Contrat de syndic en AGO
leonor77
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2 nov. 2019 à 07:36
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Bonjour
Pour le contrat c'est mieux de le négocier avant l'AG mais il est possible de faire aussi des modifications en séance.
Attention que lors de la signature du contrat ces modificatifs soient intégrés au document.
Et ne donnez plus JAMAIS de quitus au syndic ! C'est le meilleur moyen de vous priver de tout recours ultérieur sur sa gestion.
Pour le contrat c'est mieux de le négocier avant l'AG mais il est possible de faire aussi des modifications en séance.
Attention que lors de la signature du contrat ces modificatifs soient intégrés au document.
Et ne donnez plus JAMAIS de quitus au syndic ! C'est le meilleur moyen de vous priver de tout recours ultérieur sur sa gestion.
rambouillet41
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1 nov. 2019 à 08:18
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lors de l'AG, le syndic peut ne pas rester muet sur ce point de contrat et ce serait d'ailleurs bien dommage, car l'AG partirait sur des modifications sans savoir si elles seraient accepter. Ce serait complètement idiot...
D'ailleurs certaines AG font venir leurs candidats syndics pour discuter avec eux avant de voter...
D'ailleurs certaines AG font venir leurs candidats syndics pour discuter avec eux avant de voter...
JPRP64
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1 nov. 2019 à 11:01
1 nov. 2019 à 11:01
Je vous renvoie aux articles 17, 18, 21 de la loi et 10, 14, 15, 15-1, 17, 26, 27, 29, 31, etc… du décret.
Ce rappel succinct pour dire les limites strictes concernant la prise de parole d’un syndic.
Si un conseil syndical contrôle le syndic et élabore avec ce dernier l’établissement de l’ordre du jour, les discussions ont donc lieu en amont de l’AG, et lors de cette dernière le conseil syndical donne son avis et si besoin est le syndic à la discrétion du président de séance et non pas de sa propre initiative.
Donc ce n’est pas au syndic de décider des clauses légales de son contrat.
Il est très courant qu’un syndic se permette de monopolise la parole et de diriger une AG ; c’est donc au président de séance ou au président du conseil syndical d’intervenir pour le remettre à sa place de subalterne administratif et de le « museler » par tout moyen, et, de ne le « désentraver » (décision du président de séance) si une question lui est directement posée et qu’elle peut faire l’objet de la pertinence d’une réponse.
Un amendement en AG n’a pas à être validé par le syndic !
Quant à la présence de futurs syndics, ce pouvoir est conféré au conseil syndical ou à tout copropriétaire par l’article 21 de la loi et les articles 10 et 11 du décret.
Si un syndic n’est pas d’accord avec des clauses légales et règlementaires dans son contrat ; il a deux choix : soit il s’exécute soit il est viré.
Ce rappel succinct pour dire les limites strictes concernant la prise de parole d’un syndic.
Si un conseil syndical contrôle le syndic et élabore avec ce dernier l’établissement de l’ordre du jour, les discussions ont donc lieu en amont de l’AG, et lors de cette dernière le conseil syndical donne son avis et si besoin est le syndic à la discrétion du président de séance et non pas de sa propre initiative.
Donc ce n’est pas au syndic de décider des clauses légales de son contrat.
Il est très courant qu’un syndic se permette de monopolise la parole et de diriger une AG ; c’est donc au président de séance ou au président du conseil syndical d’intervenir pour le remettre à sa place de subalterne administratif et de le « museler » par tout moyen, et, de ne le « désentraver » (décision du président de séance) si une question lui est directement posée et qu’elle peut faire l’objet de la pertinence d’une réponse.
Un amendement en AG n’a pas à être validé par le syndic !
Quant à la présence de futurs syndics, ce pouvoir est conféré au conseil syndical ou à tout copropriétaire par l’article 21 de la loi et les articles 10 et 11 du décret.
Si un syndic n’est pas d’accord avec des clauses légales et règlementaires dans son contrat ; il a deux choix : soit il s’exécute soit il est viré.
rambouillet41
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1 nov. 2019 à 12:12
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JPRP64 : c'est du n'importe quoi ..... (une fois de plus...)
JPRP64
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rambouillet41
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1 nov. 2019 à 15:44
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Comme d'habitude lorsque l'on n'a pas d'argument à faire valoir l'on coupe court en invoquant le n'importe quoi sans le démontrer.
