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kang74
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7 sept. 2023 à 07:19
7 sept. 2023 à 07:19
Bonjour
Vous êtes libre de ne plus y emmener votre fille : quelle était la raison pour laquelle vous l'avez emmené ?
Si votre fille a besoin d'un suivi, vous avez d'autres dispositifs, gratuits, comme la maison des ados et les point d'information jeunesse .
L'avantage c'est que si votre fille a besoin de voir un autre professionnel, ou s'il n'y a pas de besoin, ils vous le diront .
Vous ne pouvez pas laisser votre fille, par contre, sans aide, si un medecin a décidé qu'elle avait besoin d'un suivi .
7 sept. 2023 à 07:39
J’ai fait suivre ma fille suite au visite médiatisé la dame m’a conseiller de le faire je l’ai donc fait. J’ai sus que si mon médecin traitant me fesai une ordonnance pour le dispositif monspy les visites serait remboursé à 100 %
7 sept. 2023 à 07:48
Le Psycologue c’est aussi permis de me dire vous savez si ça va pas chez papa et chez maman … Et il n’a pas finis sa phrase j’ai compris qu’il me fesais comme une menace alors que ma fille n’a rien fait de grave. J’ai eu l’impression qu’il sous entendait comme un placement. Il c’est aussi permis de critiquer l’école de ma fille en disant que ma fille ne tenait pas assez bien sont stylo et que l’école lui apprenait rien franchement tout se passait bien je n’est vraiment pas compris se comportement. Il m’a demander les coordonnées du père que j’ai donner. Mais je ne veux plus que ma fille voit se professionnel . Surtout qu’il me laissait pas en placer une sous prétexte que c’était lui le professionnel et que je n’avais pas à répliquer
7 sept. 2023 à 08:08
Qu'importe ce qu'a dit le psychologue en fait ( je ne me permettrais pas de juger, certains choses que vous rapportez ne sont pas dénuées d’intérêt , pour votre fille, même si la forme de la communication n'y est pas du tout)
Si votre fille ne s'y sent pas à l'aise pour se confier, cela ne sert à rien .
Mais il lui faut un suivi si on vous l'a conseillé, pour justement éviter d'être prise en défaut .
7 sept. 2023 à 08:45
D’accord je trouverais un autre professionnel. Je pourrais dire quoi pour éviter le suivie avec lui ? Parce que ma fille ne veut plus y aller depuis qu’il lui a dit je vais te faire retourner chez ton père
7 sept. 2023 à 09:00
Vous êtes libre de changer de professionnel et il serait contre productif pour votre enfant, de la forcer à y aller .
Bien évidemment vous ne remettez pas en cause ses compétences mais vous dites que votre enfant ne semble pas bien réceptive à sa méthodologie , qu'elle ne veut pas poursuivre .
Mais dans le contexte, il vous faut un autre professionnel : la maison des adolescent me semble plus adaptée, car c'est une équipe pluridisciplinaire.
Le point d'information jeunesse aussi, pour une aide ponctuelle, pour orienter ( ou pas) si besoin vers un professionnel qui aura l'approche adaptée pour votre fille .
Il faut les appeler en attendant de trouver un autre professionnel en libéral... qu'il faudra surement payer au prix fort .
En résumé, vous êtes libre d'arreter mais vous n'êtes pas libre de ne pas trouver, rapidement, une solution pour votre fille autre .
Je vous rappelle l'article 1 du code déontologie d'un psychologue :
Principe 1 : Respect des droits fondamentaux de la personne
La·le psychologue réfère son exercice aux libertés et droits fondamentaux garantis par la loi et la Constitution, par les principes généraux du Droit communautaire et par les conventions et traités internationaux. Elle·il exerce dans le respect de la personne, de sa dignité et de sa liberté.
La·le psychologue s’attache à respecter l’autonomie de la personne et en particulier son droit à l’information, sa liberté de jugement et de décision. Toute personne doit être informée de la possibilité de consulter directement la·le psychologue de son choix.
Article 9 : La·le psychologue recherche systématiquement le consentement libre et éclairé de ceux qui la·le consultent ou qui participent à une évaluation ou une expertise. Elle·il les informe de façon claire et intelligible des objectifs, des modalités, du coût éventuel et des limites de son intervention. Le cas échéant, elle·il leur indique la possibilité de consulter un·e autre praticien·ne.
Article 11 : Dans le cadre d’une pratique auprès d’un·e mineur·e, la·le psychologue s’assure autant que possible de son consentement. Elle·il recherche l’autorisation des représentants légaux dans le respect des règles relatives à l’autorité parentale.