de mariage et qu’il était loin d’envisager et de concevoir qu’un mensonge délibéré et un adultère ait pu avoir lieu à son insu.
Entendu que l’union du mariage entre Monsieur D et Madame T ne permettait pas de concevoir qu’il puisse y avoir fraude et abus de confiance.
Monsieur D pour prouver sa bonne foi dans cette affaire souhaiterai prendre en charge la totalité des frais d’expertise si la justice le lui permettait car Il souhaite que par le biais de cette action la vérité puisse être rétablit et enfin rendue par décision de Justice afin d’être exonéré du paiement de la pension alimentaire versée injustement.
Rien ne semble pourtant possible. Aujourd'hui j'ai deux petits bouts de 18 et 6 mois à qui je ne souhaite pas mentir. Alors pourquoi cette enfant n'aurait pas droit à sa vérité, pourquoi aussi mes enfants doivent "se priver" financièrement alors que le père "parrain" n'assume pas ses responsabilités car la justice va lui le permettre. Nous réglons la pension bien évidemment puisque Madame ne manque aucune réévaluation, Mais est-ce normal ?
A L'AIDE TOUT SIMPLEMENT !!
Que faire quand des Avocats rendent un dossier en annonçant qu’aucun espoir n’est possible !
Un désaveu de paternité signifie aujourd'hui en FRANCE remplir certaines conditions pour avoir droit à un jugement et dénoncer la paternité, mais que faire quand on a été trompé et que la situation fait qu'aucun texte de loi n'est adapté!
Quand la mère a mis le père d'un enfant volontairement parrain et cacher au mari durant sept ans que l'enfant n'était pas le sien. Que la supercherie n'est découverte qu'après le divorce par aveux mais en souhaitant conserver les droits de pension alimentaire et de succession !
Que faire lorsqu'il est soit disant trop tard en FRANCE!!
Une pension alimentaire réclamée grâce à une toute puissance protégée !!
Mais cet enfant a un père, aussi, pourquoi faire encore porter la faute à un homme qui n'est pas responsable et qui a déjà beaucoup souffert.
Devoir se résigner et essayer d'admettre qu'il n'y a aucun article pouvant nous aider reste difficile.
La mère a décidé de maintenir un enfant de (10 ans aujourd'hui) dans l'ignorance. Cette enfant à bien un père "connu" et pouvant être identifié mais cette dernière nous a annoncé qu'elle ne dévoilerai jamais à l'enfant l'identité de son vrai père et qu'après tout elle pouvait tout aussi bien avoir eu "pleins de relations ". Sauf qu'elle exige que ce soit mon compagnon qui assume le rôle de père par aide financière. Les relations avec l'enfant ont été interrompues dans le seul but d'une vérité dévoilée un jour, mais connaissant ladite personne c'est sur son lit de mort que l'enfant en aura certainement connaissance. C'est abjecte et nous aimerions de tout cœur pouvoir faire quelque chose avant, que la justice permette de lever le voile (pour que celui qui a été trompé puisse n'avoir plus cette charge, pour l'enfant qui pourra savoir un jour, et pour que le vrai père (parrain) prenne ses responsabilité.
Peut-être pourrez vous nous aider, aussi je demande votre aide et votre soutien, et vous remercie de ce que vous allez faire pour nous en nous conseillant.
-Que faire lorsque l’on a peut être aucune chance pour dénoncer une vérité devant des portes closes ?
-Que faire quand on a été victime d’une trahison que l’on n’osait pas imaginer et surtout lorsque l’on se sent impuissant au point de sombrer en étant atteint dans sa dignité …de se sentir diminué assis au coin d’une table perdu dans ses pensées.
C’est l’histoire de mon ami et cette histoire je souhaite en faire état, avec l’espoir de faire entendre sa détresse…mais surtout avec la crainte de répercussions plus graves sur une intimité bafouée. « Se sentir diminué assis au coin d’une table perdu dans ses pensées » c’est ce qui lui arrive aujourd’hui.
Cette histoire : je souhaite simplement vous la confier pour lui, parce que cette lutte devient vaine.
Sujet : DESAVEUX DE PATERNITE – INTIMIDATION POUR CONSERVER UNE PENSION ALIMENTAIRE VERSEE INJUSTEMENT
Pièces du dossier :
- Courrier retraçant les faits (ci-joint)
- Aveux écrits de l’ex-conjointe en date du 1er juillet 2006 mais sachant malgré ceci qu'elle aura gain de cause et conservera ses avantages.
La présentation du dossier nous ayant été refusée par plusieurs avocats, il nous est difficile de rester passif en étant témoin quotidiennement d’une mauvaise foi, d’un mépris des faits et du non respect de la dignité humaine, « si tu fais quelque chose ou demande la suppression de la pension alimentaire, tu n'auras aucun droit……..tu restes le père de l'enfant.
Monsieur D souhaite saisir le Tribunal afin que soit ordonnée une expertise sanguine et une recherche d’ADN pour établir la preuve de sa non-paternité concernant l’enfant D née le 23/01/1999 - lieu
Monsieur D souhaite que le Tribunal puisse se prononcer pour que la vérité soit enfin rendue par décision de Justice et souhaite dénoncer la filiation naturelle par le biais de cette action.
Au vu des différents éléments laissés à l’appréciation du Tribunal, il semblerait que Monsieur D ne soit pas le père de l’enfant D et que les faits qui lui ont été dissimulés volontairement n’excluent pas une certaine préméditation dans cette affaire.
MAIS CELA N'EST PAS RECEVABLE pour une histoire de mariage, de délais !
