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Il ne faut pas confondre la préemption urbaine et la préemption en zone rurale.
Vous parlez de terrains agricoles qui sont en locations et d'un bâtiment vide car non loués.
Mais si ce bâtiment ne peut pas être séparé de la propriété au motif que le tout forme un ensemble, l'agriculteur, qui exploite les terres, a une priorité en cas de vente.
S'il ne veut pas (ou ne peut pas) l'exercer son droit, la SAFER peut effectivement se substituer à lui et intervenir en faisant jouer son droit de préemption.
C'est la règlementation actuelle et le notaire le sait parfaitement.
J'ajoute que, malheureusement, les "voeux" du propriétaires dans ce cas sont sans aucune importance.
Cordialement
Vous parlez de terrains agricoles qui sont en locations et d'un bâtiment vide car non loués.
Mais si ce bâtiment ne peut pas être séparé de la propriété au motif que le tout forme un ensemble, l'agriculteur, qui exploite les terres, a une priorité en cas de vente.
S'il ne veut pas (ou ne peut pas) l'exercer son droit, la SAFER peut effectivement se substituer à lui et intervenir en faisant jouer son droit de préemption.
C'est la règlementation actuelle et le notaire le sait parfaitement.
J'ajoute que, malheureusement, les "voeux" du propriétaires dans ce cas sont sans aucune importance.
Cordialement