Donation et 2ème lit
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Modifié par Sorgin le 10/09/2013 à 16:09
Modifié par Sorgin le 10/09/2013 à 16:09
Bonjour,
la notaire m'a conseiller de faire une donation au dernier vivant; hors ça veut dire que si je décède avant et lui après ses enfants profiteront de ma part ?
La donation au dernier vivant offre plus de possibilités que la loi.
La loi permet au survivant d'un couple ayant des enfants d'un autre lit d'obtenir 1/4 de la succession du défunt en pleine propriété.
La donation au dernier vivant offre la possibilité de choisir 1/4 en pleine propriété + 3/4 en usufruit, ou bien la totalité en usufruit. L'usufruit permet au survivant de demeurer dans le bien ou de le louer jusqu'à son décès. Les enfants héritiers sont nus-propriétaires de la part en usufruit et deviennent pleins propriétaires au décès du dernier vivant.
Si vous ne voulez pas que les enfants de votre époux bénéficient d'une partie de votre part dans le cas où vous disparaîtriez avant votre époux, il faut lui interdire de choisir le 1/4 en pleine propriété, et donc spécifier dans la donation au dernier vivant qu'il a droit à la totalité en usufruit. Ainsi ce sont uniquement vos enfants à vous qui seront nus-propriétaires de votre part jusqu'à son décès, et pleins propriétaires ensuite.
Au contraire si votre mari souhaite que ses premiers enfants n'aient que le minimum prévu par la loi, il doit faire un testament pour spécifier qu'il lègue la part maximale permise par la loi à vous et/ou vos enfants communs.
Il est indispensable de voir un notaire pour que ces formalités soient faites en bonne et due forme, et qu'il n'y ait aucune difficulté d'interprétation.
Notez qu'aussi bien la donation au dernier vivant que le testament sont révocables à tout moment, et de manière unilatérale sans avoir à en avertir l'autre.
De plus, comment ça se passe pour tout ce qu'on a mis de côté ensemble (finance banque) ou même des livret A à mon nom ou nom de notre fils ?
Ca se passe pareil : si vous êtes mariés sous le régime de la communauté, tout ce que vous avez mis de côté ensemble depuis votre mariage, et même si c'est au nom de votre fils, vous appartient pour moitié à l'un et moitié à l'autre ; cette moitié sera donc reprise dans l'actif de succession de chacun, avant de calculer les droits de chaque héritier.
Ensuite, elle m'a conseiller de prendre 100 % en usufruit si je décédais après mon mari;
Ce sera à étudier le moment venu, il n'est pas dit que ce soit la meilleure solution si vous êtes très âgée, et cela dépendra également des dispositions testamentaires ou autres prises par votre mari.
mais dans ce cas ça veut dire aussi que je ne pourrais pas vendre quand j'aurais 70 ans par exemple pour financer mes problèmes de santé ou le prix d'une maison de retraite ?
Ce sera le cas de toutes manières : à partir du moment où l'un de vous disparaît, l'autre a besoin de l'accord des héritiers pour vendre, et sauf accord pour réinvestir ensemble, le partage de l'argent de la vente doit être réalisé.
Je sais qu'on ne peux déshériter ses enfants mais mon mari et moi on trouve très injuste que ses enfants qui sont cruels avec lui et dont il n'a même plus de contact, aient le droit sur quelque choses que nous essayons de faire ensemble et surtout aussi pour l'héritage de notre enfant communs (peut être bientôt 2).
Que vous le vouliez ou non, ses enfants seront toujours ses enfants, et les vôtres de même. On ne tire pas aussi facilement un trait sur le passé.
Cdlt
la notaire m'a conseiller de faire une donation au dernier vivant; hors ça veut dire que si je décède avant et lui après ses enfants profiteront de ma part ?
La donation au dernier vivant offre plus de possibilités que la loi.
La loi permet au survivant d'un couple ayant des enfants d'un autre lit d'obtenir 1/4 de la succession du défunt en pleine propriété.
La donation au dernier vivant offre la possibilité de choisir 1/4 en pleine propriété + 3/4 en usufruit, ou bien la totalité en usufruit. L'usufruit permet au survivant de demeurer dans le bien ou de le louer jusqu'à son décès. Les enfants héritiers sont nus-propriétaires de la part en usufruit et deviennent pleins propriétaires au décès du dernier vivant.
Si vous ne voulez pas que les enfants de votre époux bénéficient d'une partie de votre part dans le cas où vous disparaîtriez avant votre époux, il faut lui interdire de choisir le 1/4 en pleine propriété, et donc spécifier dans la donation au dernier vivant qu'il a droit à la totalité en usufruit. Ainsi ce sont uniquement vos enfants à vous qui seront nus-propriétaires de votre part jusqu'à son décès, et pleins propriétaires ensuite.
