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djivi38
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Modifié le 11 sept. 2021 à 18:56
Modifié le 11 sept. 2021 à 18:56
bonjour,
à post long réponse longue... :-)
Électricité :
En location meublée la revente d'électricité est tolérée à condition que ce soit sous forme de forfait.
Et qui dit forfait, dit montant invariable tout au long de la location d'un même locataire quel que soit le montant des consommations (donc PAS de régularisation de charges possible ni de reversement en cas de trop versé),
ET, comme toutes les autres charges doivent être SOIT au forfait SOIT au réel (la "mixité" n'est pas possible), quand il y a revente d'électricité (en meublé) toutes les autres charges seront aussi au forfait.
https://www.60millions-mag.com/forum/gaz-et-electricite/paiement-facture-electricite-t4876.html
C'est une "clause abusive", réputée non écrite.
=> Réclamez le trop perçu.. en mentionnant un délai de remboursement (*)
Vous pouvez contacter l’ADIL la plus proche du lieu de votre location : des juristes de l’immobilier vous conseilleront gratuitement.
https://www.anil.org/lanil-et-les-adil/votre-adil/
Révision annuelle du loyer :
Une révision annuelle de loyer ayant été mentionnée au contrat lors de sa signature, le bailleur est en droit de la pratiquer à l'échéance du bail (ou à une autre date mentionnée au contrat), mais s'il ne la pratique pas, il n'y a pas de rétroactivité :
en cas d'"oubli" (volontaire ou pas), le bailleur peut pratiquer en cours de bail une révision du loyer en fonction des indices du trimestre mentionné au contrat : le nouveau loyer démarrera alors à la date d'envoi de la notification du nouveau loyer.
A cette occasion, le forfait de charges sera ajouté au montant du loyer pour calculer le nouveau loyer [ce qui n'est pas le cas quand il s'agit de provisions de charges (au réel)].
Par exemple pour vous :
loyer = 790 €
forfait de charges = 60 €
Formule de révision :
(loyer + forfait charges) / indice du trim. année N-1 x indice même trim. année N
https://www.anil.org/outils/indices-et-plafonds/tableau-de-lirl/
--> SI la révision avait été faite pour le 29/08/2020 :
(790 + 60) / 129,72 x 130,57 = 855,569 -> arrondi des € -> 855,57 € (soit une augmentation du loyer de 5,57 €)
et la révision pour le 29/08/2021 aurait été :
(795,57 + 60)
855,57 / 130,57 x 131,12 = 859,17 €
MAIS comme la révision de 2020 n'a pas eu lieu, celle pour le 29/08/2021 a dû être :
(790 + 60) / 130,57 x 131,12 = 853,58 € : ce nouveau loyer démarre :
- SOIT à partir du 29/08 si demandé à temps
- SOIT à partir de la date d'envoi d'information du nouveau loyer si envoi postérieur au 29/08,
et ce loyer sera applicable pendant 1 an, soit jusqu'au 28/08/2022 (ou + si pas d'information de révision donnée à temps pour le 29/08/2022).
Listes des charges récupérables :
Vous avez raison, les charges doivent être listées et leur "qualification" doit être précisée (en l'occurrence "forfaitaires" puisque que revente d'électricité pour votre meublé).
Quittances :
du moment que le locataire les demande, le bailleur a obligation de lui fournir gratuitement, en détaillant le montant du loyer et celui des charges (enfin... le montant du forfait de charges !)
Moyen de paiement :
un bailleur n'est pas en droit d'en imposer un à son locataire : celui-ci a le libre choix de son moyen de paiement... cela dit, les virements (VS les prélèvements) sont les moyens sont les + adaptés (le locataire reste ainsi maître de ses comptes).
+ Assurance locataire :
??
L'assurance du logement est à prendre par le locataire auprès de la compagnie de son choix : votre bailleur vous fait-il payer quelque chose pour l'assurance de votre logement ?