En fait pour vous peu importe les précisions étayées que j'apporte du moment qu'elles ne vont pas à l'encontre de vos idées personnelles sur l’idyllique syndic professionnel dont le seul but serait que l'intérêt du « client » prime sur le sien : Il n'y a qu'à voir la santé financière de FONCIA and Co (et autres) à comparer avec les copropriétés qui sont en difficulté suite à la gestion de certains syndics professionnels !
Je peux témoigner que le vice de FONCIA est poussé jusqu'à faire désigner un syndic bénévole et d'être « recruté » uniquement en tant que conseiller à qui l'on confie, comme seules responsabilités, les convocations et l'envoi des PV d'AG... et bien sûr de pérorer et de jaboter lors des AG que l'on dirige d'office.
En fait pour vous peu importe les précisions étayées que j'apporte du moment qu'elles ne vont pas à l'encontre de vos idées personnelles sur l’idyllique syndic professionnel dont le seul but serait que l'intérêt du « client » prime sur le sien : Il n'y a qu'à voir la santé financière de FONCIA and Co (et autres) à comparer avec les copropriétés qui sont en difficulté suite à la gestion de certains syndics professionnels !
Je peux témoigner que le vice de FONCIA est poussé jusqu'à faire désigner un syndic bénévole et d'être « recruté » uniquement en tant que conseiller à qui l'on confie, comme seules responsabilités, les convocations et l'envoi des PV d'AG... et bien sûr de pérorer et de jaboter lors des AG que l'on dirige d'office.
Bonjour
" s'il n'en est autrement ordonné par la loi ne signifie pas tout ce qui n'est pas prévu par la loi":c'est du n'importe quoi!
" s'il n'en est autrement ordonné par la loi ne signifie pas tout ce qui n'est pas prévu par la loi":c'est du n'importe quoi!
Utilisateur anonyme
3 nov. 2019 à 17:48
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Finalement il n'est nul besoin de discuter lors d'une AG des termes d'un contrat de syndic
Bien sûr qu'il faut discuter puisque le décret ne fixe pas les montants !
(il manque même certains plafonds )
Bien sûr qu'il faut discuter puisque le décret ne fixe pas les montants !
(il manque même certains plafonds )
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rambouillet41
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31 oct. 2019 à 17:49
31 oct. 2019 à 17:49
Bonjour,
OUI, le projet de contrat peut être amendé en AG (mais ce sera la foire d'empoigne...).
Et si le syndic refuse tous les amendements demandés vous faites quoi ?..... le contrat qui lie syndic et syndicat doit être accepté par les deux parties....
Par contre le syndic a obligation de faire l'OdJ en concertation avec le CS, l'a-t-il fait (même si cela ne solutionne pas dans l'immédiat votre souci).
OUI, le projet de contrat peut être amendé en AG (mais ce sera la foire d'empoigne...).
Et si le syndic refuse tous les amendements demandés vous faites quoi ?..... le contrat qui lie syndic et syndicat doit être accepté par les deux parties....
Par contre le syndic a obligation de faire l'OdJ en concertation avec le CS, l'a-t-il fait (même si cela ne solutionne pas dans l'immédiat votre souci).
JPRP64
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31 oct. 2019 à 18:36
31 oct. 2019 à 18:36
Bonsoir,
Le syndic n'a pas a valider, lors de l'AG, les termes du contrat !
Lors de l'AG le syndic est muet (il la ferme !).
Ce n'est pas un copropriétaire ni un tiers lambda (il ne peut pas détenir de pouvoir) il n'a pas à intervenir dans la discussion, il ne peut s'exprimer que si le président de séance l'y autorise ou bien si une question lui est posée via le président d séance ; ce n'est qu'une fois que le contrat lui aura été envoyer qu'il pourra faire des réserves.
Il faut toujours mettre le syndic à sa vraie place de mandataire (prestataire de service même si ce titre ne lui plaît pas).
Cdt.
Le syndic n'a pas a valider, lors de l'AG, les termes du contrat !
Lors de l'AG le syndic est muet (il la ferme !).
