Convocation suite à une fausse accusation

Innocent - 5 mars 2017 à 12:07
 Marley - 5 mars 2017 à 12:32
Bonjour,
Je vous prie de bien vouloir m aider , nous avons déménagé dans une résidence pavillonnaire nous habitons dans l angle notre voisin bloque notre garage avec son camion de travail ou parfois ses voitures 407 , scenic lors de déménagement octobre 2016 j lui demande 2 fois d enlever ses véhicule pour que le camion de déménagement puisse passer , après notre installation dans le logement nous avons remarque que c est une habitude ce stationnement sur partie commune en face de notre garage donc j ai écris au bailleur en lui envoyant les photos de voitures garées le bailleur a envoyé une lettre recommandée au voisin qui m a insulté des sa réception donc un conflit fini au commissariat , j'ai fait main courante et le voisin a essayé de déposer plainte pour insulté mais ça n a pas marché le policier a refusé de prendre sa plainte on l interdisant de se garer devant chez moi, donc le voisin a changé d avis et m a proposé un café avec un policier qui connaît là-bas on a bu le café et l affaire est réglé chaque un est rentré chez lui. Le voisin ne gare plus ses voitures , le 18 janvier 2017 je vois la voitire de sa femme garee en face de mon garage tout le samedi et dimanche matin j'ai rien compris pourquoi cette provocation alors on a réglé l affaire .Deux semaine après je reçois une convocation du commissariat je me suis presente avec mon épouse , et la surprise !! Le voisin et sa femme porte plainte soupçonne que j ai crevé la roue de la voiture scenic de la dame. C était très choquant pour moi alors que j ai rien fait . Cette fausse accusation m a rendu malade je dors plus surtout que mes empreintes et photos sont pris par le policier ce n est pas just ou est la loi ? Je suis victime et devenu coupable , que dois je faire SVP l affaire va peut être classé sans suite mais je n ai rien fait je suis innocent que dois faire ?? Merci infiniment de m aider .
Bien cordialement

1 réponse

Il lui appartient de prouver que c'est vous, l'affirmer ne suffit pas.
4