Viol de vie privée et harcèlement moral
Bonjour,
Peut-on efficacement entamer une série de démarches, dans un premier temps, en signalant au Procureur de la République un viol de vie privée insistant,coercitif par le harcèlement moral continu qui en découle et la privation des droits individuels basiques , notamment à jouir des espaces publics, y compris et surtout dans sa propriété privée et à penser et vivre librement?
Il s'agirait, avant d'en détenir les preuves essentielles, de signaler à un représentant de l'état de Droit et de la Loi, l'existence d'un secret de Polichinelle et l'usage qu'en fait n'importe qui, s'auto-proclamant détenteur d'un droit d'ingérence sur la vie intime, privée d'une femme, en fonction des éléments de vie privée obtenus par un moyen que j'ignore, étant fort discrète par nature. Les moyens choisis font rarement dans la délicatesse et la courtoisie, contraignant ainsi la personne à l'isolement et à la lutte permanente pour maintenir un équilibre psychologique et physique, en lui adressant , ainsi qu'à la collectivité,toutes sortes de signaux, parfois verbalement vulgaires, souvent douteux dans le comportement, la tenue vestimentaire, etc..
Finalement, et merci de votre patience à me lire, il s'agirait d'avoir les coudées franches pour espérer échapper enfin, malgré des plaintes exprimées haut et fort, à un ghetto psycholoqique et à la discrimination sociale exercés de plein droit et impunément, avant de fournir les preuves.
Peut-on efficacement entamer une série de démarches, dans un premier temps, en signalant au Procureur de la République un viol de vie privée insistant,coercitif par le harcèlement moral continu qui en découle et la privation des droits individuels basiques , notamment à jouir des espaces publics, y compris et surtout dans sa propriété privée et à penser et vivre librement?
Il s'agirait, avant d'en détenir les preuves essentielles, de signaler à un représentant de l'état de Droit et de la Loi, l'existence d'un secret de Polichinelle et l'usage qu'en fait n'importe qui, s'auto-proclamant détenteur d'un droit d'ingérence sur la vie intime, privée d'une femme, en fonction des éléments de vie privée obtenus par un moyen que j'ignore, étant fort discrète par nature. Les moyens choisis font rarement dans la délicatesse et la courtoisie, contraignant ainsi la personne à l'isolement et à la lutte permanente pour maintenir un équilibre psychologique et physique, en lui adressant , ainsi qu'à la collectivité,toutes sortes de signaux, parfois verbalement vulgaires, souvent douteux dans le comportement, la tenue vestimentaire, etc..
Finalement, et merci de votre patience à me lire, il s'agirait d'avoir les coudées franches pour espérer échapper enfin, malgré des plaintes exprimées haut et fort, à un ghetto psycholoqique et à la discrimination sociale exercés de plein droit et impunément, avant de fournir les preuves.
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