Enfant places abusivement

on veut porter plainte mais on ne veut pas que ca joue sur nos enfants ou sur mon mari cari il a du sursis de plus moi aussi j ai un cancer mais ils en tiienne pas compte

on ne lachera jamais on se battra toujours pour eux mais c dur de les voir malheureux au jour d aujourdh hui depuis la separation merci pour le message

Moi je m'appelle angelique et mes 3aines on etait placer alors qu'ils n'ont jamais subit de coup ni de maltraitences .au debut c'etait pour 1ans et provisoir avec retour a la maison.et comme par hasard 2semaine avant le retour a la maison les services sociaux on decider de renouveler le placement car les enfants aurais raconter des choses graves.pendant les 1ans du placement il n y avait rien et la comme par magie y a des problem.je ne sait plus ou mettre de la tete et vers qui me tourner pour demander de l'aide pour areter ce cercle visieux.mes bb ne savent meme plus avec qui ils veulent rester (la nounous ou leurs parents).ils me manque chaque jours que Dieu fait.

Angyla.
Je voulais aussi rajouter que mes enfants sont encore tout jeunes mon avant derniere n'avait que 2 ans quand il me l'on pris.je me repete encore mais mes enfants n'ont pas subit de violences je suis juste tomber dans une grave fatigue apres tout le mal les insulte que mon pere et ma soeur nous ont fait subir.aujourd'hui c'est nous qui payons sens compter que mon fils a la maladie coeliaque(alergie au gluten).enfin je sait que je ne suis pas la seule a vivre sa mais vraiment faut arriver a vivre avec.mais je crois que les gens des services sociaux eux ne supporterais pas ce que nous on vie si sa leurs arriver.

pouvrz vous me renseigner sur les demarches a faire afin d etre aide merci

Quest ce qui ce passe vous n avez plus de site ?

http://lienparentsenfantsefcaputeaux.blog4ever.com/blog/lire-article-455989-9788297-placement_d_un_enfant_sur_decision_judiciaire.html