Ce n'est pas un copropriétaire ni un tiers lambda (il ne peut pas détenir de pouvoir) il n'a pas à intervenir dans la discussion, il ne peut s'exprimer que si le président de séance l'y autorise ou bien si une question lui est posée via le président d séance ; ce n'est qu'une fois que le contrat lui aura été envoyer qu'il pourra faire des réserves.
Il faut toujours mettre le syndic à sa vraie place de mandataire (prestataire de service même si ce titre ne lui plaît pas).
Cdt.
Là c'est la nullité absolue!, assortie de l'insulte , ce qui qualifie bien le genre de personnage que vous êtes!
Non c'est bien le problème la convocation a été envoyée dans réunion préalable avec le conseil syndical...notre AGO a lieu lundi 4novembre...je vais conseiller à tous les copropriétaires d'essayer d'obtenir 2 ou 3 points importants sur le contrat...de toutes façons dès la fin des travaux on verra une AGE pour changer de syndic avec de vraies raisons...
Merci beaucoup
Emma
Merci beaucoup
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2 nov. 2019 à 09:36
2 nov. 2019 à 09:36
Conseil pertinent que de ne jamais donner quitus à un syndic professionnel.
Aussi bien la loi du 10 juillet 1965 que le Code civil ignorent de donner quitus à un syndic.
Ces derniers incorporent le quitus (pour le passé) dans l'approbation des comptes (pour le futur) pour des raisons pécuniaires... qui sont deux choses bien différentes.
En effet un syndic est obligé d'avoir une assurance pour couvrir ses erreurs ou ses fautes ; cela pour protéger le client pendant trente ans ; le quitus est donc inutile.
C'est un secret de polichinelle de savoir que ce sont les assurances qui poussent les syndic à le faire pour leur permettre de s'acquitter de cotisations plus faibles.
Donc comme n'étant pas prévu par la loi le quitus ne pourrait se voter qu'à l'unanimité ce qui correspondrait, pour le syndicat, à se tirer une balle dans le pied.
Aussi bien la loi du 10 juillet 1965 que le Code civil ignorent de donner quitus à un syndic.
Ces derniers incorporent le quitus (pour le passé) dans l'approbation des comptes (pour le futur) pour des raisons pécuniaires... qui sont deux choses bien différentes.
En effet un syndic est obligé d'avoir une assurance pour couvrir ses erreurs ou ses fautes ; cela pour protéger le client pendant trente ans ; le quitus est donc inutile.
C'est un secret de polichinelle de savoir que ce sont les assurances qui poussent les syndic à le faire pour leur permettre de s'acquitter de cotisations plus faibles.
Donc comme n'étant pas prévu par la loi le quitus ne pourrait se voter qu'à l'unanimité ce qui correspondrait, pour le syndicat, à se tirer une balle dans le pied.
rambouillet41
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2 nov. 2019 à 11:07
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ce qui n'est pas prévu par la loi, se vote à la majorité de l'article 24 et non l'unanimité :
Article 24
I.-Les décisions de l'assemblée générale sont prises à la majorité des voix exprimées des copropriétaires présents ou représentés, s'il n'en est autrement ordonné par la loi.
....
JPRP64
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rambouillet41
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2 nov. 2019 à 14:13
2 nov. 2019 à 14:13
Article 14-1 :
Pour faire face aux dépenses courantes de maintenance, de fonctionnement et d'administration des parties communes et équipements communs de l'immeuble, le syndicat des copropriétaires vote, chaque année, un budget prévisionnel. L'assemblée générale des copropriétaires appelée à voter le budget prévisionnel est réunie dans un délai de six mois à compter du dernier jour de l'exercice comptable précédent.
Les copropriétaires versent au syndicat des provisions égales au quart du budget voté. Toutefois, l'assemblée générale peut fixer des modalités différentes.
La provision est exigible le premier jour de chaque trimestre ou le premier jour de la période fixée par l'assemblée générale.
Pour les votes prévus aux trois alinéas, l’article de la loi n’ordonne pas à quelle majorité ; donc conformément au premier alinéa de l’article 24 les décisions seront prises aux conditions de majorité prévues à l’article 24.