Sur les faits dénoncés :
- Entendu que Madame T est passé aux aveux après le divorce prononcé en date du 19 janvier 2006 en déclarant à Monsieur D qu’il n’était manifestement pas le père de l’enfant D.E mais que Monsieur D devait se taire pour préserver les apparences au regard de tiers.
- Entendu que Madame T a dissimulé volontairement les faits pendant toute la durée du mariage ce qui devrait constituer normalement une fraude.
- Entendu que le couple s’est marié le 07/08/1993, que Monsieur D est père d’un petit garçon D.C né le 05/09/1996 et que l’enfant D.E portant le nom de D de fait est née le 23/01/1999 avec une différence d’âge constatée entre les deux enfants de 2 ans 4 mois et 18 jours.
- Entendu que dans ces conditions Monsieur D était loin de songer à un adultère, 19 mois seulement après la naissance de son premier enfant.
- Entendu qu’en septembre 1998, Monsieur D s’investissait dans un projet immobilier au moyen d’un héritage personnel pour permettre à sa famille de s’installer en août 1999- lieu, et que préoccupé par ce projet familial, il était loin d’envisager qu’une tromperie puisse avoir lieu et qu’une conception extraconjugale lui soit cachée durant cette période et ce, jusqu’après la séparation définitive.
- Entendu que si les relations se sont dégradées à un moment où la vie de couple à été rendue difficile à cause de soupçons concernant les agissements personnels de Madame T (mais non de la conception d'un enfant illégitime mais devenant légitime par le mariage), Monsieur D n’avait jamais pensé que son épouse puisse être capable d’abus de confiance.
En effet, Monsieur D pensait sincèrement être le père de l’enfant.
- Entendu que les aveux formulées par Madame T et les recherches menées ensuite en parallèle par Monsieur D pour tenter de comprendre les faits permettent de supposer qu’à cette même période Madame T ait eu, non pas une simple aventure, mais une liaison soutenue avec Monsieur B demeurant à l’adresse indiquée xxxx que seul le Tribunal permettra d’impliquer dans cette affaire. En effet, Monsieur D s’il ne peut que s’accorder des doutes face à cette liaison extraconjugale par manque d’éléments, et même s’il a obtenu verbalement certaines confidences de membres de son entourage, évoquant une relation assez proche, ne peut que s’en référer au Tribunal.
- Toutefois entendu que Madame T à souhaité au cours de cette grossesse désigner Monsieur B en qualité de parrain de l’enfant, et que ce choix délibéré pourrait sembler intentionnel s’il s’avérait que Monsieur D ne soit pas le père de l’enfant et que le Tribunal souhaite disposer en complément d’éléments d’appréciation supplémentaires pour se prononcer sur la filiation de l’enfant, la "préméditation pourrait être évoquée"
MAIS NE L'EST PAS CAR RIEN NE PERMET EN France DE LE FAIRE
.
Il n’est pas sans rappeler que Monsieur D s’est investi depuis le 07/08/1993 durant 11 années de mariage et qu’il était loin d’envisager et de concevoir qu’un mensonge délibéré et un adultère ait pu avoir lieu à son insu.
Entendu que l’union du mariage entre Monsieur D et Madame T ne permettait pas de concevoir qu’il puisse y avoir fraude et abus de confiance.
Monsieur D pour prouver sa bonne foi dans cette affaire souhaiterai prendre en charge la totalité des frais d’expertise si la justice le lui permettait car Il souhaite que par le biais de cette action la vérité puisse être rétablit et enfin rendue par décision de Justice afin d’être exonéré du paiement de la pension alimentaire versée injustement.
Rien ne semble pourtant possible. Aujourd'hui j'ai deux petits bouts de 18 et 6 mois à qui je ne souhaite pas mentir. Alors pourquoi cette enfant n'aurait pas droit à sa vérité, pourquoi aussi mes enfants doivent "se priver" financièrement alors que le père "parrain" n'assume pas ses responsabilités car la justice va lui le permettre. Nous réglons la pension bien évidemment puisque Madame ne manque aucune réévaluation, Mais est-ce normal ?
A voir également:
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7 réponses
Pour répondre à lele, ce n'est pas qu"un soucis financier puisque les 400 euros n'ont jamais cessé d'être versés mensuellement même si c'est très difficile de donner une telle somme avec deux bébés à la maison. Jamais nous n'avons voulu faire une révision de pension alimentaire, nous nous sommes toujours privés pour ne pas avoir à le faire. Du coup, effectivement parfois on se demande pourquoi le vrai père n'a pas l'obligation de participer si l'on peut prouver par ADN qu'il est le vrai père, car pour lui cette situation n'a aucune conséquence, c'est facile dans ces conditions.
Une femme n'a qu'à se marier, et puis toutes les années tomber enceinte d'un partenaire différent, puis dire à son mari quand ça l'arrange que ce ne sont pas ses enfants, divorcer et lui assumera le reste.
Malheureusement c'est bien plus complexe que quelques euros, cette femme a dit à l'ex-mari que ce n'était pas son enfant et à l'enfant que Monsieur D n'était pas son père.
Mais enlever un père sans lui trouver de remplaçant, ce n'est pas comme cela que je vois les choses.
Il faut préciser que le père n'a jamais pu voir l'enfant après les aveux, Madame s'y est tout d'abord opposé, puis argumenté, ensuite c'est devenu plus subtile (activités, absences, maladie….) , c'est peut être aussi pour ne plus qu'il voit l'enfant qu'elle lui a tout simplement dit la vérité. Je n'étais pas présente à ce moment là mais Monsieur D. ne savait plus quoi faire ? Aller déposer plainte, faire un scandale, chercher l'enfant avec la police qui n'ont pas le droit d'intervenir mais simplement de constater. Lui se sentait très mal après cette nouvelle et était mal renseigné également comme souvent les pères dans ce type de situation…..et puis le temps passe car même une procédure prends du temps, on ne voit pas si facilement ses enfants du jour au lendemain quand l'autre se soustrait avec malice à l'obligation. Parfois on ne sait pas trop quoi faire.