bonjour à toutes et tous! merçi pour l'adresse, je les contact des que possible!car moi aussi je suis victime d'un signalement abusif, qui a ce jour à déclancher une expertise psychiatrique de mon petit garçon agé de 4ans et demi.ce dernier est atteint d'une terrible maladie génétique orpheline, depuis sa naissance les soins de plus de 3 à 4 heures pars jours sont fait par une hospitalisations à domicile . ces derniers au fil du temps ce sont ingérer dans ma vie priver, rentrant dans la maison en oubliant de sonner, ne respectant plus nptre intimité.j'ai commis semble t'il l'erreur d'intervenir quand les panssements etaient mal fait, ou qu'ils laisser mon enfant seul dans le bain sans surveillance, il n'as plus de doigs c'est mains sont ce qu'on appel en forme de chauson, donc il pouvait glisser à n'importe qel moment sans pouvoir se rattrapper.ils etait puni dans sa chambre par les soignant lorsqu'il crier, car il est comme un grand bruler, il souffre, et apppréhende les soins! j'ai donc etait considerer comme une mamam qui intervener de maniere intempestive et que mes désacort avec les cadres de l'hopital à domicile pouvez mettre en danger psychologique mon fils.j'ai signaler à l'ase que cette prise en charge devenait trop compliquer pour toute notre famille! c'est légitime et j'en ai le droit! je souhaiter en centre médicaliser ou mon fils aller de temps en temps en hospitalisation de répit! et bien, c'est moi la vilaine maman, aucun droit d'expréssion, recut une seule fois à la mdsi qui me fait des sourires par devant ect...maintenant l'école, le médecin, traitant, l'hopital parisien qui suit mon fils , tout le monde est au courant, et l'on me laisse entendre que si je ne me tait as un placement provisoire pourras etre envisager!et la confiance n'est plus et je suis denigrer! je présice que j'ai 8 enfants 4 majeurs, l'ainnée est juriste, elle as 26 ans.tient je devrait faire valider mes 26 années d'experiences peut etre' serais je plus respectable! en attendant j'ai prit un avocat, et j'ai en projet d'allerter la presse ou point ou j'en suis !alors parents injustement callomnier et maltraiter par ces instances toutes puissantes , rassemblont nous si vous le souhaiter! contacter moi, l'union fait la force! à bientot!
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Bonjour,
J'ai subit durant des années des violences de la part du père de mes enfants, j'ai déposé des mains courrantes, des plaintes, séparés il a continué à nous persécuter, nous sommes passés devant le procureur mais ce fut classé sans suite...
J'ai demandé le placement en urgence d'un de mes enfants suite aux violences physiques que son père lui infligeait moi je me trouvai régulièrement hospitaliser en soin intensif pour des problèmes cardiaque (ce dernier ayant voulu vivre avec lui et dans l'attente d'un jugement de séparation je n'ai pu m'y opposer), il est vrai que cet enfant était un enfant difficil mais ce n'est pas en lui tapant la tête contre le radiateur et en lui mettant des coups de poing qu'il allait s'assagir j'ai donc emmené mon fils entre deux hospitalisations auprès des assistantes sociales qui l'ont placés très rapidement en SAU. Je l'ai récupéré 6 mois après son placement. (J'ai du subir un triple pontage à 38 ans après plusieurs infarctus)
Par la suite leur père s'est calmé plus de violences physiques mais verbales jamais prises en compte par les éducateurs de l'AMEO.
Le temps passant et ne pouvant plus avoir d'activité professionnelle (licenciement pour inaptitude) et en fin de droit aux assedics j'ai demandé au père la pension alimentaire due pour mes enfants, devant son refus j'ai fait intervenir un huissier pour en obtenir son versement. Cette action le mit hors de lui, les éducateurs avertis de sa violence me demandèrent de lui confier tout de même mes enfants lors des week-ends. Malheureusement cela eu un effet désastreux sur mon dernier, il est devenu dépressif et a voulu intenter à ses jours (il avait préparer une corde afin de se pendre au 2ème étage de la batisse ou nous vivions), en très étroite collaboration avec la psychologue je l'ai intersepté dès son arrivée à la maison et fait hospitaliser. Mon fils a fait part de sa peur vis à vis de la violence de son père, à l'hopital son père n'avait pas le droit de lui rendre visite, j'ai du abandonné mon domicile qui se trouvait dans la même ville que celui du père afin de protèger mon fils et les autres.
Les services sociaux et service de police tous au courant de tout cela n'ont rien fait contre le père.
Jamais une visite sur le lieu où ce dernier recevait les enfants n'a été effectué par les éducateurs, monsieur ne voulant pas les recevoir à cet endroit (camping) monsieur recevait les éducateurs à son appartement là ou les enfants avaient une chambre mais il ne prenait jamais les enfants à son domicile, les éducateurs toujours au courant.
Lors du premier jugement survenant après l'admission de mon fils à l'hopital, le juge aux enfants m'a simplement dit suite aux dires de l'éducatrice : que mon fils était déscolarisé dur de faire suivre une scolarité normale à un enfant sous traitement et en pleine dépression, il est vrai qu'après un mois d'arrêt il manquait l'école le matin bien souvent ( enfant sous théralène), qu'il était trop fusionnel avec moi et donc une décision de placement fut prise, lors du deuxième jugement changement de juge (je dépendais du juge de résidence de leur père et pas du mien et l'ASE ayant remplacé l'AMEO idem dépend lieu de résidence du père?)
Le nouveau juge me reproche de ne pas avoir de domicile, je lui signale vouloir quitter la région parisienne afin de mettre de la distance et ainsi mettre mes enfants à l'abri et demande à ce que mon fils soit transéferer vers un foyer près du lieu ou je partais. Tout ce que j'ai obtenu c'est le maintien de mon fils sur son foyer dans les Yvelines alors que moi je me trouve en province dans le maine et loire, depuis l'état de mon fils s'est de nouveau dégradé, de plus, plus d'investissement scolaire plus rien, J'ai enfin un logement répondant aux conditions demandées une chambre pour mon petit dernier, une autre pour mon autre fils et moi et ma fille dans la salle, les deux garçons n'ayant pas être dans la même chambre? cela à leur demande. Depuis la situation ne va pas en s'arrangeant pour mon fils et mardi dernier on vient de lui annoncer pas de retour à mon domicile de prévu car il faut saisir le juge (cela demande un certain temps) et une enquête sociale est à effectuée, contrairement à ce qui nous avait été dit, le foyer face à tout cela à tout de même demander un rapprochement physique (dans un foyer en maine et loire) pour les vacances de février auprès des intervenants ASE cependant depuis mardi mon fils ne mange pratiquement plus, et dors le plus possible....
Je vois mon fils dépérir, il veut revenir auprès de moi, je ne sais quoi faire, ni quoi lui dire si ce n'est que je fais mon possible pour le récupérer que je ne le laisse pas tomber, le foyer me dit qu'il fait de nouveau une depression....
Ce placement est pour moi, mais aussi pour ceux qui m'entourent ou me connaissent considérer comme abusif, il y a plusieurs erreurs sur mon dossier mes adresses ne sont enregistrées comme je le signale ('après avoir quitté mon domicile je suis partie chez ma mère puis ensuite chez une amie en maine et loire (2 mois) le temps de me trouver un logement, le père qui ne se présente pas aux rendez vous (sauf un dernièrement) ni au jugement, il a un droit de visite et d'hébergement de maintenu mais pour l'instant ne l'exerce pas (je ne comprends pas il a déjà mis un revolver sur la tempe du frère ainé, les services sociaux attendent quoi qu'il me tue le dernier?, il a conduit mon fils à la dépression mais que font les services sociaux ?)
Je ne comprends plus c'est le père qui est violent j'ai osé en parler, le signaler et je me retrouve avec mon dernier de placé une fois la guerre passée?
J'aimerai que l'on me dise comment faire pour récuperer mon fils?

se nes pas pas facile ;je croix que les service socioaux se foute de tous et ne son jamais a l'écoute des gent et qu'an il y a un problème personne ; nous on na rien ase reprocher

je pense quil ya abus de pouvoirecar mon mari s est emporter avec eu mais sans les agresser ce sont eux qui ont dit avoir ete agresser sauf que si il avez ecouter mon mari mon fils aurai pus s en sortir car aujourd hui mon fils n a plus que 40 pour cent de s en sortir il on avouer avoir fait une erreure sauf que je leur pardonnerai pas et je veux qh il soit comdamner