Médecin sans retenu

Résolu
Daniele - 8 déc. 2021 à 19:26
nenuphar. Messages postés 5858 Date d'inscription dimanche 8 mars 2020 Statut Membre Dernière intervention 16 avril 2024 - 8 déc. 2021 à 22:57
Bonjour,
Je fais appel ici pour savoir comment se plaindre d'un médecin qui a eu un comportement déplacé, limite anti professionnel. Ma fille a consulté un médecin et en est ressorti choquée. Ce médecin l'a osculté et la fait monter sur la balance et lui dit d'un ton sévère "bon bah vous êtes grosse", pour moi
c'est une insulte. Et ce n'est pas tout il lui a carrément fait une pression vaccinale sans respecter son consentement est une honte et inadmissible de la profession. Peux on agir pour faire cesser ce comportement qui n'est pas normal pour un médecin qui doit rester neutre et respecter son patient.
Il y a des mots qu'un professionnel devrait employer pour parler à ses patients. Je vous remercie de me conseiller car cela ne devrait pas se produire.

3 réponses

hoquei44 Messages postés 16014 Date d'inscription dimanche 19 janvier 2014 Statut Membre Dernière intervention 16 avril 2024 8 594
Modifié le 8 déc. 2021 à 19:34
Bonjour,


bon bah vous êtes grosse", pour moi c'est une insulte.

Pour un médecin non, tant que l'on est dans le factuel. Il existe même une indice pour évaluer la grosseur, l'IMC.

CB

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Oui on dit obésité et pas "vous êtes grosse", c'est pas dans l'indice le mot grosse.
Pour le vaccin une réponse pour le forcing ? Vôtre réponse ne précise pas ou vous avez pu voir dans l'indice IMC le mot grosse ? Je viens de regarder et le mot obésité est écrit dans l'imc. Il y a quand même une façon de parler aux gens.
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hoquei44 Messages postés 16014 Date d'inscription dimanche 19 janvier 2014 Statut Membre Dernière intervention 16 avril 2024 8 594 > Daniele
Modifié le 8 déc. 2021 à 20:04
C'est quoi pour vous un forcing dans votre situation ? Car votre notion ne peut pas être plus vague malheureusement.
Pour le marketing la publicité est considérée comme une technique afin de forcer les ventes de produits. Pourtant sur le service public (et consorts), il existe bien des campagnes de sensibilisation pour la vaccination, avec même des discours incitatif de temps à autres. Est-ce du forcing ? Oui. Est-ce légal ? Oui.
Forcing et prévention. Nuance dans les termes afin de décrire exactement la même notion. La seule différence vient de la connotation morale que vous faites. En employant le mot forcing, vous en faites vous-même un après de l'avis de l'interlocuteur que vous interrogez en usant d'un terme ayant une mauvaise connotation, vous manipulez votre auditeur afin d'obtenir une réponse préprogrammée. Une autre personne pourrait user du terme "prévention active" et l'avis serait opposer. Certains usent avec habilité de ces techniques, d’autres avec inconscience, mais le résultat est le même.
C'est un peu comme votre nuance entre "grosse" et "obèse", ce sont deux synonymes mais pour le premier que vous estimez péjoratif et le second non. Pourtant factuellement, ceux sont des termes synonymes.

Mais là on entre dans le domaine de la psychologie et plus du juridique.

Voici à quoi vous risquez de vous heurter si vous lancez une procédure à l'encontre du médecin. J'espère que vous pourrez étayer vos arguments car pour l'heure, ils sont maigre. Dans le cas contraire, vous risquez de vous voir débouter de votre demande.

CB
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Daniele > hoquei44 Messages postés 16014 Date d'inscription dimanche 19 janvier 2014 Statut Membre Dernière intervention 16 avril 2024
Modifié le 8 déc. 2021 à 20:25
Désolée mais un médecin n'a aucun droit sans le consentement libre et éclairé de son patient. Faire une pression sur un vaccin dont elle ne faisait pas la démarche personnelle est illégal, tout comme la culpabilisé. Il n'a pas employer des termes de prévention mais de culpabilité c'est pas la même chose. Ce médecin devrait comprendre le mot non et respecter le code de déontologie.
Il devrait avoir comme vous dites de la psychologie envers ses patients et savoir parler comme il faut. Ce n'est pas en traitant ses patientes de grosse que cela ne risque pas de déclencher d'autre facteur aggravant, notamment quand une patiente a déjà dû mal.
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