Pour tatasouris, ensuite nous y avons bien pensé car il aurait été plus simple d'avoir l'enfant avec nous, de lui expliquer après le mal fait par sa mère que même si ce n'était pas son papa, il était là, qu'un jour sa maman lui parlerait sans doute de son vrai papa (car quoi lui dire après ? qu'il y avait aussi un autre papa inconnu, impossible).
Mais sa mère a fait tout ce qu'il fallait pour rompre le dialogue et que la vérité ne se sache pas.
Nous avons eu connaissance de la manière dont la petite avait été mise au courant uniquement par l'intermédiaire d'un petit de 12 ans. C'est lamentable car cet enfant de 12 ans sait (toujours par sa mère) que le père de la petite est le parrain, mais il a ordre de ne rien dire.
La petite a été écartée et aujourd'hui le sénario semble vouloir se reproduire car L'enfant nous arrivions à la voir quelques fois mais en menant une lutte incessante et usante (dont aujourd'hui je ne me sens plus le courage) pour seulement pouvoir le prendre 5 – 6 week-end de garde par an et encore ! Exclu le reste vacances scolaires et j'en passe.
L'enfant adore sa mère mais n'est pas en mesure de réaliser que c'est une emprise permanente qu'elle exerce sur lui. Le petit est d'ailleurs très renfermé sur lui-même, étouffé par la pression maternelle, il rencontre diverses difficultés psychosomatiques. (tout le contexte serait très long à décrire et la situation devrait faire l'objet d'une analyse et sans doute ensuite d'une expertise)
Exple : Sous la coupe de sa mère l'enfant prenait dernièrement du Laroxyl pour dormir à 12 ans, d'ailleurs son père depuis 2 mois n'arrive plus à le voir : il est soit disant inscrit à tout un tas d'activités (nous habitons à 90 km). L'enfant va même à la messe tous les dimanche avec ferveur !.
Je pense qu'elle a décidé à présent de faire en sorte que les seuls petits liens cessent définitivement. Nous avons pensé faire quelque chose en justice mais nous savons que ce serait peine perdue le temps des démarches…. Une pathologie serait également difficile à prouver (même si nous sommes certains qu'il y a bien un soucis), mais excepté un suivi psy à une époque antérieure, cette femme reste sans "reproches", bien inséré socialement – professeur – de bonne apparence mais très manipulatrice et menteuse.
Nous avons bien entendu pensé à la souffrance de l'enfant mais pas seulement, nous nous sommes bien souvent aussi posé des questions sur l'autre enfant. Quoi faire réellement ? Nous n'avons pas de solution, ni dans un sens, ni dans l'autre… c'est très délicats, les enfants vivant avec leur mère suivent les directives en les appliquant à la lettre comme cela devient souvent le cas lors de divorces.
Une femme n'a qu'à se marier, et puis toutes les années tomber enceinte d'un partenaire différent, puis dire à son mari quand ça l'arrange que ce ne sont pas ses enfants, divorcer et lui assumera le reste.
Malheureusement c'est bien plus complexe que quelques euros, cette femme a dit à l'ex-mari que ce n'était pas son enfant et à l'enfant que Monsieur D n'était pas son père.
Mais enlever un père sans lui trouver de remplaçant, ce n'est pas comme cela que je vois les choses.
Il faut préciser que le père n'a jamais pu voir l'enfant après les aveux, Madame s'y est tout d'abord opposé, puis argumenté, ensuite c'est devenu plus subtile (activités, absences, maladie….) , c'est peut être aussi pour ne plus qu'il voit l'enfant qu'elle lui a tout simplement dit la vérité. Je n'étais pas présente à ce moment là mais Monsieur D. ne savait plus quoi faire ? Aller déposer plainte, faire un scandale, chercher l'enfant avec la police qui n'ont pas le droit d'intervenir mais simplement de constater. Lui se sentait très mal après cette nouvelle et était mal renseigné également comme souvent les pères dans ce type de situation…..et puis le temps passe car même une procédure prends du temps, on ne voit pas si facilement ses enfants du jour au lendemain quand l'autre se soustrait avec malice à l'obligation. Parfois on ne sait pas trop quoi faire.
Pour tatasouris, ensuite nous y avons bien pensé car il aurait été plus simple d'avoir l'enfant avec nous, de lui expliquer après le mal fait par sa mère que même si ce n'était pas son papa, il était là, qu'un jour sa maman lui parlerait sans doute de son vrai papa (car quoi lui dire après ? qu'il y avait aussi un autre papa inconnu, impossible).
Mais sa mère a fait tout ce qu'il fallait pour rompre le dialogue et que la vérité ne se sache pas.
Nous avons eu connaissance de la manière dont la petite avait été mise au courant uniquement par l'intermédiaire d'un petit de 12 ans. C'est lamentable car cet enfant de 12 ans sait (toujours par sa mère) que le père de la petite est le parrain, mais il a ordre de ne rien dire.
La petite a été écartée et aujourd'hui le sénario semble vouloir se reproduire car L'enfant nous arrivions à la voir quelques fois mais en menant une lutte incessante et usante (dont aujourd'hui je ne me sens plus le courage) pour seulement pouvoir le prendre 5 – 6 week-end de garde par an et encore ! Exclu le reste vacances scolaires et j'en passe.
