Prise de bénéfice : demane de conseils

loup33 - 11 déc. 2009 à 11:25
 Germain - 11 déc. 2009 à 15:19
Bonjour,
Une question d'un novice en bourse.
Quelle stratégie faut-il adopter quand on a la chance de pouvoir prendre ses bénéfices? Je m'explique...
Si je gagen 1000 euros sur une valeur, faut-il vendre ses titres à concurrence de 1000 euros (pour les mettre de coté ou les réinvestir???
ou faut il vendre à concurrence de l'investisement inital (et donc récupérer ses billes de départ) et laisser en action la valeur du benef réalisé...
merci pour vos lumières

3 réponses

merci pour ces précisions
Toujours ds le même ordre d'iées, faut-il vendre dés qu'on atteind par exemple + 20% sur une action (sachant que certes elle peut prendre 50% mais aussi s'effondrer qqs jours plus tard) ou alors faire au feeling sans se mettre de barrière à la hausse ou à la baisse d'ailleurs...
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Mon point de vue (mais c'est le mien et ce n'est sûrement pas la panacée) c'est de se fixer un seuil de plus-value. Par ex 20%.
Autrement dit, j'achète une valeur, dès qu'elle a pris 20% je vends et je réinvestis ailleurs, tant pis si elle monte encore après la vente.
Si une valeur prend 15% et qu'elle n'en décolle plus, je vends tant pis pour les 5% restants que je m'étais fixés.
Si elle baisse, je rachète pour faire un prix moyen.
Evitez les extrêmes et n'oubliez pas (autre proverbe boursier) "on n'achète jamais au plus bas et on ne vend jamais au plus haut".
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Vous aurez autant de réponses que d'investisseurs.
1- Si vous faites une plus value de 1000€ et que vous estimez que la valeur est au plus haut, vendez à hauteur de la plus value pour investir sur une autre valeur à potentiel ou sécurisez-là sur des sicav monétaires. Conservez le solde des actions comme fonds de portefeuille.

2- Autre possibilité, vendre la totalité pour réinvestir ailleurs quitte à y revenir à un autre moment.

3- Si vous estimez que la valeur a encore la possibilité de grimper, conservez tous vos titres mais attention, comme dit le proverbe boursier "les arbres ne montent pas jusqu'au ciel !". On se retrouve dans le cas 1.

Voyez, tout est affaire de "feeling" et d'informations fiancières précises sur la valeur.
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