"Si vous voulez partir, dites le moi simplement"
Si vous voulez partir, vous aurez obligation de donner votre congé en respectant un préavis de 1 mois (puisque d'office de 1 mois pour les locations meublées) ET en respectant fond et forme :
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F1168
Ne surtout pas avertir votre bailleur de votre intention de résilier votre bail : vous lui donneriez, si vous choisissiez le moyen le + courant de donner congé (la LRAR), l'occasion de faire le sourd au passage du facteur et de ne pas aller la récupérer à la Poste; votre lettre vous reviendrait après les 14 jours de mise à disposition du destinataire par la Poste, et vous auriez alors l'obligation de vous tourner vers une des 2 autres façons de donner son congé : parce que, pour qu'on congé émanant d'un locataire soit valable, il faut que le bailleur ait effectivement réceptionné la notification de congé de son locataire, d'où, une perte de temps pour vous d'au moins une bonne quinzaine de jours et une obligation de payer plus longtemps loyer et charges...
(*)
Arrêtez les mails (en cas de litiges, certains juges ne les considèrent pas comme preuves), et échangez dorénavant et une bonne fois pour toutes par courrier R+AR (dont vous gardez copie et récépissés) :
- de contestation des "provisions" de charges,
- de la notification de la clause abusive réputée non écrite,
- et de remboursement du trop perçu,
en concluant (éventuellement) par quelque chose du genre :
<< En cas de la poursuite du non respect de la loi du 6/7/1989 et du non respect du délai imparti pour le remboursement des indus, je confierai le litige à la commission départementale de conciliation et, s'il le faut, je vous assignerai devant le tribunal d'instance où, en plus, je demanderai des dommages et intérêts au titre de l'article 700 du Code civil. >>
Pour votre info lire ici :
-> Saisine de la commission départementale de conciliation : article 7 du décret n°2001-653 du 19 juillet 2001 et art 20-A loi 6/7/1989
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F1216
-> Saisine du tribunal d'instance :
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/R14232
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F1783
En complément et à toutes fins utiles, je vous propose la lecture d’un de mes topos, ainsi que celle des liens donnés :
https://droit-finances.commentcamarche.com/forum/affich-8399640-location-visite-limite-et-coup-de-coeur-qui-fait-les-travaux#2
En espérant avoir pu vous aider...
cdt.
à post long réponse longue... :-)
Électricité :
En location meublée la revente d'électricité est tolérée à condition que ce soit sous forme de forfait.
Et qui dit forfait, dit montant invariable tout au long de la location d'un même locataire quel que soit le montant des consommations (donc PAS de régularisation de charges possible ni de reversement en cas de trop versé),
ET, comme toutes les autres charges doivent être SOIT au forfait SOIT au réel (la "mixité" n'est pas possible), quand il y a revente d'électricité (en meublé) toutes les autres charges seront aussi au forfait.
https://www.60millions-mag.com/forum/gaz-et-electricite/paiement-facture-electricite-t4876.html
"... conditions de dépassement "au-delà de 52€ par mois, le locataire doit payer la différence". "
C'est une "clause abusive", réputée non écrite.
=> Réclamez le trop perçu.. en mentionnant un délai de remboursement (*)
Vous pouvez contacter l’ADIL la plus proche du lieu de votre location : des juristes de l’immobilier vous conseilleront gratuitement.
https://www.anil.org/lanil-et-les-adil/votre-adil/
Révision annuelle du loyer :
Une révision annuelle de loyer ayant été mentionnée au contrat lors de sa signature, le bailleur est en droit de la pratiquer à l'échéance du bail (ou à une autre date mentionnée au contrat), mais s'il ne la pratique pas, il n'y a pas de rétroactivité :
en cas d'"oubli" (volontaire ou pas), le bailleur peut pratiquer en cours de bail une révision du loyer en fonction des indices du trimestre mentionné au contrat : le nouveau loyer démarrera alors à la date d'envoi de la notification du nouveau loyer.
