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1 réponse
Bonjour, je suis effarée de voir combien de personnes ne se sentent pas bien sur leur lieu de travail suite à des harcèlements, et on dira ce que l'on voudra mais surtout des femmes...alors moi, la 1ière chose que j'aurais faite, c'est de lui mettre mon poing dans la figure à cette N+1 ! ! mais c'est un point de vue très subjectif ! d'un point de vue plus raisonnable, si tu revois la médecine du travail, il faut vraiment expliquer le pourquoi du comment, l'affrontement avec cette personne qui t'est insupportable, ta direction qui te prend un peu pour une imbécile, on t'attribue un nouveau poste, on te demande de poser des congés et hop ! ton poste part en fumée!!!!
Dans ma situation, j'ai personnellement sollicité un rdv avec la médecine du travail qui connaissait plus ou moins l'histoire de la société où je travaille. La toubib ne veut pas me mettre inapte et m'a fortement conseillé de me mettre en arrêt et de ne pas avoir de scrupules. Avoir des scrupules alors que je ne suis pas en faute, est très douloureux à vivre, je ne peux pas non plus démissionner car financièrement, cela est impossible. Je démissionnerais en dernier recours si un nouveau travail m'attend !
Alors il ne faut pas céder, tu n'es pas dans ton tort. Tu vois venir un éventuel licenciement? Et bien, laisse les faire, pose tes congés ou va voir ton généraliste en lui expliquant clairement la situation. S'il comprend, il te mettra en arrêt et il faudra penser après à ce que tu vas faire. Nous ne pouvons pas tout faire en même temps: il faut y aller par étape et même si tu n'es pas procédurière, il faut penser à toi et ne pas t'isoler, t'enfermer dans cette situation. Personnellement, j'ai mis longtemps avant de réagir: je prenais la fuite dans les arrêts maladie, j'étais bien, seule dans ma maison et à gérer le quotidien. Mes congés d'été arrivaient, j'étais très bien, je me suis ressaisie mais trop tard, le mal psychique était fait et aujourd'hui je me reconstruis petit à petit avec l'aide d'une psychologue, c'est long mais j'arrive tout doucement à refaire surface!
Bon courage pour la suite
Dans ma situation, j'ai personnellement sollicité un rdv avec la médecine du travail qui connaissait plus ou moins l'histoire de la société où je travaille. La toubib ne veut pas me mettre inapte et m'a fortement conseillé de me mettre en arrêt et de ne pas avoir de scrupules. Avoir des scrupules alors que je ne suis pas en faute, est très douloureux à vivre, je ne peux pas non plus démissionner car financièrement, cela est impossible. Je démissionnerais en dernier recours si un nouveau travail m'attend !
Alors il ne faut pas céder, tu n'es pas dans ton tort. Tu vois venir un éventuel licenciement? Et bien, laisse les faire, pose tes congés ou va voir ton généraliste en lui expliquant clairement la situation. S'il comprend, il te mettra en arrêt et il faudra penser après à ce que tu vas faire. Nous ne pouvons pas tout faire en même temps: il faut y aller par étape et même si tu n'es pas procédurière, il faut penser à toi et ne pas t'isoler, t'enfermer dans cette situation. Personnellement, j'ai mis longtemps avant de réagir: je prenais la fuite dans les arrêts maladie, j'étais bien, seule dans ma maison et à gérer le quotidien. Mes congés d'été arrivaient, j'étais très bien, je me suis ressaisie mais trop tard, le mal psychique était fait et aujourd'hui je me reconstruis petit à petit avec l'aide d'une psychologue, c'est long mais j'arrive tout doucement à refaire surface!
Bon courage pour la suite