Au contraire si votre mari souhaite que ses premiers enfants n'aient que le minimum prévu par la loi, il doit faire un testament pour spécifier qu'il lègue la part maximale permise par la loi à vous et/ou vos enfants communs.
Il est indispensable de voir un notaire pour que ces formalités soient faites en bonne et due forme, et qu'il n'y ait aucune difficulté d'interprétation.
Notez qu'aussi bien la donation au dernier vivant que le testament sont révocables à tout moment, et de manière unilatérale sans avoir à en avertir l'autre.
De plus, comment ça se passe pour tout ce qu'on a mis de côté ensemble (finance banque) ou même des livret A à mon nom ou nom de notre fils ?
Ca se passe pareil : si vous êtes mariés sous le régime de la communauté, tout ce que vous avez mis de côté ensemble depuis votre mariage, et même si c'est au nom de votre fils, vous appartient pour moitié à l'un et moitié à l'autre ; cette moitié sera donc reprise dans l'actif de succession de chacun, avant de calculer les droits de chaque héritier.
Ensuite, elle m'a conseiller de prendre 100 % en usufruit si je décédais après mon mari;
Ce sera à étudier le moment venu, il n'est pas dit que ce soit la meilleure solution si vous êtes très âgée, et cela dépendra également des dispositions testamentaires ou autres prises par votre mari.
mais dans ce cas ça veut dire aussi que je ne pourrais pas vendre quand j'aurais 70 ans par exemple pour financer mes problèmes de santé ou le prix d'une maison de retraite ?
Ce sera le cas de toutes manières : à partir du moment où l'un de vous disparaît, l'autre a besoin de l'accord des héritiers pour vendre, et sauf accord pour réinvestir ensemble, le partage de l'argent de la vente doit être réalisé.
Je sais qu'on ne peux déshériter ses enfants mais mon mari et moi on trouve très injuste que ses enfants qui sont cruels avec lui et dont il n'a même plus de contact, aient le droit sur quelque choses que nous essayons de faire ensemble et surtout aussi pour l'héritage de notre enfant communs (peut être bientôt 2).
Que vous le vouliez ou non, ses enfants seront toujours ses enfants, et les vôtres de même. On ne tire pas aussi facilement un trait sur le passé.
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5 août 2014
11 sept. 2013 à 14:54
11 sept. 2013 à 14:54
Merci de m'avoir répondu mais il est vrai que tout ça ne me rassure pas; ce que je ne comprend pas c'est que toute ma vie je vais essayer de mettre de l'argent de côté pour notre fils et le jour J, cet argent sera répartie avec ses enfants; il y a pas un moyen de protéger notre fils ? Si ça continue on prévoira de divorcer dans 20 ans et je rachèterais la maison puis on se remariera sous contrat pour que tout soit à mon nom...c'est vraiment injuste car mon fils ne va pas prendre dans le livret A de ses enfants du 1er lit ?! Il n'y a t il pas un moyen de nous protéger au maximum ?
Ses enfants du 1er lit peuvent-ils m'empêcher de vendre la maison ?
La maison vaut 180 000 euros, combien leur devrais-je plus tard si on parle juste de la maison bien sûr ? (avec un 2ème enfant en commun).
Dans 16 ans mon fils sera majeur, peux t on lui supprimer son livret A ? au décès de son père ?
Et si plus tard nous mettons la maison de notre fils à son nom ?
Que deviens si mes parents décédé mon héritage (150 000 euros) si je ne veux pas qu'il aille pour ses enfants du 1 er lit ?
Merci d'avance de l'aide précieuse que vous m'apportez.
Ses enfants du 1er lit peuvent-ils m'empêcher de vendre la maison ?
La maison vaut 180 000 euros, combien leur devrais-je plus tard si on parle juste de la maison bien sûr ? (avec un 2ème enfant en commun).
Dans 16 ans mon fils sera majeur, peux t on lui supprimer son livret A ? au décès de son père ?
Et si plus tard nous mettons la maison de notre fils à son nom ?
Que deviens si mes parents décédé mon héritage (150 000 euros) si je ne veux pas qu'il aille pour ses enfants du 1 er lit ?
Merci d'avance de l'aide précieuse que vous m'apportez.
Il vous faudra admettre que votre mari a eu une vie avant votre vie commune.
Votre fils partage son père avec ses frères.
toute ma vie je vais essayer de mettre de l'argent de côté pour notre fils
Vous oubliez que vous n'êtes pas toute seule à faire l'effort et que votre mari n'y est pas pour rien.
Votre mari, qui participe comme vous à augmenter les avoirs de votre fils commun, est propriétaire de la moitié de ces avoirs (communauté). Et à son décès ceci pourra être considéré comme une donation accordée à son fils (à tout le moins si on parle de fortes sommes), à "rapporter" à sa succession.
