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1 réponse
Vous avez parfaitement compris la logique de la commission d'intervention !
Il s'agit d'un choix pour le décideur entre payer et rejeter lorsque l'opération qui se présente se heurte à une provision insuffisante.
Le rejet est pénalisant pour le client, tant par les frais de rejet (plus élevés que ceux des commotions d'intervention), que par la suite des relations entre ce client et le donneur d'ordre (EDF, GDF, impôts, crédits etc...).
Donc, lorsque ce décideur sait qu'il y a des rentrées d'argent régulières il préfère payer.
On touche là, à la fois, l'éternelle discussion des forums quant à la prétendue « illégalité » ou illicéité de ces commissions d'intervention et l'effet pervers des facturations bancaires sur des comptes à la limite du découvert qui « plongent » véritablement suite à l'application de ces facturations.
Faut il interdire les commissions d'intervention (on n'en prend pas le chemin actuellement), puis faut-il interdire les facturations sur les comptes déjà débiteurs ou les limiter... ?
Vaste sujet pour lequel la réponse semble évidente, mais elle dépend du législateur.
Et encore faudrait-il que celui-ci soit mu par une véritable action des intervenants concernés plutôt aphasiques jusqu'ici.
Mais 2011 est une autre année !
Bonne année !
Il s'agit d'un choix pour le décideur entre payer et rejeter lorsque l'opération qui se présente se heurte à une provision insuffisante.
Le rejet est pénalisant pour le client, tant par les frais de rejet (plus élevés que ceux des commotions d'intervention), que par la suite des relations entre ce client et le donneur d'ordre (EDF, GDF, impôts, crédits etc...).
Donc, lorsque ce décideur sait qu'il y a des rentrées d'argent régulières il préfère payer.
On touche là, à la fois, l'éternelle discussion des forums quant à la prétendue « illégalité » ou illicéité de ces commissions d'intervention et l'effet pervers des facturations bancaires sur des comptes à la limite du découvert qui « plongent » véritablement suite à l'application de ces facturations.
Faut il interdire les commissions d'intervention (on n'en prend pas le chemin actuellement), puis faut-il interdire les facturations sur les comptes déjà débiteurs ou les limiter... ?
Vaste sujet pour lequel la réponse semble évidente, mais elle dépend du législateur.
Et encore faudrait-il que celui-ci soit mu par une véritable action des intervenants concernés plutôt aphasiques jusqu'ici.
Mais 2011 est une autre année !
Bonne année !