Troubles du voisinage
enpratique
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Bonjour.
J'habite une résidence de douze appartements, mon "petit" voisin d'à côté, 25 ans (j'en ai 60) met de la musique (rap, reggae ..) à n'importe quel moment de la journée ou de la nuit, à une intensité pas possible, reçoit ses amis bruyants jour et nuit (à 1h du matin), va dans sa voiture garée dans notre cour et, sans raison, fait tourner le moteur à fond (son pot d'échappement est percé), claque ses portes, ses fenêtres, les portes de ses placards. Bref, il vit comme s'il était seul dans l'immeuble. Il vit l'après-midi et la nuit, car le matin il dort (il ne travaille pas).
Je suis tolérante, je fréquente beaucoup de personnes de milieux différents, de tous niveaux, car je fais du bénévolat, je suis une personne calme, j'ai un chien qui n'aboie jamais car je l'ai éduqué de cette façon. De plus, je suis soignée pour une leucémie (chimio), et je viens de subir une intervention chirurgicale, donc fatiguée, j'ai besoin de repos. Début février, j'aurai une seconde opération. Je suis au chômage car pas encore droit à la retraite, ma chambre est contigüe à son salon et sa chaîne hifi placée à coté du mur.
Un jour, j'ai croisé mon jeune voisin et lui ai demandé, gentiment, de baisser le son de sa musique ; sans faire allusion à du tapage diurne ou nocturne, je lui ai expliqué qu'étant malade, je devais pouvoir me reposer. Après un rictus, il a marmonné qu'il le ferait. Mais rien n'a fait. Il a continué. Un jour, à 1h00 du matin, alors que la musique était à fond, j'ai frappé à sa porte. Il m'a très mal reçue, et m'a dit qu'il n'en avait rien à faire de ma maladie, que je n'avais rien à faire que de le surveiller, que sa grand-mère était décédée d'un cancer (je ne vois pas le rapport), que je pouvais lui envoyer autant de lettres recommandées que je voulais, et que je pouvais appeler, selon ses termes, les "keufs". Puis m'a claqué la porte au nez. Voilà où j'en suis. J'ai oublié de préciser que ce jeune homme boit, et ... se drogue. Certaines fois, des odeurs pestilentielles sortent de son appartement, envahissent la cage d'escalier et pénètrent dans mon entrée.
Que faire ? Il me fait peur.
J'habite une résidence de douze appartements, mon "petit" voisin d'à côté, 25 ans (j'en ai 60) met de la musique (rap, reggae ..) à n'importe quel moment de la journée ou de la nuit, à une intensité pas possible, reçoit ses amis bruyants jour et nuit (à 1h du matin), va dans sa voiture garée dans notre cour et, sans raison, fait tourner le moteur à fond (son pot d'échappement est percé), claque ses portes, ses fenêtres, les portes de ses placards. Bref, il vit comme s'il était seul dans l'immeuble. Il vit l'après-midi et la nuit, car le matin il dort (il ne travaille pas).
Je suis tolérante, je fréquente beaucoup de personnes de milieux différents, de tous niveaux, car je fais du bénévolat, je suis une personne calme, j'ai un chien qui n'aboie jamais car je l'ai éduqué de cette façon. De plus, je suis soignée pour une leucémie (chimio), et je viens de subir une intervention chirurgicale, donc fatiguée, j'ai besoin de repos. Début février, j'aurai une seconde opération. Je suis au chômage car pas encore droit à la retraite, ma chambre est contigüe à son salon et sa chaîne hifi placée à coté du mur.
Un jour, j'ai croisé mon jeune voisin et lui ai demandé, gentiment, de baisser le son de sa musique ; sans faire allusion à du tapage diurne ou nocturne, je lui ai expliqué qu'étant malade, je devais pouvoir me reposer. Après un rictus, il a marmonné qu'il le ferait. Mais rien n'a fait. Il a continué. Un jour, à 1h00 du matin, alors que la musique était à fond, j'ai frappé à sa porte. Il m'a très mal reçue, et m'a dit qu'il n'en avait rien à faire de ma maladie, que je n'avais rien à faire que de le surveiller, que sa grand-mère était décédée d'un cancer (je ne vois pas le rapport), que je pouvais lui envoyer autant de lettres recommandées que je voulais, et que je pouvais appeler, selon ses termes, les "keufs". Puis m'a claqué la porte au nez. Voilà où j'en suis. J'ai oublié de préciser que ce jeune homme boit, et ... se drogue. Certaines fois, des odeurs pestilentielles sortent de son appartement, envahissent la cage d'escalier et pénètrent dans mon entrée.
Que faire ? Il me fait peur.
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2 réponses
Bonjour.
Tout d'abord, il ne faut pas manquer d'appeler les forces de l'ordre à chaque fois que le tapage se produit.
Ensuite, le propriétaire du logement est responsable des troubles causés par ses locataires. Envoyez lui une LRAR lui expliquant le trouble et lui demandant de faire le nécessaire pour qu'il y soit mis fin.
Cela passe par des mises en demeure de son locataire, et une éventuelle insonorisation des lieux. N'hésitez pas à faire constater les troubles par huissier.
Le propriétaire, face à des plaintes réitérées pourra résilier le bail du locataire à son terme (1 ou 3 ans) pour motif sérieux et légitime.
Si malgré cela rien ne bouge, adressez vous a la commission de conciliation départementale. Puis, si sans effet saisissez le juge de proximité.
Tout d'abord, il ne faut pas manquer d'appeler les forces de l'ordre à chaque fois que le tapage se produit.
Ensuite, le propriétaire du logement est responsable des troubles causés par ses locataires. Envoyez lui une LRAR lui expliquant le trouble et lui demandant de faire le nécessaire pour qu'il y soit mis fin.
Cela passe par des mises en demeure de son locataire, et une éventuelle insonorisation des lieux. N'hésitez pas à faire constater les troubles par huissier.
Le propriétaire, face à des plaintes réitérées pourra résilier le bail du locataire à son terme (1 ou 3 ans) pour motif sérieux et légitime.
Si malgré cela rien ne bouge, adressez vous a la commission de conciliation départementale. Puis, si sans effet saisissez le juge de proximité.
Non, je ne sais pas trop pourquoi. J'ai peur, je vis seule. En plus, il n'en a rien à faire (il m'a dit que je pouvais les appeler (keufs), ça ne le dérangeait pas). D'autre part, j'habite une petite ville, les gendarmes ne se déplacent pas facilement, je le sais car des voisins les ont déjà appelés pour un autre cas. je crains de tomber sur un refus. Par contre, je pourrais peut-être aller les voir et leur en parler ?
Je suis totalement désemparée. Mais je vais suivre vos conseils. Je vais faire un courrier à ma propriétaire et au propriétaire de l'autre personne. Puis suivre les autres étapes.
La meilleure des solutions pour moi serait de déménager, mais ce n'est pas facile pour le moment à cause de ma santé.
Je vous souhaite une bonne journée.
Cordialement,