Expérience mal heureuse et mariage gris

Du mariage
En 2016 je me suis marié avec, je l’ai demandé suivant nos tradition, à savoir auprès de son père, qu’il a accepté,puis à elle devant nos parents
En Mai(2016) de la même année, nous avons célébré notre union dans la commune de Hamame-Bouhadjar, non loin d’ORAN.

RETOUR EN FRANCE
De retour en France, j’ai effectué les démarches auprès de l’administration Françaises afin de faire reconnaitre mon union.

ARRIVÉE DE MON ÉPOUSE EN FRANCE
Au mois d’Avril le (07/04/2017) est arrivé sur le sol Français mon épouse.
dès sa sortie de l’aéroport de Metz, elle a commencé à se plaindre du traitement que les douaniers lui avaient réservés, affirmant qu’ils avaient étés discourtois.
A la suite de quoi, j’ai eu droit à une mauvaise humeur de sa part et cela tout au long du trajet.

CONTACT AVEC SES PARENTS
J’ai tenté vainement de lui expliquer que tout ceci est normal, dans la mesure ou elle n’est jamais sortie de chez elle, mais sans succès. Puis, j’ai fait part de sa tristesse à ses parents car elle semblait craindre pour sa famille resté en Algérie, notamment pour sa mère( qui a beaucoup souffert des violences de la part de son père et craindre pour son petit frère de 19ans qu’elle a élevé comme son fils.

SURPRENANTE CONVERSATION
Ces derniers avaient eu une conversation qui m’avait paru étrange dans la mesure ou ma femme, avec ses réponses(à ses parents!), m’avait interpellé, puisqu’il était question pour elle de patienter le temps nécessaire afin que son dossier pour l’obtention de sa carte de séjour soit introduit auprès de l’administration compétente et le tout un jour à peine après son arrivée.

RENDEZ-VOUS AVEC l’OFFIL(office Français pour l’intégration).
Nous avions tentés de prendre rendez-vous directement et en personne à l’OFFIL de Metz, mais sans succès, cependant, ceci avait rassuré mon épouse sur le fait que les démarches semblaient êtres sur la bonne voie ? elle fit part de cela à ses parents, par téléphones et encore une fois, les échanges entre elle et sa famille me mettaient mal à l’aise. Un sentiment de tromperie me poussa à en parler avec ma sœur. Celle-ci m’informa que de toute évidence, il m’est possible si j’ai des éléments qui allaient dans ce sens, de constituer un dossiers et en informer la police et qu’avec ceci, je pouvais faire annuler le mariage.

Enregistrements des conversations.
Je possédais un dispositif me permettant d’enregistrer une ligne téléphonique fixe, celle de chez moi en l’occurrence et je me suis mis à enregistrer les échanges de mon épouse avec ses parents ainsi que ceux que j’avais avec eux.

SUR LES ENREGISTREMENTS.
Sur les enregistrements, il est possible de suivre les conversation depuis leurs débuts, entre l’instant ou le numéro est composé et le moment ou l’on raccroche.
Je possédais ce dispositif depuis de nombreuses années et l’ai mis de coté depuis toutes ces années.

LES VERITEES AU GRAND JOUR.
Durant son séjour, j’ai eu droit à toutes les provocations, et je n’arrivais pas à en comprendre les raisons. Jusqu’au jour ou une conversation tenu par, respectivement son père et son frère()d’un coté avec elle de l’autre, m’apprit que après l’obtention de sa carte de visa, elle devait aller à la police se plaindre de moi et leur dire que je la maltraite et que je l’ai abandonné. Après avoir compris que leur sœur ne parlait pas encore bien le Français, ces derniers l’on conspuer, puis la traitèrent d’idiote, d’incapable. Quelques enregistrements plus tard lorsqu’ils apprirent que la demande de carte de séjour était introduite, il lui suggérèrent, de rentrer au pays et de laisser ainsi la demande se faire automatiquement sans sa présence. Puis, après quoi, celle-ci devait en rentrant en Algérie, devait être accompagné par moi et la suite devait être le divorce, son père se chargeait de la faire divorcer, inutile de vous dire que j’ai été provoqué de toutes les façons, je suppose que ceci devait justifier mon souhait au divorce en Algérie.

DOUBLE DISCOURS
Ils tenaient un double discours, lorsqu’ils me savaient dans les environs, non loin d’elle, ils lui demandaient de prendre soins de ma mère, de ma sœur, de son mari, ce discours devait me faire penser qu’ils avaient de bonne intentions, mais une fois qu’ils savaient leur sœur(leur fille) à l’abri des oreilles indiscrets, ils laissaient exprimer leur véritables pensées(enregistrement à l’appui).
Dans l’un des enregistrements, l’un de ses frères() lui suggère, suivant ses mots(traduction littérale) <ne lui montre pas la lumière, ne lui dit rien. Une fois tes papiers en main, tu te casses. Celui que t’as, c’est pas un homme, les véritables hommes y’en a plus(enregistrement à l’appui)...
Je me suis souvenu ou un soir, un brin moqueuse, elle m’avait demandé pourquoi je ne la battais pas. Je lui y répondu que les véritables hommes se trouvaient en Algérie et qu’eux, ils tapaient leurs femmes, alors que nous, ici, en France, on était trop civilisé pour ça et que pour accéder aux charmes des femmes, c’était plus agréable de les séduire.. .C’était la seule réponse que j’ai pu par réflexe lui fournir, car je me suis souvenu des paroles échangés entre elle et son frère.
À aucun moment je ne lui y donnais l’occasion de se plaindre de violence physique ou moral. Je lui y ai tout simplement fait croire que les démarches administratifs étaient en cours et ceci à précipités son départ pour l’Algérie.
Cela faisait 11ans que j’étais célibataire et je me suis dit que me marié avec une fille de bonne famille serait super rassurant, en elle je voyais une amie, une confidente, la femme de ma vie.. .Fiasco total !
Aujourd’hui, j’ai laissé tout ça entre les mains de l’Avocate et de l’Huissier( pour les enregistrements téléphoniques).