Et les héritiers réservataires d'une personne sont tous ses enfants.
c'est vraiment injuste car mon fils ne va pas prendre dans le livret A de ses enfants du 1er lit
Mais lorsque son père disparaîtra, ses frères pourront également dire "c'est vraiment injuste parce que nous on n'a pas bénéficié des soins attentifs de notre père depuis nos 15 ans".
Il n'y a t il pas un moyen de nous protéger au maximum ?
Pour vous, la donation au dernier vivant est un très bon outil : l'usufruit vous permettra de jouir de ce bien jusqu'à votre décès.
S'il en a la volonté, votre mari peut favoriser votre fils en lui faisant des donations hors part et par préciput et/ou en lui léguant la quotité disponible (c'est cette partie de la succession dont chacun peut disposer à sa guise, en l'occurence avec 3 enfants ou plus votre mari peut disposer de 1/4 ; vous, avec 1 enfant vous pouvez disposer de la moitié ; le jour où vous en aurez 2, vous pourrez disposer de 1/3)
Les assurances-vie sont aussi une bonne idée, puisque hors succession, et permettent de fixer le nom du/des bénéficiaires ; comme elles sont hors succession, les autres héritiers peuvent en être écartés ; il faut tout de même rester raisonnable, sous peine qu'on les réintègre à la succession en cas de "primes manifestement exagérées" (tenant compte des moyens du souscripteur au moment des versements, toute manoeuvre qui aurait pour but évident d'appauvrir sa succession officielle pourrait donc être contre-productive).
Ses enfants du 1er lit peuvent-ils m'empêcher de vendre la maison ?
Vous aurez besoin de leur accord pour vendre ; en cas de désaccord vous pourrez demander au tribunal de décider la vente ; dans tous les cas vous devrez partager l'argent avec eux.
La maison vaut 180 000 euros, combien leur devrais-je plus tard si on parle juste de la maison bien sûr ? (avec un 2ème enfant en commun).
En admettant que ce soit un bien communautaire, vous êtes propriétaires de 90000 chacun, c'est ce qui rentrera éventuellement dans la succession de leur père ; mais comme plus haut vous dites "j'apporte 1/3 pour la construction d'une maison", s'il s'agit d'un bien propre (argent venant d'un héritage ou d'une donation que vous avez reçue, ou faisant partie de votre patrimoine avant votre mariage, et que vous en faites état dans l'acte d'achat de la maison) cet équilibre sera différent : 60000 seraient donc à vous en tant que "propre", puis 60000 en tant que communauté pour vous, et autant en tant que communauté pour votre mari.
Ce serait donc sur 60000 qu'il faudrait ensuite calculer les droits de chacun, selon l'option que vous aurez choisie (usufruit, ou 1/4 pleine propriété + 3/4 usufruit).
Sur 60 000 moins la valeur de vos droits, ensuite en admettant que leur père leur laisse le minimum (la réserve), celle-ci représentera 3/4 de cette valeur à partager entre les 4 enfants.
Difficile de vous dire d'avance "combien" car la maison devra être réévaluée au décès de leur père.
Dans 16 ans mon fils sera majeur, peux t on lui supprimer son livret A ? au décès de son père ?
Non, et d'ailleurs dans 14 ans vous n'aurez plus le droit de ponctionner d'argent sur son livret A (à partir de ses 16 ans il en aura la jouissance personnelle).
Mais cela n'empêchera pas que si son père l'a exagérément gâté (donations, déguisées ou pas), les droits de ses frères devront quand même être respectés et c'est éventuellement votre fils qui sera redevable d'une soulte envers eux.
Et si plus tard nous mettons la maison de notre fils à son nom ?
Très mauvaise pioche.
Voir "si son père l'a exagérément gâté (donations, déguisées ou pas), les droits de ses frères devront quand même être respectés et c'est éventuellement votre fils qui sera redevable d'une soulte envers eux."
Que deviens si mes parents décédé mon héritage (150 000 euros) si je ne veux pas qu'il aille pour ses enfants du 1 er lit ?
Pas de risque puisqu'il s'agit d'un bien propre, sauf si après votre décès votre mari choisit 1/4 en pleine propriété, ce quart rentrera dans son patrimoine et à son décès il sera remis à ses héritiers.
Votre fils partage son père avec ses frères.
toute ma vie je vais essayer de mettre de l'argent de côté pour notre fils
Vous oubliez que vous n'êtes pas toute seule à faire l'effort et que votre mari n'y est pas pour rien.
Votre mari, qui participe comme vous à augmenter les avoirs de votre fils commun, est propriétaire de la moitié de ces avoirs (communauté). Et à son décès ceci pourra être considéré comme une donation accordée à son fils (à tout le moins si on parle de fortes sommes), à "rapporter" à sa succession.
