Vikhim17
Messages postés1Date d'inscriptionlundi 26 novembre 2018StatutMembreDernière intervention26 novembre 2018
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Modifié le 26 nov. 2018 à 15:24
gitane2229 -
26 nov. 2018 à 16:54
Bonjour,
Notre voiture, d'une valeur de 12 000€ achetée sur le site de la Centrale le 5 octobre dernier, a été saisie par le police le 12 novembre.
Afin de pouvoir installer nos jumeaux grandissant dans un véhicule plus adapté à nos besoins, nous nous sommes tournés vers le site de la Centrale comme une grande majorité de particulier. En effet, ce site est réputé "professionnel" et fait référence en France pour l'achat de véhicule d'occasion.
Bien qu'ayant obtenu sans problème tous les papiers du véhicule auprès de la préfecture, quelques semaines seulement après son acquisition, la police nous a saisi le véhicule nous informant que celui-ci était un bien volé et qu'il nous serait impossible de le récupérer.
Nous avons souhaité porter plainte contre le vendeur, mais la police ne nous l'a pas permis.
Nous avons contacté la Centrale, notre société d'assurance ainsi que la maison de la justice et du droit sans succès: chacun se dédouanant de sa responsabilité ou ne nous donnant aucun moyen de recours.
Est-ce normal de laisser une famille face à cette situation en les dépossédant de leur seul véhicule, de 12 000€ par la même occasion et sans aucun moyen de recours ? Nous ne pouvons pas en acquérir un autre ni demander les services d'un avocat car nous n'avons plus les fonds nécessaires.
Est-ce normal que la Centrale ne soit pas mise en cause pour recel (de bonne foi peut-être) de véhicule ? Que les véhicules vendus par leurs biais soient des véhicules volés ? Notre confiance de consommateur a été bafouée. D'autres consommateurs que nous peuvent ou pourront se trouver dans la même situation, c'est un vrai scandale.
Quelle protection possède le consommateur face à ce banditisme qui s'en sort ici indemne? Nous pensons que nous devons nous battre afin que les consommateurs soient au courant.
Mais aujourd’hui nous sommes face à un mur, nous ne savons plus quoi faire. Vers qui nous tourner ? C'est pour cela que nous nous permettons de vous écrire ce mail. Nous cherchons désespérément des solutions ou du moins un soutien ou des informations pour pouvoir nous battre face à cette injustice. Pouvez-vous nous y aider ?
Pour vous résumer nos démarches n'ayant abouties qu'à des déconvenues :
- L'assurance automobile : elle nous a répondu qu'elle ne couvre pas ce type de préjudice.
- La Centrale : appelée à deux reprises : elle s'est justifiée en nous disant qu'elle n'était qu'une plateforme de mise en relation. Elle s'est donc totalement déresponsabilisée.
- La Police : elle nous a demandé de ne pas contacter le vendeur pour qu'elle puisse mener l'enquête. Pour une raison inconnue, la Police nous a dissuadé de porter plainte. C'est seulement en insistant auprès des services policiers que nous avons finalement pu porter plainte contre "X".
- La maison de la justice et du droit : aucune aide de leur part. Elle nous a simplement dit que nous n'avions aucun recours et que cela ne servait à rien de prendre un avocat.
Ainsi, nous nous tenons à votre entière disposition pour vous fournir plus d'éléments et nous espérons, par ce message, trouver votre soutien.
Votre plainte déposée au bureau de police va déclencher une enquête.
Mais tout ceci prendra des semaines, voire des mois, avant que vous ayez des nouvelles et un retour.