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2 réponses
Merci tarasouris de votre réponse rapide .
J'ai déjà appelé le 119 mais impossible de les avoir .
Donc , si j'ai bien compris ; après le " signalement" une enquête est menée . Sous quelle forme ? cela se passe t'il comme une enquête sociale ? Quelles solutions les services proposent-ils ? . Merci de me répondre .
J'ai déjà appelé le 119 mais impossible de les avoir .
Donc , si j'ai bien compris ; après le " signalement" une enquête est menée . Sous quelle forme ? cela se passe t'il comme une enquête sociale ? Quelles solutions les services proposent-ils ? . Merci de me répondre .
tarasouris
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7 oct. 2008 à 12:49
7 oct. 2008 à 12:49
Bonjour ,
Consultez des sites "Enfance maltraitée", vous y aurez tout une description des démarches, signalement, etc ...
J'aimerais vous conseiller de passer d'abord par les n° verts disponibles, le 119, notamment, ou 0800 05 10 13 , ou celui que vous trouverez près de chez vous .
En effet, il n'est pas anodin de procéder à ce genre de signalement, même si, en conscience et en citoyenneté, nous nous devons de le faire ...
Toutefois, il faut avoir été témoin, disposer d'un certain nombre de présomptions et de témoins suffisants . Ces n° verts vous seront utiles pour vous donner toutes les conditions qu'il vaut mieux observer .
Car souvent l'enfant maltraité se tait, se rétracte, plus personne ne veut finalement "témoigner", c'est un lourd et difficile sujet, alors que l' A.S.E. mènerait une enquête approfondie, sans pour autant condamner la famille en question, et chercherait une solution .
On nous dit : au moindre doute, vous devez signaler, mais à la moindre contestation, cela peut se retourner contre nous; pour avoir été témoin, et pas seule, de la maltraitance d'un pauvre bouc-émissaire, cela s'est terminé, alors que je sais encore aujourd'hui que le gamin est toujours victime, par un courrier du Conseil Général me demandant de ne pas faire de signalement "abusif", quelque chose du genre !
-------------------------------------------------------------------------
.... 3 zygomatiques suffisent pour sourire ....
§ même au plus bas, on devrait bien y arriver §
Consultez des sites "Enfance maltraitée", vous y aurez tout une description des démarches, signalement, etc ...
J'aimerais vous conseiller de passer d'abord par les n° verts disponibles, le 119, notamment, ou 0800 05 10 13 , ou celui que vous trouverez près de chez vous .
En effet, il n'est pas anodin de procéder à ce genre de signalement, même si, en conscience et en citoyenneté, nous nous devons de le faire ...
Toutefois, il faut avoir été témoin, disposer d'un certain nombre de présomptions et de témoins suffisants . Ces n° verts vous seront utiles pour vous donner toutes les conditions qu'il vaut mieux observer .
Car souvent l'enfant maltraité se tait, se rétracte, plus personne ne veut finalement "témoigner", c'est un lourd et difficile sujet, alors que l' A.S.E. mènerait une enquête approfondie, sans pour autant condamner la famille en question, et chercherait une solution .
On nous dit : au moindre doute, vous devez signaler, mais à la moindre contestation, cela peut se retourner contre nous; pour avoir été témoin, et pas seule, de la maltraitance d'un pauvre bouc-émissaire, cela s'est terminé, alors que je sais encore aujourd'hui que le gamin est toujours victime, par un courrier du Conseil Général me demandant de ne pas faire de signalement "abusif", quelque chose du genre !
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§ même au plus bas, on devrait bien y arriver §
8 oct. 2008 à 09:58
gahacla ,
Vous avez posé une question " générale ", j'ai essayé d'y répondre de manière " générale " ...
Mais j'ai gardé pour moi (enfin, j'en ai parlé hier soir, figurez-vous, car l'une de mes filles se destine à l'Education Spécialisée et s'intéresse à tous les cas de figure dans ce domaine, et j'étais bien démoralisée) le fait que l'un de vos enfants est autiste, que l'on ne manie pas ces enfants en les brutalisant, c'est scandaleux! en modifiant brutalement leur milieu de vie, etc ... Leur état est "évolutif", c' est à dire qu'ils peuvent faire de nets progrès, pris en charge par des parents et une équipe éducative appropriée .