Et les héritiers réservataires d'une personne sont tous ses enfants.
c'est vraiment injuste car mon fils ne va pas prendre dans le livret A de ses enfants du 1er lit
Mais lorsque son père disparaîtra, ses frères pourront également dire "c'est vraiment injuste parce que nous on n'a pas bénéficié des soins attentifs de notre père depuis nos 15 ans".
Il n'y a t il pas un moyen de nous protéger au maximum ?
Pour vous, la donation au dernier vivant est un très bon outil : l'usufruit vous permettra de jouir de ce bien jusqu'à votre décès.
S'il en a la volonté, votre mari peut favoriser votre fils en lui faisant des donations hors part et par préciput et/ou en lui léguant la quotité disponible (c'est cette partie de la succession dont chacun peut disposer à sa guise, en l'occurence avec 3 enfants ou plus votre mari peut disposer de 1/4 ; vous, avec 1 enfant vous pouvez disposer de la moitié ; le jour où vous en aurez 2, vous pourrez disposer de 1/3)
Les assurances-vie sont aussi une bonne idée, puisque hors succession, et permettent de fixer le nom du/des bénéficiaires ; comme elles sont hors succession, les autres héritiers peuvent en être écartés ; il faut tout de même rester raisonnable, sous peine qu'on les réintègre à la succession en cas de "primes manifestement exagérées" (tenant compte des moyens du souscripteur au moment des versements, toute manoeuvre qui aurait pour but évident d'appauvrir sa succession officielle pourrait donc être contre-productive).
Ses enfants du 1er lit peuvent-ils m'empêcher de vendre la maison ?
Vous aurez besoin de leur accord pour vendre ; en cas de désaccord vous pourrez demander au tribunal de décider la vente ; dans tous les cas vous devrez partager l'argent avec eux.
La maison vaut 180 000 euros, combien leur devrais-je plus tard si on parle juste de la maison bien sûr ? (avec un 2ème enfant en commun).
En admettant que ce soit un bien communautaire, vous êtes propriétaires de 90000 chacun, c'est ce qui rentrera éventuellement dans la succession de leur père ; mais comme plus haut vous dites "j'apporte 1/3 pour la construction d'une maison", s'il s'agit d'un bien propre (argent venant d'un héritage ou d'une donation que vous avez reçue, ou faisant partie de votre patrimoine avant votre mariage, et que vous en faites état dans l'acte d'achat de la maison) cet équilibre sera différent : 60000 seraient donc à vous en tant que "propre", puis 60000 en tant que communauté pour vous, et autant en tant que communauté pour votre mari.
Ce serait donc sur 60000 qu'il faudrait ensuite calculer les droits de chacun, selon l'option que vous aurez choisie (usufruit, ou 1/4 pleine propriété + 3/4 usufruit).
Sur 60 000 moins la valeur de vos droits, ensuite en admettant que leur père leur laisse le minimum (la réserve), celle-ci représentera 3/4 de cette valeur à partager entre les 4 enfants.
Difficile de vous dire d'avance "combien" car la maison devra être réévaluée au décès de leur père.
Dans 16 ans mon fils sera majeur, peux t on lui supprimer son livret A ? au décès de son père ?
Non, et d'ailleurs dans 14 ans vous n'aurez plus le droit de ponctionner d'argent sur son livret A (à partir de ses 16 ans il en aura la jouissance personnelle).
Mais cela n'empêchera pas que si son père l'a exagérément gâté (donations, déguisées ou pas), les droits de ses frères devront quand même être respectés et c'est éventuellement votre fils qui sera redevable d'une soulte envers eux.
Et si plus tard nous mettons la maison de notre fils à son nom ?
Très mauvaise pioche.
Voir "si son père l'a exagérément gâté (donations, déguisées ou pas), les droits de ses frères devront quand même être respectés et c'est éventuellement votre fils qui sera redevable d'une soulte envers eux."
Que deviens si mes parents décédé mon héritage (150 000 euros) si je ne veux pas qu'il aille pour ses enfants du 1 er lit ?
Pas de risque puisqu'il s'agit d'un bien propre, sauf si après votre décès votre mari choisit 1/4 en pleine propriété, ce quart rentrera dans son patrimoine et à son décès il sera remis à ses héritiers.
