Marié, contestation de paternité impossible ?

Résolu/Fermé
Ville - 31 janv. 2009 à 12:56
Chan-elle Messages postés 3099 Date d'inscription dimanche 26 juillet 2009 Statut Membre Dernière intervention 22 mai 2016 - 27 févr. 2010 à 02:15
Bonjour,
A L'AIDE TOUT SIMPLEMENT !!


Que faire quand des Avocats rendent un dossier en annonçant qu’aucun espoir n’est possible !

Un désaveu de paternité signifie aujourd'hui en FRANCE remplir certaines conditions pour avoir droit à un jugement et dénoncer la paternité, mais que faire quand on a été trompé et que la situation fait qu'aucun texte de loi n'est adapté!
Quand la mère a mis le père d'un enfant volontairement parrain et cacher au mari durant sept ans que l'enfant n'était pas le sien. Que la supercherie n'est découverte qu'après le divorce par aveux mais en souhaitant conserver les droits de pension alimentaire et de succession !
Que faire lorsqu'il est soit disant trop tard en FRANCE!!

Une pension alimentaire réclamée grâce à une toute puissance protégée !!
Mais cet enfant a un père, aussi, pourquoi faire encore porter la faute à un homme qui n'est pas responsable et qui a déjà beaucoup souffert.

Devoir se résigner et essayer d'admettre qu'il n'y a aucun article pouvant nous aider reste difficile.
La mère a décidé de maintenir un enfant de (10 ans aujourd'hui) dans l'ignorance. Cette enfant à bien un père "connu" et pouvant être identifié mais cette dernière nous a annoncé qu'elle ne dévoilerai jamais à l'enfant l'identité de son vrai père et qu'après tout elle pouvait tout aussi bien avoir eu "pleins de relations ". Sauf qu'elle exige que ce soit mon compagnon qui assume le rôle de père par aide financière. Les relations avec l'enfant ont été interrompues dans le seul but d'une vérité dévoilée un jour, mais connaissant ladite personne c'est sur son lit de mort que l'enfant en aura certainement connaissance. C'est abjecte et nous aimerions de tout cœur pouvoir faire quelque chose avant, que la justice permette de lever le voile (pour que celui qui a été trompé puisse n'avoir plus cette charge, pour l'enfant qui pourra savoir un jour, et pour que le vrai père (parrain) prenne ses responsabilité.
Peut-être pourrez vous nous aider, aussi je demande votre aide et votre soutien, et vous remercie de ce que vous allez faire pour nous en nous conseillant.

-Que faire lorsque l’on a peut être aucune chance pour dénoncer une vérité devant des portes closes ?
-Que faire quand on a été victime d’une trahison que l’on n’osait pas imaginer et surtout lorsque l’on se sent impuissant au point de sombrer en étant atteint dans sa dignité …de se sentir diminué assis au coin d’une table perdu dans ses pensées.

C’est l’histoire de mon ami et cette histoire je souhaite en faire état, avec l’espoir de faire entendre sa détresse…mais surtout avec la crainte de répercussions plus graves sur une intimité bafouée. « Se sentir diminué assis au coin d’une table perdu dans ses pensées » c’est ce qui lui arrive aujourd’hui.
Cette histoire : je souhaite simplement vous la confier pour lui, parce que cette lutte devient vaine.

Sujet : DESAVEUX DE PATERNITE – INTIMIDATION POUR CONSERVER UNE PENSION ALIMENTAIRE VERSEE INJUSTEMENT

Pièces du dossier :
- Courrier retraçant les faits (ci-joint)
- Aveux écrits de l’ex-conjointe en date du 1er juillet 2006 mais sachant malgré ceci qu'elle aura gain de cause et conservera ses avantages.

La présentation du dossier nous ayant été refusée par plusieurs avocats, il nous est difficile de rester passif en étant témoin quotidiennement d’une mauvaise foi, d’un mépris des faits et du non respect de la dignité humaine, « si tu fais quelque chose ou demande la suppression de la pension alimentaire, tu n'auras aucun droit……..tu restes le père de l'enfant.

Monsieur D souhaite saisir le Tribunal afin que soit ordonnée une expertise sanguine et une recherche d’ADN pour établir la preuve de sa non-paternité concernant l’enfant D née le 23/01/1999 - lieu
Monsieur D souhaite que le Tribunal puisse se prononcer pour que la vérité soit enfin rendue par décision de Justice et souhaite dénoncer la filiation naturelle par le biais de cette action.

Au vu des différents éléments laissés à l’appréciation du Tribunal, il semblerait que Monsieur D ne soit pas le père de l’enfant D et que les faits qui lui ont été dissimulés volontairement n’excluent pas une certaine préméditation dans cette affaire.

MAIS CELA N'EST PAS RECEVABLE pour une histoire de mariage, de délais !

Sur les faits dénoncés :

- Entendu que Madame T est passé aux aveux après le divorce prononcé en date du 19 janvier 2006 en déclarant à Monsieur D qu’il n’était manifestement pas le père de l’enfant D.E mais que Monsieur D devait se taire pour préserver les apparences au regard de tiers.