Et la situation, (que je n'ai pas relue depuis le début, je m'en excuse), de cet enfant "particulier", livré à l'incompréhension et l'énervement, m'apparaît épouvantable !
Si, en tant que maman, vous signalez votre propre enfant lorsqu'il est chez son père, alors qu'une garde alternée a été mise en place, ce qui, avec un autiste, paraît déjà incompréhensible, vous courez au rejet pur et simple . Entourez vous des conseils et soutiens d'une association de parents autistes, si ce n'est pas déjà fait .
Sinon, et sans réaction, bien que ces associations soient très actives, notez les n° de proximité de l'Enfance maltraitée, chez votre médecin, dans de nombreux endroits . Posez leur la question avant de lancer un signalement, afin qu'il ne vous desserve pas ... Il est de votre devoir de protéger cet enfant (et l'autre qui subit lui aussi) car maltraiter un enfant " différent" est inhumain .
Si votre témoignage était pris en compte, ce serait principalement par rapport à l'autisme, afin de ne pas mélanger rancoeurs parentales et danger couru par l'enfant . Une enquête sociale de l' A.S.E. serait diligentée, après décision du juge des Enfants . C'est là où le soutien d'une association de parents vous serait bien utile .
Courage, bonne journée ,
9 oct. 2008 à 09:56
Nous ne savons plus quoi faire pour préserver ce petit .Nous avons pourtant bien insisté sur ce point au tribunal ; mais les JAF ne sont pas du tout formés .
Encore merci et bonne journée .
9 oct. 2008 à 12:53
Ce pour quoi je vous conseillais de vous faire soutenir par une Association de parents d'autistes, ils font beaucoup pour l'intégration de leurs enfants, dans les écoles, dans la vie quotidienne, leur prise en charge, le soutien aux parents ...
Bonne journée , à +
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§ même au plus bas, on devrait bien y arriver §
9 oct. 2008 à 23:42
Mon fils n'a cessé de progresser depuis toutes ces années et j'ai même longtemps été félicitée ; maintenant , tous les professionnels me tournent le dos .
Demain , mon fils a 8 ans .
Avec un suivi précoce dès 2 ans ( le père refusait la prise en charge et nie encore l'existence du handicap de son fils ) ; il a pu intégrer l'école " normale " avec une AVS et des horaires aménagés ; il est aussi dans sa classe normale ... mais il a fallu beaucoup se battre ( surtout avec l'hôpital et le regard des autres parents , que j'ai du rassurer plusieurs fois en réunion ) ; surtout au quotidien ; entre crises ( 6 à 8 par jour au début , apnées , enfants qui se " pame " à s'en faire vomir , se jeter dans les murs , refus de toute forme d'autorité , confusion des genres , cris , hurlements ...) montée d'angoisses , retour aux gestes autistiques ( 4 pattes , le regard vide , plus aucune réaction à l'environnement , parler sans cesse des appareils ménagers , des lumières , des ronds points , des " tic - tac" , bégaiements ... ) .
Malheureusement , les troubles ont repris de plus belle , montée extrême de la violence jusqu'à poursuivre un enfant dans la rue , violence verbale ( insultes ) , volonté de se " couper le cerveau car tout cela est " à cause de ma tête " ; parle de dieu , du diable , m'appelle au secours .
J'ai envoyé un courrier à son pédopsy ... aucune nouvelle depuis 10 jours . Il faut dire qu'il a soutenu le père dans un certificat médical ( interdit dans le code de déontologie ) : si l'enfant ne voit plus son père ; il régressera ... aujourd'hui, il le voit une semaine sur 2 ... et c'est la cata ... .
Aller demander l'avis d'un autre spécialiste ? Comment sans l'accord du père ?
Mon second est d'un triste et veut absolument parler au juge ( 6 ans ) ; il ne cesse de se renfermer , lui si gai et volontaire pour tout , quelquechose s'est cassé .Mais il faut " prouver" car les craintes d'une mère ne suffisent pas ... et c'est dur car personne ne veut se mouiller ... quel intérêt y trouver ?
Merci encore pour vos conseils avisés .