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5 août 2014
11 sept. 2013 à 16:32
11 sept. 2013 à 16:32
Merci de votre réponse rapide; je sais qu'il a eu une vie avant moi aussi d'ailleurs et à 40 ans c'est normal; néanmoins quand je vois qu'il s'est occupé à 20 ans des 3 enfants de son ex femme puis des ses 2 enfants (normal), et qu'ensuite jusqu'à leur 10 et 15 ans il leur à tout donné et même à leur mère une petite soulte et là encore elles vont faire des études jusqu'à plus de 25 ans et ont continueras à payer leurs pensions (désolé mais moi j'ai fait des études et je n'ai rien demandé à mes parents et je faisais 5 h de transport par jours, bref autre sujets) mais aujourd'hui avec les divorces, la loi donnent trop de aux enfants. Et ses filles ne lui parlent plus du tout (la mère les a mis contre lui ce qui arrive souvent), donc pour mon fils ils ne les connaîtra pas donc c'est dur d'admettre qu'elles font partis de notre vie; à moins de monter une SCI...Je ne peux pas dire qu'il va le gâter énormément, on est moins riches qu'ils l'étaient avec son ex femme (mais si je retrouve un travail et je met de l'argent de côté pour mes vieux jours ou pour mon fils, c'est vraiment pas juste que ses filles en profitent !) Et je ne trouve pas que mon fils a de la chance car son père n'a plus la même dynamique et pourra sans doute profiter moins longtemps de son père). En fait, les enfants du 1er lit pour eux j'ai l'impression que c'est "jackpot"; désolé d'être amer...mais bon je sais la loi est la loi.
Vous dites si son père l'a exagérément gâté disons que son livret ne peux excéder de toute manière 22000 euros.
ps la solution ne serait elle pas que plus tard que l'on fasse un contrat de mariage avec la maison à mon nom ?
"celle-ci représentera 3/4 de cette valeur à partager entre les 4 enfants" cela signifie que si l'on prend 60 000 euros, je dois à chacune de ses filles 22500 euros si je veux que la maison m'appartienne ?
Merci encore une fois d'essayer de m'éclairer sans me juger car je trouve que vous expliquer mieux que ma notaire ;-)
Vous dites si son père l'a exagérément gâté disons que son livret ne peux excéder de toute manière 22000 euros.
ps la solution ne serait elle pas que plus tard que l'on fasse un contrat de mariage avec la maison à mon nom ?
"celle-ci représentera 3/4 de cette valeur à partager entre les 4 enfants" cela signifie que si l'on prend 60 000 euros, je dois à chacune de ses filles 22500 euros si je veux que la maison m'appartienne ?
Merci encore une fois d'essayer de m'éclairer sans me juger car je trouve que vous expliquer mieux que ma notaire ;-)
Et si plus tard nous mettons la maison de notre fils à son nom ?
qu'entendez-vous par "mettre au nom" ? Quoi qu'il en soit, c'est, comme le dit Sorgin, une mauvaise idée. Pour les raisons déjà énoncées, mais aussi, parce que si cette maison devenait la pleine propriété de votre fils, cela pourrait conduire à léser votre 2nd enfant (le cas échéant) et aussi si, lorsque vous serez âgés, vous souhaitez ou avez besoin de vendre ce bien pour en racheter un autre ou avoir des liquidités pour une maison de retraite, il vous faudra l'accord de votre fils et surtout la totalité du prix de vente lui reviendra, sans obligation de réinvestir selon vos souhaits ou de s'occuper de vous plus qu'un autre enfant.
qu'entendez-vous par "mettre au nom" ? Quoi qu'il en soit, c'est, comme le dit Sorgin, une mauvaise idée. Pour les raisons déjà énoncées, mais aussi, parce que si cette maison devenait la pleine propriété de votre fils, cela pourrait conduire à léser votre 2nd enfant (le cas échéant) et aussi si, lorsque vous serez âgés, vous souhaitez ou avez besoin de vendre ce bien pour en racheter un autre ou avoir des liquidités pour une maison de retraite, il vous faudra l'accord de votre fils et surtout la totalité du prix de vente lui reviendra, sans obligation de réinvestir selon vos souhaits ou de s'occuper de vous plus qu'un autre enfant.
France744
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5 août 2014
11 sept. 2013 à 17:21
11 sept. 2013 à 17:21
Bonjour Cfc,
j'entendais le mettre à son nom en pleine propriété mais nous aurions l'usufruit jusqu'à nos décès respectifs. S'il y en avait un ou une deuxième ils se partageraient bien sûr la maison.
Disons que pour l'accord de mon fils je suppose que je ne suis pas à l'abris qu'il devienne méchante avec sa maman mais bon je préfère ça à l'idée de leur donner plus de 40 000 euros à ses filles qui l'ont rendus malades (je précise que je n'ai rien à voir là dedans je les connus après son divorce).
de plus, je ne suis pas à l'abris que ses filles refusent la vente de la maison; de pus même si j'arrive d'ici là à mettre 40000 euros de côté environs ils me seront repris car ils seront dans la communauté.
ps : même ses PEL seront répartis avec ses filles ? En étant futur mariée sans contrat et aux derniers vivants cela ne m'autorise pas a avoir la totalité de ses finances car il a des enfants du 1er lit ?
merci d'avance
j'entendais le mettre à son nom en pleine propriété mais nous aurions l'usufruit jusqu'à nos décès respectifs. S'il y en avait un ou une deuxième ils se partageraient bien sûr la maison.