L'enfant adore sa mère mais n'est pas en mesure de réaliser que c'est une emprise permanente qu'elle exerce sur lui. Le petit est d'ailleurs très renfermé sur lui-même, étouffé par la pression maternelle, il rencontre diverses difficultés psychosomatiques. (tout le contexte serait très long à décrire et la situation devrait faire l'objet d'une analyse et sans doute ensuite d'une expertise)
Exple : Sous la coupe de sa mère l'enfant prenait dernièrement du Laroxyl pour dormir à 12 ans, d'ailleurs son père depuis 2 mois n'arrive plus à le voir : il est soit disant inscrit à tout un tas d'activités (nous habitons à 90 km). L'enfant va même à la messe tous les dimanche avec ferveur !.
Je pense qu'elle a décidé à présent de faire en sorte que les seuls petits liens cessent définitivement. Nous avons pensé faire quelque chose en justice mais nous savons que ce serait peine perdue le temps des démarches…. Une pathologie serait également difficile à prouver (même si nous sommes certains qu'il y a bien un soucis), mais excepté un suivi psy à une époque antérieure, cette femme reste sans "reproches", bien inséré socialement – professeur – de bonne apparence mais très manipulatrice et menteuse.
Nous avons bien entendu pensé à la souffrance de l'enfant mais pas seulement, nous nous sommes bien souvent aussi posé des questions sur l'autre enfant. Quoi faire réellement ? Nous n'avons pas de solution, ni dans un sens, ni dans l'autre… c'est très délicats, les enfants vivant avec leur mère suivent les directives en les appliquant à la lettre comme cela devient souvent le cas lors de divorces.
Bonjour,
Je n'ai pas les réponses, mais je pense à l'enfant. Pour lui, il n'a qu'un père, même si ce n'est pas le géniteur. Il n'y ast pour rien. Ces démarches ne peuvent que le détruire.
Cordialement
Z
Je n'ai pas les réponses, mais je pense à l'enfant. Pour lui, il n'a qu'un père, même si ce n'est pas le géniteur. Il n'y ast pour rien. Ces démarches ne peuvent que le détruire.
Cordialement
Z
Bonjour ,
Le mari, même non père biologique, a élevé l'enfant déclaré par lui, pendant plus de cinq ans, et cette filiation toujours connue fait qu'il y a possession d'état .
C'est cet argument qui a du être avancé et doit faire qu'il n'est plus possible, une fois acquise cette possession d'état, d'intervenir en contestation de paternité ?
---------------------------------------------------------------------------------------------------
.... 3 zygomatiques suffisent pour sourire ....
§ même au plus bas, on devrait bien y arriver §
Le mari, même non père biologique, a élevé l'enfant déclaré par lui, pendant plus de cinq ans, et cette filiation toujours connue fait qu'il y a possession d'état .
C'est cet argument qui a du être avancé et doit faire qu'il n'est plus possible, une fois acquise cette possession d'état, d'intervenir en contestation de paternité ?
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.... 3 zygomatiques suffisent pour sourire ....
§ même au plus bas, on devrait bien y arriver §
Certes, c'est très malheureux pour l'enfant mais la mère avait déjà dit à l'enfant que Monsieur D. n'était pas son père pratiquement au même moment. Ce que Madame T voulait: c'est que Monsieur D. fasse comme s'il savait depuis toujours. Or ce n'était pas le cas puisque la nouvelle l'avait complètement ébranlée.
Aussi quand je dis "pourquoi cette enfant n'aurait pas droit à sa vérité" cela veut simplement dire que sa mère préférera taire définitivement l'identité de son vrai père plutôt que d'y mettre un nom (car celui-ci était marié et père de quatre enfants en habitant sa petite ville / de plus il reste le parrain).
Si pour certaines personnes mentir reste possible pour d'autres je peux comprendre que cela soit plus difficile (et si l'enfant avait besoin d'une greffe, si l'enfant tombait amoureuse d'un de ses demi-frères, va-t-elle savoir un jour….pourrais je maintenir cette hypocrisie, pourrais je entendre parler l'enfant de son parrain sans lui dire je viens d'apprendre que c'est ton père…)
Connaissant une personne à qui l'identité d'un vrai père a été cachée mais ayant surtout vu son désarroi au moment où il n'a pas pu parler à son géniteur mort. Je peux comprendre que l'on n'ait pas envie de mentir. Pour cette personne, l'identité à été connue après le décès (je suppose comme dans bien des cas et souvent ces personnes souffrent de n'avoir pas su). Sa demi-sœur grâce à une ancienne lettre d'amour l'avait retrouvé grâce à Internet mais sa souffrance est encore présente et la confiance qu'il avait pour ses parents s'est brisée et n'a pu se réinstaurer malgré ses 45 ans.
Il est donc très difficile de savoir si les démarches "ne peuvent que le détruire", car vivre en n'ayant pas de nom pour son géniteur peut avoir aussi de lourdes conséquences. La mère de son propre chef lui a enlevé un père, est-ce normal de laisser une place vide plutôt que de la combler par un "je ne sais pas qui c'est".
Mais effectivement d'un point de vu affectif tout se discute.
Ici c'est bien la possession d'état qui intervient. Si elle reste une place pour l'enfant dans la plupart des cas, dans cette situation elle est peut-être aussi une aberration judiciaire.