A cette occasion, le forfait de charges sera ajouté au montant du loyer pour calculer le nouveau loyer [ce qui n'est pas le cas quand il s'agit de provisions de charges (au réel)].
Par exemple pour vous :
loyer = 790 €
forfait de charges = 60 €
Formule de révision :
(loyer + forfait charges) / indice du trim. année N-1 x indice même trim. année N
https://www.anil.org/outils/indices-et-plafonds/tableau-de-lirl/
--> SI la révision avait été faite pour le 29/08/2020 :
(790 + 60) / 129,72 x 130,57 = 855,569 -> arrondi des € -> 855,57 € (soit une augmentation du loyer de 5,57 €)
et la révision pour le 29/08/2021 aurait été :
(795,57 + 60)
855,57 / 130,57 x 131,12 = 859,17 €
MAIS comme la révision de 2020 n'a pas eu lieu, celle pour le 29/08/2021 a dû être :
(790 + 60) / 130,57 x 131,12 = 853,58 € : ce nouveau loyer démarre :
- SOIT à partir du 29/08 si demandé à temps
- SOIT à partir de la date d'envoi d'information du nouveau loyer si envoi postérieur au 29/08,
et ce loyer sera applicable pendant 1 an, soit jusqu'au 28/08/2022 (ou + si pas d'information de révision donnée à temps pour le 29/08/2022).
Listes des charges récupérables :
Vous avez raison, les charges doivent être listées et leur "qualification" doit être précisée (en l'occurrence "forfaitaires" puisque que revente d'électricité pour votre meublé).
Quittances :
du moment que le locataire les demande, le bailleur a obligation de lui fournir gratuitement, en détaillant le montant du loyer et celui des charges (enfin... le montant du forfait de charges !)
Moyen de paiement :
un bailleur n'est pas en droit d'en imposer un à son locataire : celui-ci a le libre choix de son moyen de paiement... cela dit, les virements (VS les prélèvements) sont les moyens sont les + adaptés (le locataire reste ainsi maître de ses comptes).
+ Assurance locataire :
??
L'assurance du logement est à prendre par le locataire auprès de la compagnie de son choix : votre bailleur vous fait-il payer quelque chose pour l'assurance de votre logement ?
"Si vous voulez partir, dites le moi simplement"
Si vous voulez partir, vous aurez obligation de donner votre congé en respectant un préavis de 1 mois (puisque d'office de 1 mois pour les locations meublées) ET en respectant fond et forme :
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F1168
Ne surtout pas avertir votre bailleur de votre intention de résilier votre bail : vous lui donneriez, si vous choisissiez le moyen le + courant de donner congé (la LRAR), l'occasion de faire le sourd au passage du facteur et de ne pas aller la récupérer à la Poste; votre lettre vous reviendrait après les 14 jours de mise à disposition du destinataire par la Poste, et vous auriez alors l'obligation de vous tourner vers une des 2 autres façons de donner son congé : parce que, pour qu'on congé émanant d'un locataire soit valable, il faut que le bailleur ait effectivement réceptionné la notification de congé de son locataire, d'où, une perte de temps pour vous d'au moins une bonne quinzaine de jours et une obligation de payer plus longtemps loyer et charges...
(*)
Arrêtez les mails (en cas de litiges, certains juges ne les considèrent pas comme preuves), et échangez dorénavant et une bonne fois pour toutes par courrier R+AR (dont vous gardez copie et récépissés) :
- de contestation des "provisions" de charges,
- de la notification de la clause abusive réputée non écrite,
- et de remboursement du trop perçu,
en concluant (éventuellement) par quelque chose du genre :
<< En cas de la poursuite du non respect de la loi du 6/7/1989 et du non respect du délai imparti pour le remboursement des indus, je confierai le litige à la commission départementale de conciliation et, s'il le faut, je vous assignerai devant le tribunal d'instance où, en plus, je demanderai des dommages et intérêts au titre de l'article 700 du Code civil. >>
Pour votre info lire ici :
-> Saisine de la commission départementale de conciliation : article 7 du décret n°2001-653 du 19 juillet 2001 et art 20-A loi 6/7/1989
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F1216
-> Saisine du tribunal d'instance :
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/R14232
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F1783
En complément et à toutes fins utiles, je vous propose la lecture d’un de mes topos, ainsi que celle des liens donnés :
https://droit-finances.commentcamarche.com/forum/affich-8399640-location-visite-limite-et-coup-de-coeur-qui-fait-les-travaux#2
En espérant avoir pu vous aider...