Plus complexe l’article 18 :
… de représenter le syndicat dans tous les actes civils et en justice dans les cas mentionnés aux articles 15 et 16 de la présente loi, ainsi que pour la publication de l'état descriptif de division et du règlement de copropriété ou des modifications apportées à ces actes, sans que soit nécessaire l'intervention de chaque copropriétaire à l'acte ou à la réquisition de publication…
Si l’article 26 ordonne à quelle majorité doivent être votées les modifications du règlement de copropriété, la loi n’ordonne aucune règle de majorité pour modifier l’état descriptif de division.
etc...
La loi autorise ce qui peut être voté et généralement elle précise les règles de majorité ; dans le cas où elle n’apporte pas de précision : les règles de majorité sont celles de l’article 24.
Une nouvelle fois vous ne saisissez pas le sens des mots en faisant des amalgames douteux : « s’il n’en est autrement ordonné par la loi » ne signifie pas « tout ce qui n’est pas prévu par la loi » !
Sinon l'on pourrait voter n'importe quoi à l'article 24 !
Pour faire face aux dépenses courantes de maintenance, de fonctionnement et d'administration des parties communes et équipements communs de l'immeuble, le syndicat des copropriétaires vote, chaque année, un budget prévisionnel. L'assemblée générale des copropriétaires appelée à voter le budget prévisionnel est réunie dans un délai de six mois à compter du dernier jour de l'exercice comptable précédent.
Les copropriétaires versent au syndicat des provisions égales au quart du budget voté. Toutefois, l'assemblée générale peut fixer des modalités différentes.
La provision est exigible le premier jour de chaque trimestre ou le premier jour de la période fixée par l'assemblée générale.
Pour les votes prévus aux trois alinéas, l’article de la loi n’ordonne pas à quelle majorité ; donc conformément au premier alinéa de l’article 24 les décisions seront prises aux conditions de majorité prévues à l’article 24.
Plus complexe l’article 18 :
… de représenter le syndicat dans tous les actes civils et en justice dans les cas mentionnés aux articles 15 et 16 de la présente loi, ainsi que pour la publication de l'état descriptif de division et du règlement de copropriété ou des modifications apportées à ces actes, sans que soit nécessaire l'intervention de chaque copropriétaire à l'acte ou à la réquisition de publication…
Si l’article 26 ordonne à quelle majorité doivent être votées les modifications du règlement de copropriété, la loi n’ordonne aucune règle de majorité pour modifier l’état descriptif de division.
etc...
La loi autorise ce qui peut être voté et généralement elle précise les règles de majorité ; dans le cas où elle n’apporte pas de précision : les règles de majorité sont celles de l’article 24.
Une nouvelle fois vous ne saisissez pas le sens des mots en faisant des amalgames douteux : « s’il n’en est autrement ordonné par la loi » ne signifie pas « tout ce qui n’est pas prévu par la loi » !
Sinon l'on pourrait voter n'importe quoi à l'article 24 !
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Modifié le 3 nov. 2019 à 15:39
Modifié le 3 nov. 2019 à 15:39
Les chiens aboient la caravane passe !
Outre votre rigidité cervicale, il serait donc possible de décider, aux conditions de majorité de l’article 24, que des travaux concernant les parties privatives d’un lot, n’affectant pas les parties communes, soient financés par le syndicat.
Finalement il n'est nul besoin de discuter lors d'une AG des termes d'un contrat de syndic puisqu'il existe un décret clair et précis sur son contenu ((https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000030405166/ ).
Outre votre rigidité cervicale, il serait donc possible de décider, aux conditions de majorité de l’article 24, que des travaux concernant les parties privatives d’un lot, n’affectant pas les parties communes, soient financés par le syndicat.
Finalement il n'est nul besoin de discuter lors d'une AG des termes d'un contrat de syndic puisqu'il existe un décret clair et précis sur son contenu ((https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000030405166/ ).
L'argument invoqué en réplique est tout simplement absurde. En effet l'interprétation qui est donnée "ne signifie pas tout ce qui n'est pas prévu par loi" n'a d'autre signification que de dire ladite loi contient la liste exhaustive de ce qui peut être débattu et voté (acceptation ou rejet) par L'AG. Il s'agirait donc de dispositions limitatives devant être interprétées strictement.
Or cela est totalement faux, l'emploi de l'adverbe notamment dans l'article 24 prouvant bien, si besoin était, qu'il ne s'agit pas d'une liste limitative.
La caravane est percée de lacunes de base.