Financièrement la mère profite de cette situation en connaissance de cause et la justice cautionne cela par une seule loi et non l'étude de situation particulière. La raison ce sont les délais, et c'est bien pourquoi la mère a attendu que les délais se soient écoulés pour déverser ces quelques mots sans n'avoir plus peur de rien. Que peut-on faire face à cette situation particulière ? Rien ! Ce qui est assez désolant puisque cela revient à dire le mensonge et surtout "le racket" reste protégé. Le père devra verser mensuellement de l'argent juste parce que l'on a abusé de lui tandis que le vrai père vivant tranquillement à 2km de l'enfant n'assumera jamais ses responsabilités. La loi l'y autorise ! Pourquoi aurait-il des scrupules à faire payer quelqu'un d'autre puisque la loi ne le contraindra jamais à faire face à ses obligations.
Aussi quand je dis "pourquoi cette enfant n'aurait pas droit à sa vérité" cela veut simplement dire que sa mère préférera taire définitivement l'identité de son vrai père plutôt que d'y mettre un nom (car celui-ci était marié et père de quatre enfants en habitant sa petite ville / de plus il reste le parrain).
Si pour certaines personnes mentir reste possible pour d'autres je peux comprendre que cela soit plus difficile (et si l'enfant avait besoin d'une greffe, si l'enfant tombait amoureuse d'un de ses demi-frères, va-t-elle savoir un jour….pourrais je maintenir cette hypocrisie, pourrais je entendre parler l'enfant de son parrain sans lui dire je viens d'apprendre que c'est ton père…)
Connaissant une personne à qui l'identité d'un vrai père a été cachée mais ayant surtout vu son désarroi au moment où il n'a pas pu parler à son géniteur mort. Je peux comprendre que l'on n'ait pas envie de mentir. Pour cette personne, l'identité à été connue après le décès (je suppose comme dans bien des cas et souvent ces personnes souffrent de n'avoir pas su). Sa demi-sœur grâce à une ancienne lettre d'amour l'avait retrouvé grâce à Internet mais sa souffrance est encore présente et la confiance qu'il avait pour ses parents s'est brisée et n'a pu se réinstaurer malgré ses 45 ans.
Il est donc très difficile de savoir si les démarches "ne peuvent que le détruire", car vivre en n'ayant pas de nom pour son géniteur peut avoir aussi de lourdes conséquences. La mère de son propre chef lui a enlevé un père, est-ce normal de laisser une place vide plutôt que de la combler par un "je ne sais pas qui c'est".
Mais effectivement d'un point de vu affectif tout se discute.
Ici c'est bien la possession d'état qui intervient. Si elle reste une place pour l'enfant dans la plupart des cas, dans cette situation elle est peut-être aussi une aberration judiciaire.
Financièrement la mère profite de cette situation en connaissance de cause et la justice cautionne cela par une seule loi et non l'étude de situation particulière. La raison ce sont les délais, et c'est bien pourquoi la mère a attendu que les délais se soient écoulés pour déverser ces quelques mots sans n'avoir plus peur de rien. Que peut-on faire face à cette situation particulière ? Rien ! Ce qui est assez désolant puisque cela revient à dire le mensonge et surtout "le racket" reste protégé. Le père devra verser mensuellement de l'argent juste parce que l'on a abusé de lui tandis que le vrai père vivant tranquillement à 2km de l'enfant n'assumera jamais ses responsabilités. La loi l'y autorise ! Pourquoi aurait-il des scrupules à faire payer quelqu'un d'autre puisque la loi ne le contraindra jamais à faire face à ses obligations.
bonsoir,
je comprends votre appelle, mais je pense avant tout a cette enfant
le pere n est pas celui qu il fait l enfant c est celui qu il aime et qu ileleve
avant de tout savoir votre ami adorer son enfant et je ne comprends pas que cette amour puisse s'envoler juste pour une histoire de sang
on parle d'un enfant avec une conscience et des sentiments
et vous vous parlez d argent
a vous entendre il faudrait retire le pain de la bouche de cete enfant pour donne a vos enfants
serais je plutot pas vous qu il refusait cette enfant
je comprends votre appelle, mais je pense avant tout a cette enfant
le pere n est pas celui qu il fait l enfant c est celui qu il aime et qu ileleve
avant de tout savoir votre ami adorer son enfant et je ne comprends pas que cette amour puisse s'envoler juste pour une histoire de sang
on parle d'un enfant avec une conscience et des sentiments
et vous vous parlez d argent
a vous entendre il faudrait retire le pain de la bouche de cete enfant pour donne a vos enfants
serais je plutot pas vous qu il refusait cette enfant
Bonsoir ,
Il est toujours très difficile ( même pour des parents ensemble face à des enfants aux réactions différentes ! ) de savoir si l'on fera plus de bien ou de mal en prenant telle ou telle décision ...
Dans votre cas, comme dans d'autres, comment évaluer les dégâts d'un tel comportement, à court et à long terme, malheureusement ... ?
Et si vous considériez l'éventualité d'une nouvelle procédure, à l'inverse ? A savoir revendiquer et assumer la paternité?
Il y a eu une énorme faute de la maman, celle de dire à l'enfant que Papa n'était pas son papa, mais sans vouloir lui dire qui il était, donc elle grandirait dans un espace paternel et masculin "vide", ce qui pour une fille est lourd de conséquences !
En tant que Papa, ayant toujours été son, leur, Papa, je ferais valoir tous ces mensonges, le mépris total de l'enfant qui, elle-même, n'avait pas forcément à savoir et à souffrir ( c'est immonde de raconter cela à une enfant, cela aurait pu rester entre vous ! ) ... pour demander la garde de mes deux enfants, élevés dans des conditions de mensonge et d'irrespect qui leur sont d'ores et déjà préjudiciables, afin de ne pas les séparer . Vous avez il me semble beaucoup d'éléments pour lancer une procédure, revoyez un avocat dans ce sens et envisagez de passer par le Juge des Enfants, peut-être, car l'énorme "souffrance", qui peut effectivement affecter toute son existence, de VOTRE fille, provoquée par la maman, vous donne, puisqu' étant le père ( le coeur, le sang ... ? ), tous droits et devoirs de protection de vos enfants .