cdt.
Modifié le 11 sept. 2021 à 19:19
Merci pour votre réponse qui m'a effectivement bien aidé.
Dans le bail est bien écrit "Soit un total de : 850€ + assurance locataire" mais je paie bien mon assurance logement de par moi-même.
Après vous avoir lu, j'aurais cependant d'autres questions :
1) Sachant qu'il n'est précisé nul part, clairement et sans ambiguité, que les charges sont au forfait ; de par le bail où la spécification du loyer et des charges est très maladroite, de par la quittance qui précise "provision pour charges" et de par la régularisation qui a eue lieu à la suite de la première année de location où j'ai effectué un virement de 223€ pour l'électricité.
De mon côté, j'ai donc toujours pensé qu'il s'agissait de charges au réel ; doit-on tout de même, dans ces circonstances, obligatoirement considérées ces charges comme au forfait ?
La première année j'ai bien payé un dépassement d'électricité mais la seconde année, j'ai du coup fait très attention. Résultat :
- consommation effective d'électricité = 48,04€ ;
- provision pour charges payée sur l'année = 864€ ;
- la propriétaire ne veut me rembourser que 240€.
2) Si on part du principe que l'on reste au forfait, ce mode peut-il changé pour les années suivantes ?
Et suis-je dans mon droit en "surconsommant" (= comprendre ne pas me priver comme cela a été fait l'année en cours, où je pensais être remboursé...) ? En sachant que j'aurais donc beaucoup perdu sur la deuxième année où j'ai fait très attention...
3) Avec tous ces soucis, j'avais demandé à la propriétaire d'ouvrir mes propres contrats d'électricité et d'internet à mon nom, ce à quoi elle m'a répondu qu'elle ne payerai pas de frais de résiliation pour l’électricité et internet et ne souhaite donc pas les mettre à mon nom.
Qu'en est-il de mes droits ?
4) La propriétaire a effectivement souhaitée réviser le loyer cette année (notification par mail, le 3 août à 21h), en m'indiquant que suite à une augmentation de 1,08% (10€), à compter du 1er septembre, mes prochaines mensualités seront donc de 880€ (ce que j'ai donc payé pour le mois de septembre).
Cependant, sur le bail il est écrit : "loyer mensuel hors complément de loyer éventuel : 850€ ; complément de loyer éventuel : électricité au delà de 52€ par mois"
Sur les quittances, du 1er septembre 2019 au 1er septembre 2020 : "loyer : 790€ ; provision pour charges : 60€ ; total : 850€"
Sur les quittances, du 1er octobre 2020 au 1er août 2021 : "loyer : 790€ ; provision pour charges : 80€ ; total : 870€"
Sur la nouvelle quittance du 1er septembre 2021 : "860€ de loyer + 20€ de dépassement en électricité, soit un total de 880€ toutes charges comprises"
J'avoue être un peu perdu car j'ai l'impression que rien n'est cohérent entre charges au forfait / au réel, montants indiquées sur le bail ou les quittances... Quelle est la "vérité" à prendre en compte ?
5) De plus, le loyer ou les charges, comprennent internet et je n'ai jamais eu connaissance du montant des autres charges en dehors de l'électricité, est-ce normal ?
En vous remerciant par avance.
11 sept. 2021 à 19:52
Votre logement a-t-il un compteur individuel d'électricité ?