- Entendu que Madame T a dissimulé volontairement les faits pendant toute la durée du mariage ce qui devrait constituer normalement une fraude.

- Entendu que le couple s’est marié le 07/08/1993, que Monsieur D est père d’un petit garçon D.C né le 05/09/1996 et que l’enfant D.E portant le nom de D de fait est née le 23/01/1999 avec une différence d’âge constatée entre les deux enfants de 2 ans 4 mois et 18 jours.
- Entendu que dans ces conditions Monsieur D était loin de songer à un adultère, 19 mois seulement après la naissance de son premier enfant.

- Entendu qu’en septembre 1998, Monsieur D s’investissait dans un projet immobilier au moyen d’un héritage personnel pour permettre à sa famille de s’installer en août 1999- lieu, et que préoccupé par ce projet familial, il était loin d’envisager qu’une tromperie puisse avoir lieu et qu’une conception extraconjugale lui soit cachée durant cette période et ce, jusqu’après la séparation définitive.

- Entendu que si les relations se sont dégradées à un moment où la vie de couple à été rendue difficile à cause de soupçons concernant les agissements personnels de Madame T (mais non de la conception d'un enfant illégitime mais devenant légitime par le mariage), Monsieur D n’avait jamais pensé que son épouse puisse être capable d’abus de confiance.
En effet, Monsieur D pensait sincèrement être le père de l’enfant.

- Entendu que les aveux formulées par Madame T et les recherches menées ensuite en parallèle par Monsieur D pour tenter de comprendre les faits permettent de supposer qu’à cette même période Madame T ait eu, non pas une simple aventure, mais une liaison soutenue avec Monsieur B demeurant à l’adresse indiquée xxxx que seul le Tribunal permettra d’impliquer dans cette affaire. En effet, Monsieur D s’il ne peut que s’accorder des doutes face à cette liaison extraconjugale par manque d’éléments, et même s’il a obtenu verbalement certaines confidences de membres de son entourage, évoquant une relation assez proche, ne peut que s’en référer au Tribunal.
- Toutefois entendu que Madame T à souhaité au cours de cette grossesse désigner Monsieur B en qualité de parrain de l’enfant, et que ce choix délibéré pourrait sembler intentionnel s’il s’avérait que Monsieur D ne soit pas le père de l’enfant et que le Tribunal souhaite disposer en complément d’éléments d’appréciation supplémentaires pour se prononcer sur la filiation de l’enfant, la "préméditation pourrait être évoquée"
MAIS NE L'EST PAS CAR RIEN NE PERMET EN France DE LE FAIRE
.
Il n’est pas sans rappeler que Monsieur D s’est investi depuis le 07/08/1993 durant 11 années de mariage et qu’il était loin d’envisager et de concevoir qu’un mensonge délibéré et un adultère ait pu avoir lieu à son insu.
Entendu que l’union du mariage entre Monsieur D et Madame T ne permettait pas de concevoir qu’il puisse y avoir fraude et abus de confiance.

Monsieur D pour prouver sa bonne foi dans cette affaire souhaiterai prendre en charge la totalité des frais d’expertise si la justice le lui permettait car Il souhaite que par le biais de cette action la vérité puisse être rétablit et enfin rendue par décision de Justice afin d’être exonéré du paiement de la pension alimentaire versée injustement.

Rien ne semble pourtant possible. Aujourd'hui j'ai deux petits bouts de 18 et 6 mois à qui je ne souhaite pas mentir. Alors pourquoi cette enfant n'aurait pas droit à sa vérité, pourquoi aussi mes enfants doivent "se priver" financièrement alors que le père "parrain" n'assume pas ses responsabilités car la justice va lui le permettre. Nous réglons la pension bien évidemment puisque Madame ne manque aucune réévaluation, Mais est-ce normal ?

7 réponses

Pour répondre à lele, ce n'est pas qu"un soucis financier puisque les 400 euros n'ont jamais cessé d'être versés mensuellement même si c'est très difficile de donner une telle somme avec deux bébés à la maison. Jamais nous n'avons voulu faire une révision de pension alimentaire, nous nous sommes toujours privés pour ne pas avoir à le faire. Du coup, effectivement parfois on se demande pourquoi le vrai père n'a pas l'obligation de participer si l'on peut prouver par ADN qu'il est le vrai père, car pour lui cette situation n'a aucune conséquence, c'est facile dans ces conditions.

Une femme n'a qu'à se marier, et puis toutes les années tomber enceinte d'un partenaire différent, puis dire à son mari quand ça l'arrange que ce ne sont pas ses enfants, divorcer et lui assumera le reste.
Malheureusement c'est bien plus complexe que quelques euros, cette femme a dit à l'ex-mari que ce n'était pas son enfant et à l'enfant que Monsieur D n'était pas son père.
Mais enlever un père sans lui trouver de remplaçant, ce n'est pas comme cela que je vois les choses.