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.... 3 zygomatiques suffisent pour sourire ....
§ même au plus bas, on devrait bien y arriver §
Il est toujours très difficile ( même pour des parents ensemble face à des enfants aux réactions différentes ! ) de savoir si l'on fera plus de bien ou de mal en prenant telle ou telle décision ...
Dans votre cas, comme dans d'autres, comment évaluer les dégâts d'un tel comportement, à court et à long terme, malheureusement ... ?
Et si vous considériez l'éventualité d'une nouvelle procédure, à l'inverse ? A savoir revendiquer et assumer la paternité?
Il y a eu une énorme faute de la maman, celle de dire à l'enfant que Papa n'était pas son papa, mais sans vouloir lui dire qui il était, donc elle grandirait dans un espace paternel et masculin "vide", ce qui pour une fille est lourd de conséquences !
En tant que Papa, ayant toujours été son, leur, Papa, je ferais valoir tous ces mensonges, le mépris total de l'enfant qui, elle-même, n'avait pas forcément à savoir et à souffrir ( c'est immonde de raconter cela à une enfant, cela aurait pu rester entre vous ! ) ... pour demander la garde de mes deux enfants, élevés dans des conditions de mensonge et d'irrespect qui leur sont d'ores et déjà préjudiciables, afin de ne pas les séparer . Vous avez il me semble beaucoup d'éléments pour lancer une procédure, revoyez un avocat dans ce sens et envisagez de passer par le Juge des Enfants, peut-être, car l'énorme "souffrance", qui peut effectivement affecter toute son existence, de VOTRE fille, provoquée par la maman, vous donne, puisqu' étant le père ( le coeur, le sang ... ? ), tous droits et devoirs de protection de vos enfants .
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.... 3 zygomatiques suffisent pour sourire ....
§ même au plus bas, on devrait bien y arriver §
Re -
Bien sûr, je m'adresse, à travers son amie, au Papa ...
Amie dont j'attends les réactions ! Car, en grande majorité, nos " hommes " ne sont pas très prolixes, et pudiques, et ce sont souvent les femmes qui exposent et écrivent les problèmes, en leur présence ...
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.... 3 zygomatiques suffisent pour sourire ....
§ même au plus bas, on devrait bien y arriver §
Bien sûr, je m'adresse, à travers son amie, au Papa ...
Amie dont j'attends les réactions ! Car, en grande majorité, nos " hommes " ne sont pas très prolixes, et pudiques, et ce sont souvent les femmes qui exposent et écrivent les problèmes, en leur présence ...
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.... 3 zygomatiques suffisent pour sourire ....
§ même au plus bas, on devrait bien y arriver §
Je suis désolé de voir à quel point cette femme n'a pas réfléchi à ses actes Comment des individus font le choix de faire un enfant dans le dos d'un autre, parce qu'il faut bien le dire : ils avaient le choix de nos jours.
Comment un vrai père biologique peut avoir le courage d'être simplement le parrain. C'est une honte pour lui de ne pas prendre ses responsabilités.
Faire supporter cela à un homme qui avait confiance quand on lit comment le mari a été trompé et s'était investi dans sa famille, une chance qu'il n'ait pas sombré dans une déprime totale. Si j'étais à sa place, j'irai voir le vrai père pour lui casser la g…..
Courage ! car quand on a affaire à ce type de femme qui peut cacher la vérité pendant des années, on a affaire à un monstre qui n'a pensé certainement qu'à elle. Il serait bien que l'enfant sache "mais plus tard" la vérité sur son vrai père J'aimerais bien que mon enfant sache qui je suis si jamais on me cachait une grossesse
Mais le père biologique ne sait peut-être rien ? Ou est content d'être libre de tout engagement par rapport à cette liaison.
Je crois qu'il faut voir du côté de la cour européenne, il y a eu une affaire avec gain de cause de ce type il me semble. Sinon j'espère que très vite les lois changeront pour que le vrai père soit obligé de prendre ses responsabilités. La mère savait bien elle ce qu'elle faisait à mon avis.
Cordialement
Luc
Comment un vrai père biologique peut avoir le courage d'être simplement le parrain. C'est une honte pour lui de ne pas prendre ses responsabilités.
Faire supporter cela à un homme qui avait confiance quand on lit comment le mari a été trompé et s'était investi dans sa famille, une chance qu'il n'ait pas sombré dans une déprime totale. Si j'étais à sa place, j'irai voir le vrai père pour lui casser la g…..
Courage ! car quand on a affaire à ce type de femme qui peut cacher la vérité pendant des années, on a affaire à un monstre qui n'a pensé certainement qu'à elle. Il serait bien que l'enfant sache "mais plus tard" la vérité sur son vrai père J'aimerais bien que mon enfant sache qui je suis si jamais on me cachait une grossesse
Mais le père biologique ne sait peut-être rien ? Ou est content d'être libre de tout engagement par rapport à cette liaison.
Je crois qu'il faut voir du côté de la cour européenne, il y a eu une affaire avec gain de cause de ce type il me semble. Sinon j'espère que très vite les lois changeront pour que le vrai père soit obligé de prendre ses responsabilités. La mère savait bien elle ce qu'elle faisait à mon avis.