Disons que pour l'accord de mon fils je suppose que je ne suis pas à l'abris qu'il devienne méchante avec sa maman mais bon je préfère ça à l'idée de leur donner plus de 40 000 euros à ses filles qui l'ont rendus malades (je précise que je n'ai rien à voir là dedans je les connus après son divorce).
de plus, je ne suis pas à l'abris que ses filles refusent la vente de la maison; de pus même si j'arrive d'ici là à mettre 40000 euros de côté environs ils me seront repris car ils seront dans la communauté.
ps : même ses PEL seront répartis avec ses filles ? En étant futur mariée sans contrat et aux derniers vivants cela ne m'autorise pas a avoir la totalité de ses finances car il a des enfants du 1er lit ?
merci d'avance
à moins de monter une SCI
Une SCI ne change rien : les parts que détiendra votre mari à son décès devront être réparties entre tous ses héritiers.
mais si je retrouve un travail et je met de l'argent de côté pour mes vieux jours ou pour mon fils, c'est vraiment pas juste que ses filles en profitent !
Créez des assurances-vie, et placez-y une partie de vos économies au fur et à mesure, en mettant vos enfants bénéficiaires ; ou même vos enfants bénéficiaires de leur nue-propriété, et votre mari bénéficiaire de leur usufruit : ainsi votre mari en percevra les intérêts, et vos enfants recevront le capital après son décès.
Vous dites si son père l'a exagérément gâté disons que son livret ne peux excéder de toute manière 22000 euros.
Si ces 22000 euros sont toutes les économies de votre mari, ce sera exagéré puisque chaque enfant a droit à sa réserve héréditaire, et dans votre cas un seul aurait tout. C'est une bombe à retardement pour vos enfants, en voulant bien faire vous leur attirerez les foudres des autres pour plus tard.
ps la solution ne serait elle pas que plus tard que l'on fasse un contrat de mariage avec la maison à mon nom ?
Ce genre de manipulation ne passe pas inaperçu, elle sera bien entendue contestée par les héritiers de votre mari qui vous feront toutes les misères du monde.
"celle-ci représentera 3/4 de cette valeur à partager entre les 4 enfants" cela signifie que si l'on prend 60 000 euros, je dois à chacune de ses filles 22500 euros si je veux que la maison m'appartienne ?
Je ne sais pas comment vous arrivez à ce montant.
Au pire*, 60000*3/4 = 45000, et 45000/4=11250 par enfant (y compris les 2 vôtres).
*quand je dis "au pire" c'est compte tenu d'un apport "propre à vous" de 1/3, et de la valeur d'aujourd'hui, mais bien entendu si votre maison vaut 3 fois plus au moment du décès, il faut prévoir que chaque enfant aura 3 fois plus, et si votre mari possède d'autres avoirs (comptes bancaires, voiture, actions, ...) il faudra aussi les partager.
Une SCI ne change rien : les parts que détiendra votre mari à son décès devront être réparties entre tous ses héritiers.
mais si je retrouve un travail et je met de l'argent de côté pour mes vieux jours ou pour mon fils, c'est vraiment pas juste que ses filles en profitent !
Créez des assurances-vie, et placez-y une partie de vos économies au fur et à mesure, en mettant vos enfants bénéficiaires ; ou même vos enfants bénéficiaires de leur nue-propriété, et votre mari bénéficiaire de leur usufruit : ainsi votre mari en percevra les intérêts, et vos enfants recevront le capital après son décès.
Vous dites si son père l'a exagérément gâté disons que son livret ne peux excéder de toute manière 22000 euros.
Si ces 22000 euros sont toutes les économies de votre mari, ce sera exagéré puisque chaque enfant a droit à sa réserve héréditaire, et dans votre cas un seul aurait tout. C'est une bombe à retardement pour vos enfants, en voulant bien faire vous leur attirerez les foudres des autres pour plus tard.
ps la solution ne serait elle pas que plus tard que l'on fasse un contrat de mariage avec la maison à mon nom ?
Ce genre de manipulation ne passe pas inaperçu, elle sera bien entendue contestée par les héritiers de votre mari qui vous feront toutes les misères du monde.
"celle-ci représentera 3/4 de cette valeur à partager entre les 4 enfants" cela signifie que si l'on prend 60 000 euros, je dois à chacune de ses filles 22500 euros si je veux que la maison m'appartienne ?
Je ne sais pas comment vous arrivez à ce montant.
Au pire*, 60000*3/4 = 45000, et 45000/4=11250 par enfant (y compris les 2 vôtres).
*quand je dis "au pire" c'est compte tenu d'un apport "propre à vous" de 1/3, et de la valeur d'aujourd'hui, mais bien entendu si votre maison vaut 3 fois plus au moment du décès, il faut prévoir que chaque enfant aura 3 fois plus, et si votre mari possède d'autres avoirs (comptes bancaires, voiture, actions, ...) il faudra aussi les partager.
