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5 réponses
Utilisateur anonyme
Tu peux poursuivre ta période d essai comme ci de rien, tu ne seras pas en porte à faux , je pense que l employeur ne sera pas maso pour te signer un cdi dans ces conditions, bien sur si tu es sous pression "boule au ventre" consulte un médecin qui jugera de la nécessité d'un arrêt maladie ...
doris33
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- jeudi 14 février 2013
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- 11 avril 2021
Bonjour,
quelques infos sur l'abandon de poste :
Abandon de poste et droit au chômage.
cherchez aussi sur le forum salariés en tapant abandon de poste, vous verrez que ce n'est pas une bonne solution.
Cordialement
quelques infos sur l'abandon de poste :
Abandon de poste et droit au chômage.
cherchez aussi sur le forum salariés en tapant abandon de poste, vous verrez que ce n'est pas une bonne solution.
Cordialement
hoquei44
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- Date d'inscription
- dimanche 19 janvier 2014
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- 10 avril 2021
Bonjour,
Pour pouvoir bénéficier des allocations, encore faut-il y avoir le droit.
Vous avez démissionné de votre précédent poste. Ceci vous à fait perdre le droit à l'ARE. Même si vous vous faisiez licenciez durant votre période d'essai, vous n'aurez pas le droit aux allocations.
Que me conseillé vous de faire ?
Démissionnez et trouvez un autre travail.
Si vous démissionnez, Pole Emploi examinera votre situation après un délai de 121 jours après cette démission. Plus vite vous démissionnez, plus vite votre situation sera traiter.
Actuellement, votre employeur refuse de vous licencier pour votre abandon de poste. Vous n'êtes pas heureuse dans votre travail, pourquoi restez-vous?
Pour l'argent? Mais, vous êtes peu payée en raison de vos absences.
Au bout de combien de jours en absence injustifié, est considéré un abandon de poste ?
Dès le premier jour...
J'ai cru lire, que si l'employeur indique en motif de rupture " abandon de poste " je n'aurai droit à aucune indemnité ???
L'abandon de poste cause un préjudice financier à votre employeur. L'absence d'indemnité permet de réparer le tort que vous lui avez causé.
Je ne voudrais pas me faire rouler dans la farine... HELP !!!!!
Vous vous roulez vous-même dans la farine.
CB
Pour pouvoir bénéficier des allocations, encore faut-il y avoir le droit.
Vous avez démissionné de votre précédent poste. Ceci vous à fait perdre le droit à l'ARE. Même si vous vous faisiez licenciez durant votre période d'essai, vous n'aurez pas le droit aux allocations.
Que me conseillé vous de faire ?
Démissionnez et trouvez un autre travail.
Si vous démissionnez, Pole Emploi examinera votre situation après un délai de 121 jours après cette démission. Plus vite vous démissionnez, plus vite votre situation sera traiter.
Actuellement, votre employeur refuse de vous licencier pour votre abandon de poste. Vous n'êtes pas heureuse dans votre travail, pourquoi restez-vous?
Pour l'argent? Mais, vous êtes peu payée en raison de vos absences.
Au bout de combien de jours en absence injustifié, est considéré un abandon de poste ?
Dès le premier jour...
J'ai cru lire, que si l'employeur indique en motif de rupture " abandon de poste " je n'aurai droit à aucune indemnité ???
L'abandon de poste cause un préjudice financier à votre employeur. L'absence d'indemnité permet de réparer le tort que vous lui avez causé.
Je ne voudrais pas me faire rouler dans la farine... HELP !!!!!
Vous vous roulez vous-même dans la farine.
CB
Utilisateur anonyme
Rupture de la période d'essai à l'initiative du salarié
Le salarié qui souhaite mettre fin à son contrat de travail, en cours ou en fin de période d'essai, n'est pas tenu de respecter des formalités particulières, sauf dispositions conventionnelles contraires.
Cependant, il doit avertir son employeur au moins 48 heures à l'avance, délai ramené à 24 heures en cas de présence dans l'entreprise inférieure à 8 jours.
Documents remis au salarié
À la fin du contrat de travail, l'employeur remet au salarié :
un certificat de travail,
l'attestation destinée à Pôle emploi, le reçu pour solde de tout compte
Rupture de la période d'essai à l'initiative de l'employeur
L'employeur qui souhaite rompre la période d'essai n'est pas tenu de respecter de procédures particulières de rupture, sauf :
si des dispositions de la convention collective en prévoient,
en cas de rupture pour faute (dans ce cas, la procédure disciplinaire s'applique),
en cas de rupture du contrat d'un salarié protégé (autorisation de l'inspection du travail obligatoire).
L'employeur doit cependant prévenir le salarié avant la rupture effective du contrat (délai de prévenance). Ce délai s'impose pour les CDI et les CDD comportant une période d'essai d'au moins 1 semaine, que celle-ci ait été prolongée ou non.
L'employeur doit avertir le salarié au moins :
24 heures à l'avance en dessous de 8 jours de présence dans l'entreprise,
48 heures à l'avance entre 8 jours et 1 mois de présence,
2 semaines à l'avance entre 1 mois et 3 mois de présence,
1 mois à l'avance après 3 mois de présence.
Si le délai de prévenance n'a pas été respecté, la période d'essai, renouvellement inclus, ne peut pas pour autant être prolongée. En cas de non-respect du délai légal de prévenance, l'employeur peut être condamné à verser au salarié une indemnité compensatrice. Son montant correspond au salaire qui aurait dû être versé jusqu'à la fin du préavis non effectué.
Le salarié qui souhaite mettre fin à son contrat de travail, en cours ou en fin de période d'essai, n'est pas tenu de respecter des formalités particulières, sauf dispositions conventionnelles contraires.
Cependant, il doit avertir son employeur au moins 48 heures à l'avance, délai ramené à 24 heures en cas de présence dans l'entreprise inférieure à 8 jours.
Documents remis au salarié
À la fin du contrat de travail, l'employeur remet au salarié :
un certificat de travail,
l'attestation destinée à Pôle emploi, le reçu pour solde de tout compte
Rupture de la période d'essai à l'initiative de l'employeur
L'employeur qui souhaite rompre la période d'essai n'est pas tenu de respecter de procédures particulières de rupture, sauf :
si des dispositions de la convention collective en prévoient,
en cas de rupture pour faute (dans ce cas, la procédure disciplinaire s'applique),
en cas de rupture du contrat d'un salarié protégé (autorisation de l'inspection du travail obligatoire).
L'employeur doit cependant prévenir le salarié avant la rupture effective du contrat (délai de prévenance). Ce délai s'impose pour les CDI et les CDD comportant une période d'essai d'au moins 1 semaine, que celle-ci ait été prolongée ou non.
L'employeur doit avertir le salarié au moins :
24 heures à l'avance en dessous de 8 jours de présence dans l'entreprise,
48 heures à l'avance entre 8 jours et 1 mois de présence,
2 semaines à l'avance entre 1 mois et 3 mois de présence,
1 mois à l'avance après 3 mois de présence.
Si le délai de prévenance n'a pas été respecté, la période d'essai, renouvellement inclus, ne peut pas pour autant être prolongée. En cas de non-respect du délai légal de prévenance, l'employeur peut être condamné à verser au salarié une indemnité compensatrice. Son montant correspond au salaire qui aurait dû être versé jusqu'à la fin du préavis non effectué.