A voir également:
- Mécanisme du multiplicateur d'investissement
- Investissement - Accueil - Actualité juridique et financière
- Investissement domitys - Forum Placements financiers
- Odalys investissement avis - Forum acheter un appartement
- Transformer investissement locatif en résidence principale - Forum Donation-Succession
- Reprendre son investissement locatif en résidence principale - Forum Immobilier
2 réponses
Rien à voir !
L'"effet multiplicateur" est issu de la théorie keynésienne et s'analyse sur la base des propensions à épargner et à consommer de la part des agents économiques.
La part consommée va permettre aux producteur de produire plus et de distribuer des revenus (salaires, dividendes) qui eux mêmes ...etc....
Il faut ajouter pour les entreprises (mais là nous sortons de lla théorie keynésienne) une double propension : à investir et à épargner et parfois les entreprises en certaines périodes de perte de confiance sont plus appelées à épargner qu'à investir. Un frein apparait donc au niveau des investisseurs avec une propension de niveau égal au niveau des consommateurs.
L'effet multiplicateur pour Keynes sera donc d'autant plus fort que la propension à consommer sera plus forte.
Il faut toutefois raisonner en termes de marginalité et non en termes globaux : quelle sera la partie consommée ou épargnée d'un accroissement de revenu ?
D'où l'apparition des « propensions marginales ».
L'"effet multiplicateur" est issu de la théorie keynésienne et s'analyse sur la base des propensions à épargner et à consommer de la part des agents économiques.
La part consommée va permettre aux producteur de produire plus et de distribuer des revenus (salaires, dividendes) qui eux mêmes ...etc....
Il faut ajouter pour les entreprises (mais là nous sortons de lla théorie keynésienne) une double propension : à investir et à épargner et parfois les entreprises en certaines périodes de perte de confiance sont plus appelées à épargner qu'à investir. Un frein apparait donc au niveau des investisseurs avec une propension de niveau égal au niveau des consommateurs.
L'effet multiplicateur pour Keynes sera donc d'autant plus fort que la propension à consommer sera plus forte.
Il faut toutefois raisonner en termes de marginalité et non en termes globaux : quelle sera la partie consommée ou épargnée d'un accroissement de revenu ?
D'où l'apparition des « propensions marginales ».
courtierbanque
Messages postés
207
Statut
Membre
29
Merci pour cette explication détaillée!