Cordialement
Luc
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Bonjour,
J'ai longtemps cherché une histoire qui se rapproche de la mienne et je peux vous dire que je comprends votre désespoir.
Voila mon histoire;
En 1999 ma compagne tombe enceinte, neuf mois plus tard une fille est née. Je reconnais l'enfant et nous nous marions en 2001.
En 2006, nous nous séparons. Durant l'année 2007, je verse une pension alimentaire de 150 euros par mois, j'emmène ma fille en vacances, je lui offre des vêtements et lui fais découvrir plein de choses.
Début 2008 suite aux comportements et insinuations douteuses de mon ex femme, je décide de faire un test de paternité et je découvre avec stupeur que je ne suis pas le père biologique de cet enfant.
La suite relève d'un film d'horreur.
Je découvre également qui est le père biologique. Ce père n'est autre qu'un cousin avec lequel j'ai eu des problèmes durant ma jeunesse. En effet, lorsque j'avais 7/8 ans, j'ai été victime d'attouchements sexuels de sa part.
Dès la connaissance de ma paternité négative je consulte un avocat, j'arrête de payer et je refuse de prendre l'enfant en garde.
Actuellement, une saisie totale sur mon salaire est pratiquée pour payer la somme de 5000 euros à mon ex femme car le tribunal n'a pas pris en considération mon tes adn et le désaveux n'est pas encore introduit en justice faute de temps pour le tribunal.
Je sais que l'enfant n'a rien avoir avec ce qui s'est passé. Mais j'estime que sa mère qui était au courant depuis le début de l'identité du père et qui en + connaissait mon passé avec lui est fautive à 100 pour 100 dans cette histoire.
Il est compréhensible qu'il ne m'est plus possible de voir l'enfant et de l'assumer.
Merci de m'avoir lu et j espère que quelqu'un va pouvoir m'aider et me comprendre.
J'ai longtemps cherché une histoire qui se rapproche de la mienne et je peux vous dire que je comprends votre désespoir.
Voila mon histoire;
En 1999 ma compagne tombe enceinte, neuf mois plus tard une fille est née. Je reconnais l'enfant et nous nous marions en 2001.
En 2006, nous nous séparons. Durant l'année 2007, je verse une pension alimentaire de 150 euros par mois, j'emmène ma fille en vacances, je lui offre des vêtements et lui fais découvrir plein de choses.
Début 2008 suite aux comportements et insinuations douteuses de mon ex femme, je décide de faire un test de paternité et je découvre avec stupeur que je ne suis pas le père biologique de cet enfant.
La suite relève d'un film d'horreur.
Je découvre également qui est le père biologique. Ce père n'est autre qu'un cousin avec lequel j'ai eu des problèmes durant ma jeunesse. En effet, lorsque j'avais 7/8 ans, j'ai été victime d'attouchements sexuels de sa part.
Dès la connaissance de ma paternité négative je consulte un avocat, j'arrête de payer et je refuse de prendre l'enfant en garde.
Actuellement, une saisie totale sur mon salaire est pratiquée pour payer la somme de 5000 euros à mon ex femme car le tribunal n'a pas pris en considération mon tes adn et le désaveux n'est pas encore introduit en justice faute de temps pour le tribunal.
Je sais que l'enfant n'a rien avoir avec ce qui s'est passé. Mais j'estime que sa mère qui était au courant depuis le début de l'identité du père et qui en + connaissait mon passé avec lui est fautive à 100 pour 100 dans cette histoire.
Il est compréhensible qu'il ne m'est plus possible de voir l'enfant et de l'assumer.
Merci de m'avoir lu et j espère que quelqu'un va pouvoir m'aider et me comprendre.
Bonsoir,
nous venons de voir votre message sur ce forum et mon compagnon vient de lire votre témoignage et disant que vous êtes vraiment dans la même situation que lui et si vous souhaitez vous mettre en contact avec nous en privé pas de soucis.
Effectivement nous vous comprenons et trouvons que la justice ne fait pas son travail en se retranchant derrière l'intéret de l'enfant, car au final quel est l'intérêt de l'enfant. Aucun. L'intérêt c'est surtout celui de la mère pour lequel il n'y a pas de qualificatif.
nous venons de voir votre message sur ce forum et mon compagnon vient de lire votre témoignage et disant que vous êtes vraiment dans la même situation que lui et si vous souhaitez vous mettre en contact avec nous en privé pas de soucis.
Effectivement nous vous comprenons et trouvons que la justice ne fait pas son travail en se retranchant derrière l'intéret de l'enfant, car au final quel est l'intérêt de l'enfant. Aucun. L'intérêt c'est surtout celui de la mère pour lequel il n'y a pas de qualificatif.
Libramusic
vous avez tout notre soutien et si vous souhaitez échanger en privé pas de soucis, votre réaction est tout à fait légitime et personne ne peut se mettre à la place de ce que vous avez ressenti alors personne n'est en droit de vous juger. Beaucoup de mes connaissances auraient réagis comme vous et comme mon compagnon et ceux ou celle qui disent le contraire, faut-il qu'il soit dans la même situation pour pouvoir l'affirmer.
vous avez tout notre soutien et si vous souhaitez échanger en privé pas de soucis, votre réaction est tout à fait légitime et personne ne peut se mettre à la place de ce que vous avez ressenti alors personne n'est en droit de vous juger. Beaucoup de mes connaissances auraient réagis comme vous et comme mon compagnon et ceux ou celle qui disent le contraire, faut-il qu'il soit dans la même situation pour pouvoir l'affirmer.