Enka1
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13 juillet 2019
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14 sept. 2013 à 17:18
14 sept. 2013 à 17:18
Bonjour,
Et sans vouloir plomber l' ambiance, plus qu' elle ne pourrait l' être :
il existe encore une chose qui pourrait vous faire pâlir :
A savoir que si votre mari décède, la pension de réversion sera répartie entre
l' ancienne épouse et vous, au prorata du temps de mariage de chacune d' entre vous ...
Comme quoi, voyez vous, même divorcé; même ayant tout partagé et croyant être débarrassé de l' ex ... Et bien ce n' est quelque part qu' une illusion ... Puisqu' on est encore lié au devoir de ne pas pouvoir faire ce qu' on veut du fruit de son travail personnel ... Que l' on est encore obligé voir partager, même outre tombe... entre son nouveau conjoint et son ex ... sous prétexte qu' on a eu l' outrecuidance de se
" lier " avec elle ou lui ! ...
Pas beau çà ? ! ...
Et sans vouloir plomber l' ambiance, plus qu' elle ne pourrait l' être :
il existe encore une chose qui pourrait vous faire pâlir :
A savoir que si votre mari décède, la pension de réversion sera répartie entre
l' ancienne épouse et vous, au prorata du temps de mariage de chacune d' entre vous ...
Comme quoi, voyez vous, même divorcé; même ayant tout partagé et croyant être débarrassé de l' ex ... Et bien ce n' est quelque part qu' une illusion ... Puisqu' on est encore lié au devoir de ne pas pouvoir faire ce qu' on veut du fruit de son travail personnel ... Que l' on est encore obligé voir partager, même outre tombe... entre son nouveau conjoint et son ex ... sous prétexte qu' on a eu l' outrecuidance de se
" lier " avec elle ou lui ! ...
Pas beau çà ? ! ...
Enka1
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Modifié par Enka1 le 14/09/2013 à 21:08
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Hi hi ... De quoi rêver avec méchanceté ;)
Quant aux deux autres cas, quand l' ex époux avait une bonne situation ... Pas folles les guêpes ...
Quant aux deux autres cas, quand l' ex époux avait une bonne situation ... Pas folles les guêpes ...
Oui, enfin faut pas exagérer.... 15 ou 20 ans de vie commune ça n'est pas forcément une sinécure. Et je vous rappelle que souvent c'est le mari qui se barre avec une jeunette, après avoir élevé ses ainés ou même en laissant maman se débrouiller avec la marmaille !
Exemple "Mon futur mari à 2 enfants(dont un majeur) ...; il a été marié pendant 15 ans; nous avons en commun un fils de 2 ans"
Exemple "Mon futur mari à 2 enfants(dont un majeur) ...; il a été marié pendant 15 ans; nous avons en commun un fils de 2 ans"
Enka1
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14 sept. 2013 à 21:41
14 sept. 2013 à 21:41
Oui, tu prends le cas extrème et galvaudé que tout le monde se plait à mettre en avant ...
Mais je connais des tas de gens qui ont divorcé sur le tard, non pour se remettre avec des jeunettes.
Des gens qui sont donc restés mariés pendant 30 ans ou plus, qui se remarient avec des personnes de leur âge, qui sont plus démunies que leurs anciennes épouses ou tout simplement malades ... Donc, tu vois un peu le problème ...
Et franchement, une fois que tu as divorcé, que tu as tout partagé avec ton ex que souvent d' alleurs tu ne peut plus voir ... tu trouves normal que le fruit de ton travail lui revienne contre tes propres désirs ... et que celle que tu auras choisi pour finir ta et sa vie ensemble se retrouve avec des clopinettes, tout çà au bénéfice de l' ex ?
Car quant tout çà arrive, les enfants ... ils ont grands et élevés ! ...
Mais je connais des tas de gens qui ont divorcé sur le tard, non pour se remettre avec des jeunettes.
Des gens qui sont donc restés mariés pendant 30 ans ou plus, qui se remarient avec des personnes de leur âge, qui sont plus démunies que leurs anciennes épouses ou tout simplement malades ... Donc, tu vois un peu le problème ...
Et franchement, une fois que tu as divorcé, que tu as tout partagé avec ton ex que souvent d' alleurs tu ne peut plus voir ... tu trouves normal que le fruit de ton travail lui revienne contre tes propres désirs ... et que celle que tu auras choisi pour finir ta et sa vie ensemble se retrouve avec des clopinettes, tout çà au bénéfice de l' ex ?
Car quant tout çà arrive, les enfants ... ils ont grands et élevés ! ...
mimim10
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24 août 2014
15 sept. 2013 à 07:13
15 sept. 2013 à 07:13
Moi je suis hélas en retraite, mon mari aussi
D'un premier lit, mon mari a deux enfants, du nôtre deux enfants également. Tous majeurs quarantenaires et trentenaires.