Il faut préciser que le père n'a jamais pu voir l'enfant après les aveux, Madame s'y est tout d'abord opposé, puis argumenté, ensuite c'est devenu plus subtile (activités, absences, maladie….) , c'est peut être aussi pour ne plus qu'il voit l'enfant qu'elle lui a tout simplement dit la vérité. Je n'étais pas présente à ce moment là mais Monsieur D. ne savait plus quoi faire ? Aller déposer plainte, faire un scandale, chercher l'enfant avec la police qui n'ont pas le droit d'intervenir mais simplement de constater. Lui se sentait très mal après cette nouvelle et était mal renseigné également comme souvent les pères dans ce type de situation…..et puis le temps passe car même une procédure prends du temps, on ne voit pas si facilement ses enfants du jour au lendemain quand l'autre se soustrait avec malice à l'obligation. Parfois on ne sait pas trop quoi faire.

Pour tatasouris, ensuite nous y avons bien pensé car il aurait été plus simple d'avoir l'enfant avec nous, de lui expliquer après le mal fait par sa mère que même si ce n'était pas son papa, il était là, qu'un jour sa maman lui parlerait sans doute de son vrai papa (car quoi lui dire après ? qu'il y avait aussi un autre papa inconnu, impossible).
Mais sa mère a fait tout ce qu'il fallait pour rompre le dialogue et que la vérité ne se sache pas.
Nous avons eu connaissance de la manière dont la petite avait été mise au courant uniquement par l'intermédiaire d'un petit de 12 ans. C'est lamentable car cet enfant de 12 ans sait (toujours par sa mère) que le père de la petite est le parrain, mais il a ordre de ne rien dire.
La petite a été écartée et aujourd'hui le sénario semble vouloir se reproduire car L'enfant nous arrivions à la voir quelques fois mais en menant une lutte incessante et usante (dont aujourd'hui je ne me sens plus le courage) pour seulement pouvoir le prendre 5 – 6 week-end de garde par an et encore ! Exclu le reste vacances scolaires et j'en passe.
L'enfant adore sa mère mais n'est pas en mesure de réaliser que c'est une emprise permanente qu'elle exerce sur lui. Le petit est d'ailleurs très renfermé sur lui-même, étouffé par la pression maternelle, il rencontre diverses difficultés psychosomatiques. (tout le contexte serait très long à décrire et la situation devrait faire l'objet d'une analyse et sans doute ensuite d'une expertise)
Exple : Sous la coupe de sa mère l'enfant prenait dernièrement du Laroxyl pour dormir à 12 ans, d'ailleurs son père depuis 2 mois n'arrive plus à le voir : il est soit disant inscrit à tout un tas d'activités (nous habitons à 90 km). L'enfant va même à la messe tous les dimanche avec ferveur !.
Je pense qu'elle a décidé à présent de faire en sorte que les seuls petits liens cessent définitivement. Nous avons pensé faire quelque chose en justice mais nous savons que ce serait peine perdue le temps des démarches…. Une pathologie serait également difficile à prouver (même si nous sommes certains qu'il y a bien un soucis), mais excepté un suivi psy à une époque antérieure, cette femme reste sans "reproches", bien inséré socialement – professeur – de bonne apparence mais très manipulatrice et menteuse.
Nous avons bien entendu pensé à la souffrance de l'enfant mais pas seulement, nous nous sommes bien souvent aussi posé des questions sur l'autre enfant. Quoi faire réellement ? Nous n'avons pas de solution, ni dans un sens, ni dans l'autre… c'est très délicats, les enfants vivant avec leur mère suivent les directives en les appliquant à la lettre comme cela devient souvent le cas lors de divorces.
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tarasouris Messages postés 4141 Date d'inscription lundi 4 août 2008 Statut Contributeur Dernière intervention 21 janvier 2011 1 077
1 févr. 2009 à 04:05
Re -
Et alors je m'adresse à la compagne ,

Je ne suis pas persuadée, mais du tout ! que le papa ne puisse obtenir la garde de ses enfants, ses 2 enfants ...
Les manipulations de la maman vont "soindre", ca se dit pour " transpirer" ! les enfants seront entendus, confidentiellement, passez donc par le Juge des Enfants, ils auront un avocat personnel et confidentiel, cet avocat parlera pour eux, ils ne seront pas présents, sauf décision autre du Juge, plutôt rare, s'ils sont jeunes . Ces avocats sont désignés par le Bâtonnier . Et alors, il y a beaucoup de chances, prof ou pas, d'obtenir un équilibre familial, c'est le seul point d'intérêt des gamins !

Vous êtes amoureuse, confiez votre vie et celle de vos enfants à un homme ? Dont vous allez supporter, malgré lui, les volontés de la mère de ses enfants ? Invivable, je vous le promets, il se doit à ses enfants, ce qui est primordial, ne l'oubliez jamais ! Ce sont SES enfants ! Et leur mère reste leur mère, ils ont eu une histoire, mais elle est terminée, amoureusement parlant ! Entre les ex- et les nouvelles, se créent des relations, lorsqu'elles sont sans suspicion ni doute, au contraire, nous aimerions plutôt que nos problèmes se calment :!


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                               .... 3 zygomatiques suffisent pour sourire ....
                             §  même au plus bas, on devrait bien y arriver §
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