Bonjour!
je suis dans la même situation que vous. Mon mari, quand il était jeune, avait reconnu un enfant, et tout de suite après la maman a coupé tout le lien avec lui. Il faut préciser aussi que l'enfant est né blanc alors que mon mari est noir! 13 ans après cette femme le contacte pour mener une requête contre lui (demande de pension alimentaire). Entre temps l'on fait un test qui se révèle négatif. Les photos montrent aussi qu'il n'y a aucun signe de métissage. La fin de l'histoire: la maman a une garde exclusive car la fille ne veut avoir aucun contact avec mon mari mais... la maman ne veut pas annuler cette fausse paternité... Plus de contact avec elle, impossible de la joindre pour régler cette situation. Sûrement, elle pense à un éventuel héritage alors que en réalité notre vie n'est pas facile (3 enfants, chômage, etc...). Et, de toute façon, c'est surtout cette situation qui nous pèse. Comme si un étranger est rentré dans notre vie privée...
Je suis aussi très étonnée par cette maman complètement irresponsable qui n'est même pas capable d'expliquer à son enfant qui est son vrai papa. Je plains cette femme qui a toujours vécu dans le mensonge. Mon mari n'a jamais voulu avoir un enfant avec elle, il était trop jeune, alors qu'elle a tout fait (mensonges, manipulation, la pression sur sa famille) pour qu'il reconnaisse cet enfant.
Que faire maintenant?
je suis dans la même situation que vous. Mon mari, quand il était jeune, avait reconnu un enfant, et tout de suite après la maman a coupé tout le lien avec lui. Il faut préciser aussi que l'enfant est né blanc alors que mon mari est noir! 13 ans après cette femme le contacte pour mener une requête contre lui (demande de pension alimentaire). Entre temps l'on fait un test qui se révèle négatif. Les photos montrent aussi qu'il n'y a aucun signe de métissage. La fin de l'histoire: la maman a une garde exclusive car la fille ne veut avoir aucun contact avec mon mari mais... la maman ne veut pas annuler cette fausse paternité... Plus de contact avec elle, impossible de la joindre pour régler cette situation. Sûrement, elle pense à un éventuel héritage alors que en réalité notre vie n'est pas facile (3 enfants, chômage, etc...). Et, de toute façon, c'est surtout cette situation qui nous pèse. Comme si un étranger est rentré dans notre vie privée...
Je suis aussi très étonnée par cette maman complètement irresponsable qui n'est même pas capable d'expliquer à son enfant qui est son vrai papa. Je plains cette femme qui a toujours vécu dans le mensonge. Mon mari n'a jamais voulu avoir un enfant avec elle, il était trop jeune, alors qu'elle a tout fait (mensonges, manipulation, la pression sur sa famille) pour qu'il reconnaisse cet enfant.
Que faire maintenant?
Bonsoir
Il y a parfois des aberrations , certain père marié reconnait l'enfant puis divorce se retrouve désavoué par les tribunaux
pour ne pas qu’il en a la garde Madame avoue a Monsieur et demande un test de paternité approuvé par le tribunal, celui-ci va prouver qu'il n’est pas le père donc le désavoué
D’autre apprend qu’il est le père par un test ADN de sa paternité lui est refusé en revanche par les tribunaux, soit disant demande trop tardive ? pour dévouver un père NON ? hallucinant non ?
ALLEZ COMPRENDRE ?
http://www.mariebedouet.com/
http://dinersroom.eu/3734/laccouchement-sous-x-prive-t-il-le-geniteur-du-droit-detablir-sa-paternite/
Il y a parfois des aberrations , certain père marié reconnait l'enfant puis divorce se retrouve désavoué par les tribunaux
pour ne pas qu’il en a la garde Madame avoue a Monsieur et demande un test de paternité approuvé par le tribunal, celui-ci va prouver qu'il n’est pas le père donc le désavoué
D’autre apprend qu’il est le père par un test ADN de sa paternité lui est refusé en revanche par les tribunaux, soit disant demande trop tardive ? pour dévouver un père NON ? hallucinant non ?
ALLEZ COMPRENDRE ?
http://www.mariebedouet.com/
http://dinersroom.eu/3734/laccouchement-sous-x-prive-t-il-le-geniteur-du-droit-detablir-sa-paternite/
Et alors je m'adresse à la compagne ,
Je ne suis pas persuadée, mais du tout ! que le papa ne puisse obtenir la garde de ses enfants, ses 2 enfants ...
Les manipulations de la maman vont "soindre", ca se dit pour " transpirer" ! les enfants seront entendus, confidentiellement, passez donc par le Juge des Enfants, ils auront un avocat personnel et confidentiel, cet avocat parlera pour eux, ils ne seront pas présents, sauf décision autre du Juge, plutôt rare, s'ils sont jeunes . Ces avocats sont désignés par le Bâtonnier . Et alors, il y a beaucoup de chances, prof ou pas, d'obtenir un équilibre familial, c'est le seul point d'intérêt des gamins !
Vous êtes amoureuse, confiez votre vie et celle de vos enfants à un homme ? Dont vous allez supporter, malgré lui, les volontés de la mère de ses enfants ? Invivable, je vous le promets, il se doit à ses enfants, ce qui est primordial, ne l'oubliez jamais ! Ce sont SES enfants ! Et leur mère reste leur mère, ils ont eu une histoire, mais elle est terminée, amoureusement parlant ! Entre les ex- et les nouvelles, se créent des relations, lorsqu'elles sont sans suspicion ni doute, au contraire, nous aimerions plutôt que nos problèmes se calment :!
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.... 3 zygomatiques suffisent pour sourire ....
§ même au plus bas, on devrait bien y arriver §