Autorité parentale

je vais t'expliquer la situation telle qu'elle est sans vouloir avoir tort ou raison, la veritée simple : j'ai connu mon ex mari à 16ans et lui 21 on c'est mis 1ans 1/2 aprés en ménage, il m'a fait entrée dans une supérette ou il travaillé, on a vécus 2ans en amoureux, puis j'ai fauté, je l'ai trompé mais le lui est avoué dessuite, bien entendu il est parti, cela à durer 1mois, (le temps que je prenne un appart) puis il est revenu avec ses conditions qui étaient tu arrêtes de travaillée on fait un bébé on se marie, ce jour là j'ai été la plus heureuse des femmes !!! aussitôt dis aussitôt fait le mois d'après à 20ans j'attendais clément, on a demenagé et quand clément à eu 13mois on a décider pour les avoir rapprochés
, nous etions heureux, on avait une jolie maison nos fils étaient des amours, j'avais pris un congés parental pour m'occuper d'eux et de la maison, j'aimais ma vie j'aimais mon marie meme si les loisirs en famille n'étaient pas son dada lol lui c'est plutot potes apéros et surtout bouvine vu que nous sommes du sud et puis le 13 sept 2000 j'ai été seule pour l'annonce du diagnostique car il travaillait et nos vies se sont effondrées !!
lui sa reaction à été la fuite moi je suis tombé en profonde depression, j'ai essayé de m'en sortir, quelques mois avant que l'on se separe j'ai meme était 1 mois en maison de repos je sais que pour lui c'étais devenu trop dur et je lui est proposé le divorce qu'il a accepté avec soulagement. nos rapports pendants des années aprés notre divorce ont été trés bons, moi en 10ans j'ai vécu avec 2 hommes le 1er 1ans aprés et mon mari 7ans aprés, je ne cherchais pas de papa pour mes enfants, pendant ces 8ans j'ai valoriser vanter leur père pour qu'ils se conaissent. quand le jugement à été prononcé c'etaius le divorce basic mais il les prennaient quand ils voulaient malheureusement il ne l'a que rarement fait ( nous habitons à 2kms), et là tu vois aujourd'hui je suis épuisée, épuisée de voir mes fils souffrir, épuisée de voir mon enfant mourir à petit feu sous mes yeux, epuisé de me prendre la tête avec mon mari qui pétent les plombs car le père ne bouge pas. mon fils malade fait 80kgs et mon mari est à bout de force, mais forcement le papa pendant ces 10ans n'apas juger bon d'ivestir dans des travaux pour continuer a pouvoir recevoir son fils en + en payant pas de loyer vu que c'est la maison de son père, non lui il c'est payer 2 chevaux, 1 van, 1 mariage de luxe et à pondu un 3eme spermatozoide, alors oui jsuis en colère trés en colère, même si j'ai des torts et j'en ai certainement, mais si ils considerent ses fils comme des batards il faudra qu'il me dedomage car j'en suis tjr à 200e de pensions depuis 10ans. voilà la gentille niaise de service est morte maintenant j'ai plus rien à perdre.
ma seule inquietude c'est si je pars avant mon fils qui va s'en occuper??

en réponse à "ta question" leur père (géniteur) à pris la tengeante 6 mois aprés l'annonce de la maladie de son fils.

Bonjour,
Pourquoipas (13) ,


Un handicap est déjà si difficile ensemble à assumer vis à vis des autres ! Dans une grande majorité d'entre nous, malheureusement, subsiste l'ignorance et la " tare " ! Dans un village, avec tout ce qui se raconte, un papa qui assume son D.V.H. jusqu'au moment où le handicap devient trop " visible ", où les regards " parlent " si on ne les fait pas taire, sans aucun doute, cela doit être éprouvant, donc il est plus facile d'abandonner et de prétendre que la " tare" présumée ne vient pas de soi-même, mais de la mère ... puisqu'on a d'autre part aussi un enfant qui va bien!

Mais si l'on est un papa, on continue, régulièrement, à voir l'un de ses enfants, même gravement malade, cela va être difficile, cela n'est génétiquement qu'un " accident ", dira-t-on, puisque c'est ainsi que la génétique nomme les "maladies rares" ... On ne le relègue pas aux objets trouvés dès que la maladie devient " visible " pour les autres ?

Ou on assume, ou on "renie" ... C'est une façon de s'arranger avec la douleur, pas avec sa conscience !


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                             §  même au plus bas, on devrait bien y arriver §