23 réponses
Bonjour Sylvie!
Non, je ne dispose pas de davantage d'informations à ce sujet: j'ai trouvé ceci en interrogeant "google" et cette recherche m'a mené sur un article traitant de la question... ici, sur ce site même!
Le mieux serait que vous consultiez un autre notaire, on est très souvent étonné de la manière dont peut varier d'un professionnel à l'autre la connaissance du droit. Pour ma part, dans un tout autre domaine (le droit des affaires), un avocat m'a dit "C'est comme ça, vous ne pourrez pas faire autrement", et un autre, en se penchant sur mon dossier, est parvenu à extirper quelques articles de loi qui m'ont permis au final de parvenir à ce que j'attendais.
Vous évoquez le fait que cet homme a révélé un tout autre visage dès lors qu'est décédée votre mère: lorsqu'il y a un décès, c'est souvent ce qui se produit, vous devez le savoir. Les antagonismes se révèlent ou s'accentuent, des gens que l'on ne soupçonnait pas se mettent à "sauter" sur le moindre objet, voire à dévaliser les lieux. Parfois, nos propres enfants!
Concernant votre propre situation, c'est à dire la priorité qui a été donnée au compagnon de votre mère, vous l'avez compris, ce sont des choix et des décisions que je ne critique pas: à mon sens, tout est compréhensible. J'ai également rencontré des personnes dont le conjoint (ou conjointe) est décédé, laissant tout aux enfants du conjoint en question. Quelle affaire cela a pu être pour le conjoint survivant, de prouver que c'était à lui qu'appartenaient certains biens. J'ai vu un homme se faire spolier de ses propres oeuvres d'art (en collection). Ecoeurant.
Cela prouve une fois de plus qu'il n'y a pas de mal à veiller de son vivant à ce que tout soit en ordre "pour après", à ce que rien ne soit laissé au hasard.
Bonne suite Sylvie, et allez voir un autre homme de loi, ou la Chmabre des Notaires à Paris, ou un avocat spécialisé dans les successions: soyez certaine de ne pas passer à côté d'une possibilité dont la méconnaissance vous remplirait de regrets!
Non, je ne dispose pas de davantage d'informations à ce sujet: j'ai trouvé ceci en interrogeant "google" et cette recherche m'a mené sur un article traitant de la question... ici, sur ce site même!
Le mieux serait que vous consultiez un autre notaire, on est très souvent étonné de la manière dont peut varier d'un professionnel à l'autre la connaissance du droit. Pour ma part, dans un tout autre domaine (le droit des affaires), un avocat m'a dit "C'est comme ça, vous ne pourrez pas faire autrement", et un autre, en se penchant sur mon dossier, est parvenu à extirper quelques articles de loi qui m'ont permis au final de parvenir à ce que j'attendais.
Vous évoquez le fait que cet homme a révélé un tout autre visage dès lors qu'est décédée votre mère: lorsqu'il y a un décès, c'est souvent ce qui se produit, vous devez le savoir. Les antagonismes se révèlent ou s'accentuent, des gens que l'on ne soupçonnait pas se mettent à "sauter" sur le moindre objet, voire à dévaliser les lieux. Parfois, nos propres enfants!
Concernant votre propre situation, c'est à dire la priorité qui a été donnée au compagnon de votre mère, vous l'avez compris, ce sont des choix et des décisions que je ne critique pas: à mon sens, tout est compréhensible. J'ai également rencontré des personnes dont le conjoint (ou conjointe) est décédé, laissant tout aux enfants du conjoint en question. Quelle affaire cela a pu être pour le conjoint survivant, de prouver que c'était à lui qu'appartenaient certains biens. J'ai vu un homme se faire spolier de ses propres oeuvres d'art (en collection). Ecoeurant.
Cela prouve une fois de plus qu'il n'y a pas de mal à veiller de son vivant à ce que tout soit en ordre "pour après", à ce que rien ne soit laissé au hasard.
Bonne suite Sylvie, et allez voir un autre homme de loi, ou la Chmabre des Notaires à Paris, ou un avocat spécialisé dans les successions: soyez certaine de ne pas passer à côté d'une possibilité dont la méconnaissance vous remplirait de regrets!