Or cela est totalement faux, l'emploi de l'adverbe notamment dans l'article 24 prouvant bien, si besoin était, qu'il ne s'agit pas d'une liste limitative.
La caravane est percée de lacunes de base.
JPRP64
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Ulpien1
Modifié le 4 nov. 2019 à 12:57
Modifié le 4 nov. 2019 à 12:57
Je vous croyez spécialiste d'une certaine et personnelle technique notariale et non pas un spécialiste de la syntaxe pour comprendre une loi.
Comme vous en êtes coutumier vous vous substituez au législateur ou à la jurisprudence, et dans ce cas lors de la discussion, à l'Assemblée Nationale, sur la loi du 10 juillet 1965, et, en particulier à la page 832 (http://archives.assemblee-nationale.fr/2/cri/1964-1965-ordinaire2/009.pdf ) concernant la première version de l'article 18 (devenu article 24) : « Art. 18. — Les décisions de l'assemblée générale relatives à l'administration et à la conservation de l'immeuble, ainsi qu'au fonctionnement des équipements et services collectifs de ce dernier, sont prises à la majorité des voix des copropriétaires présents ou représentés. »
Vous pourrez alors constater que c'est suite à un amendement, du Gouvernement, de pure forme qui ne change rien à la solution proposée (limitative), qui tend à rédiger l'article comme suit : « Les décisions de l'assemblée générale sont prises à la majorité des voix des copropriétaires présents ou représentés, s'il n'en est autrement ordonné par la loi. »
La caravane est bien passée, sans encombre, et les chiens aboient toujours !
Comme vous en êtes coutumier vous vous substituez au législateur ou à la jurisprudence, et dans ce cas lors de la discussion, à l'Assemblée Nationale, sur la loi du 10 juillet 1965, et, en particulier à la page 832 (http://archives.assemblee-nationale.fr/2/cri/1964-1965-ordinaire2/009.pdf ) concernant la première version de l'article 18 (devenu article 24) : « Art. 18. — Les décisions de l'assemblée générale relatives à l'administration et à la conservation de l'immeuble, ainsi qu'au fonctionnement des équipements et services collectifs de ce dernier, sont prises à la majorité des voix des copropriétaires présents ou représentés. »
Vous pourrez alors constater que c'est suite à un amendement, du Gouvernement, de pure forme qui ne change rien à la solution proposée (limitative), qui tend à rédiger l'article comme suit : « Les décisions de l'assemblée générale sont prises à la majorité des voix des copropriétaires présents ou représentés, s'il n'en est autrement ordonné par la loi. »
La caravane est bien passée, sans encombre, et les chiens aboient toujours !
2 nov. 2019 à 07:55
2 nov. 2019 à 08:17
Parlez de ce sujet au moment du vote sur le contrat....
3 nov. 2019 à 11:25
La question faut'il demander à l'AGO pourquoi il n'ont pas fait de recours à l'annonce du retrait ? faut-il évoquer notre intervention auprès de l'anah et les relances (à notre demande, la personne de l'anah nous a envoyé copies de ces relances dont nous n'avons jamais eu connaissance et qui aurait pu permettre un report)
OU ne pas l'évoquer en AGO et faire ultérieurement une lettre recommandée avec ces éléments, en vue d'une procédure ?
Nous avons aussi en attente le paiement de l'assurance du Conseil Départemental sur le sinistre (d'ou arrêté de péril) ils ont été jugé responsables avec leurs entreprises en 2014. Nous avons avancé les fonds pour les travaux en 2017...et à nos demandes répétées du syndic on n'avait aucune explications de ce délai...Nous avons appelé notre protection juridique qui nous dit avoir fait une assignation en juillet 2019, nous ne sommes pas au courant. Faut il en parler en AG ?
Voila, nous sommes une petite copropriété avec des personnes fragiles.
Merci
3 nov. 2019 à 11:29
Vu le contexte, il faut plutôt vous faire assister d'un avocat pour mettre en cause la responsabilité de ce syndic négligent.
Vous ne pourrez pas l'assigner tant qu'il est syndic !
Si vous voulez le garder (mais je ne vois pas pourquoi) attendez pour le mettre en cause.
Vous pouvez tout au plus le menacer de déclarer un sinistre à son assurance RC.
3 nov. 2019 à 11:31