2 réponses
Il est certain que le Crédit Social des Fonctionnaires (CSF) a eu une attitude très critiquable dans son rôle d'intermédiaire avec le CFF.
Dans l'affaires des prêts à taux variable du CFF qui a beaucoup agité il y a peu de temps il est inconcevable que cet organisme ne se soit pas rendu compte en lisant les contrats que ces prêts étaient faussement capés. Cela pour des professionnels devait sauter aux yeux.
Lorsqu'on lit ce qui était écrit dans ces contrats :
"Le taux maximum servant au calcul des échéances est de ....%.CE TAUX EST DISTINCT DU TAUX DE CALCUL DES INTÉRÊTS ".
et lorsqu’on indique - après avoir lu ceci - au futur emprunteur que le prêt est un prêt à taux capé ou l’on est incompétent ou l’on est complice ! Je vous laisse choisir !
Cela a conduit à l’ « amortissement négatif » : le capital restant dû sur le prêt augmentant à l’issue de chaque échéance !
Avec des taux qui ont approché les 7 % (et peut être dépassé mais… ma mémoire !)
Cela s’est poursuivi : lorsque plus tard le CFF demandait aux emprunteurs totalement, en contradiction avec ses contrats, une somme de 650 € pour la transformation à taux fixe, le CSF pour ne surtout pas s’opposer au CFF prenait en charge ces 650 € qui n’étaient pas dus en les remboursant aux emprunteurs. Alors qu’il convenait de s’y opposer. Cela aurait été une preuve d’honnêteté de la part de cet organisme.
Le CSF aurait pu arriver à ce que nous sommes quelques uns à avoir fait : contester ces frais et les éviter aux emprunteurs déjà suffisamment lésés.
On en revient à : complices ou incompétents ?
Dans l'affaires des prêts à taux variable du CFF qui a beaucoup agité il y a peu de temps il est inconcevable que cet organisme ne se soit pas rendu compte en lisant les contrats que ces prêts étaient faussement capés. Cela pour des professionnels devait sauter aux yeux.
Lorsqu'on lit ce qui était écrit dans ces contrats :
"Le taux maximum servant au calcul des échéances est de ....%.CE TAUX EST DISTINCT DU TAUX DE CALCUL DES INTÉRÊTS ".
et lorsqu’on indique - après avoir lu ceci - au futur emprunteur que le prêt est un prêt à taux capé ou l’on est incompétent ou l’on est complice ! Je vous laisse choisir !
Cela a conduit à l’ « amortissement négatif » : le capital restant dû sur le prêt augmentant à l’issue de chaque échéance !
Avec des taux qui ont approché les 7 % (et peut être dépassé mais… ma mémoire !)
Cela s’est poursuivi : lorsque plus tard le CFF demandait aux emprunteurs totalement, en contradiction avec ses contrats, une somme de 650 € pour la transformation à taux fixe, le CSF pour ne surtout pas s’opposer au CFF prenait en charge ces 650 € qui n’étaient pas dus en les remboursant aux emprunteurs. Alors qu’il convenait de s’y opposer. Cela aurait été une preuve d’honnêteté de la part de cet organisme.
Le CSF aurait pu arriver à ce que nous sommes quelques uns à avoir fait : contester ces frais et les éviter aux emprunteurs déjà suffisamment lésés.
On en revient à : complices ou incompétents ?