Si oui et si vous pensez que c'est mieux pour vous : prenez vous-même votre abonnement auprès du fournisseur de votre choix (-> ce n'est pas à votre bailleur à mettre le compteur à votre nom) : vous paierez abonnement et consommations à ce fournisseur, et vos autre charges pourront être des "provisions" (à régulariser annuellement).
Que vous ayez toujours "pensé" que les charges étaient au réel ou que les quittances mentionnent "provisions" c'est ce que vous et votre bailleur "pensez" : ce n'est pas la loi.
Votre contrat est très mal rédigé et les mots "provisions", "conditions de dépassements"... sont non conformes à la loi, abusifs, et donc réputés non écrits : du fait de revente d'électricité pour votre location meublée, toutes les charges doivent être forfaitaires, donc ne doivent pas être régularisées, comme déjà expliqué, et NON, elles ne peuvent pas passer - sans votre accord écrit - au réel : un contrat ne se modifie JAMAIS sans l'accord écrit du locataire par un avenant annexé au bail OU sans une décision de justice.
L'augmentation du loyer en 2021 pour le 2° trim. est de 0,42% par rapport à 2020, PAS de 1,08% !!!! Relisez le lien déjà donné https://www.anil.org/outils/indices-et-plafonds/tableau-de-lirl/
... et prenez RV avec l'ADIL pour "dépatouiller" tous ces problèmes.
cdt.
Modifié le 11 sept. 2021 à 23:58
Et à priori il y a une permanence ADIL sans rendez-vous pas très loin de chez moi, lundi après-midi, je vais y passer pour m'assurer que tout est bien clarifié.
Bien cordialement,
12 sept. 2021 à 00:01
Super pour la permanence de l'Adil ! Amenez leur tous les documents concernant votre location, ainsi que les divers mails ou autres correspondances entre votre bailleur et vous.
cdt.
Modifié le 14 sept. 2021 à 19:29
En espérant ne pas trop vous déranger... après avoir échangé avec l'Adil, mes interlocuteurs avaient l'air un peu perdu face à la situation et m'ont finalement recontacté par mail dans la journée pour me dire ce qu'il en était. A savoir :
- Que les charges étant au forfait, le montant de celles-ci peut être effectivement être révisé dans les mêmes conditions que le loyer (par rapport à l'IRL) mais qu'aucun surplus ne peut être demandé hors révision de loyer.
- Qu'en raison du principe d’interdiction de la rétrocession d’électricité, les clauses d'un bail prévoyant le remboursement de la facture d'électricité encourent la nullité (Cass., chambre civile 3, 2 mars 2017).
- Mais que toutefois, ne pouvant pas restituer l’énergie fournie et consommée, je devais m'acquitter d'une indemnité équivalente à la valeur de la prestation fournie et donc bel et bien rembourser l'électricité consommée uniquement si je dépasse ce qui a été prévu dans le contrat. Que dans le cas inverse, étant donné que c'est bien précisé dans le contrat, le propriétaire peut effectivement se faire du bénéfice dans mon dos. Et que, dans le futur, afin d'éviter cette situation, je devais m'arranger avec le propriétaire pour faire un avenant et souscrire à mon propre abonnement d'électricité.
Cette version est vraiment très différente de la vôtre et j'ai l'impression qu'elle est assez incohérente avec la loi. Je comptais envoyer un R-AR et j'avoue, maintenant, être un peu confus... Serait-ce possible de me confirmer qu'ils se trompent ?
Egalement, dans le cas "Cass., chambre civile 3, 2 mars 2017", il est bien mentionné "bail meublé" au début mais ensuite il me semble qu'on parle de requalification en location vide ; le locataire ne doit-il pas justement rembourser l'électricité car les charges sont, malgré que cela soit interdit, au réel, en location vide (et donc qu'aucune autre alternative n'est possible contrairement à un bail en meublé) ?
Cordialement,