Nous sommes mariés depuis 40 ans, et là je m'interroge, nous avons fait donation entre époux,il y a 30 ans en nous disant , nous sommes protégés, en cas de décès: nous sommes surs d'avoir un toit!
Et à présent, il y a un point que je voudrai éclaircir , le pourcentage d'usufruit? nous sommes vieillissants, et n'avons jamais entendant parler de ce pourcentage.
Que nous conseillez-vous? dans le cas ou moi je serai la dernière survivante, le notaire nous avait engagé à faire une donation entre époux lorsque nous avons acheté notre maison,
Un des enfants de mon mari a carrément mis un trait sur lui en disant qu' il n'était pas son père! il y a 10 ans.
Plus de liens du tout! son vrai père pour cet enfant était celui qui par bonheur a pu l'élever, mon mari a fait une tentative de suicide lors de la séparation du 1er mariage, il adorait et sa 1ére épouse et ses enfants qui malheureusement étaient trop petits pour comprendre et la garde était à l'amiable: souvent les cadeaux de Noel restaient dans l'armoire pendant des mois.
une vie de patachon pour ses deux enfants de ce premier lit, une vie à 3 pour l'ex femme de mon mari! elle et deux compagnons dont un qui fermait les yeux, celui qui était considéré comme père par un des ses enfants, qui depuis est décédé,il y a une dizaine d'années
Une grosse surprise! Dans la presse, dans les remerciements des obsèques, était mentionné"de la part de... et ... ses f..." le choc qu' a pu avoir mon mari!!! surtout que ses f... sont des adultes quarantenaires!
nous voulons nous protéger mutuellement , nous avons plus de 10 ans de différence, mon mari plus de 70 ans, moi la plus jeune.
Que deviennent les biens en cas de décès, voitures etc , cela nous ne nous sommes pas posés la question; financièrement , nous avons une assurance vie avec bénéficiaires; rien ne reste en Banque.
Moi j'aurai voulu vendre notre maison , et donner l'argent de notre vivant,
Ce n'est pas le souhait de mon mari, nous sommes "bien" dans notre maison.
Mais l'âge avance! et à l'heure actuelle, en lisant votre commentaire ci-dessus, je me pose ces questions!
les termes sont difficiles à comprendre quand on est pas dans le domaine notariale, tant de pourcentage, usufruit etc
En vous remerciant,
D'un premier lit, mon mari a deux enfants, du nôtre deux enfants également. Tous majeurs quarantenaires et trentenaires.
Nous sommes mariés depuis 40 ans, et là je m'interroge, nous avons fait donation entre époux,il y a 30 ans en nous disant , nous sommes protégés, en cas de décès: nous sommes surs d'avoir un toit!
Et à présent, il y a un point que je voudrai éclaircir , le pourcentage d'usufruit? nous sommes vieillissants, et n'avons jamais entendant parler de ce pourcentage.
Que nous conseillez-vous? dans le cas ou moi je serai la dernière survivante, le notaire nous avait engagé à faire une donation entre époux lorsque nous avons acheté notre maison,
Un des enfants de mon mari a carrément mis un trait sur lui en disant qu' il n'était pas son père! il y a 10 ans.
Plus de liens du tout! son vrai père pour cet enfant était celui qui par bonheur a pu l'élever, mon mari a fait une tentative de suicide lors de la séparation du 1er mariage, il adorait et sa 1ére épouse et ses enfants qui malheureusement étaient trop petits pour comprendre et la garde était à l'amiable: souvent les cadeaux de Noel restaient dans l'armoire pendant des mois.
une vie de patachon pour ses deux enfants de ce premier lit, une vie à 3 pour l'ex femme de mon mari! elle et deux compagnons dont un qui fermait les yeux, celui qui était considéré comme père par un des ses enfants, qui depuis est décédé,il y a une dizaine d'années
Une grosse surprise! Dans la presse, dans les remerciements des obsèques, était mentionné"de la part de... et ... ses f..." le choc qu' a pu avoir mon mari!!! surtout que ses f... sont des adultes quarantenaires!
nous voulons nous protéger mutuellement , nous avons plus de 10 ans de différence, mon mari plus de 70 ans, moi la plus jeune.
Que deviennent les biens en cas de décès, voitures etc , cela nous ne nous sommes pas posés la question; financièrement , nous avons une assurance vie avec bénéficiaires; rien ne reste en Banque.
Moi j'aurai voulu vendre notre maison , et donner l'argent de notre vivant,
Ce n'est pas le souhait de mon mari, nous sommes "bien" dans notre maison.
Mais l'âge avance! et à l'heure actuelle, en lisant votre commentaire ci-dessus, je me pose ces questions!
les termes sont difficiles à comprendre quand on est pas dans le domaine notariale, tant de pourcentage, usufruit etc
En vous remerciant,