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7 réponses
31 août 2024 à 13:56
Même avec peu de moyens, essayez de voir un avocat. Peut-être existe-t-il des consultations gratuites accessibles près de chez vous ? Vous pourriez également tenter de passer par une assistante sociale. Il est important que votre point de vue soit entendu. Peut-être que l'issue ne changera pas mais vous aurez "tout" essayé.
30 août 2024 à 18:51
Bonjour,
Vous pourriez déjà attendre le jugement, non ?
Avez-vous demandé la résidence alternée ou principale ? Si oui pourquoi a-t-elle été refusée ?
Bonjour.
Renseignez vous auprès de la maison de Justice et du droit qui propose des consultations gratuites..
Modifié le 31 août 2024 à 20:26
Bonjour
Les hauts revenus de votre ex n'empêchent pas que vous soyez l'obligé alimentaire de vos enfants, par rapport à vos revenus, et par rapport à la façon dont vous prenez vos enfants : vous dites n'avoir qu'un droit de visite ?
Pourriez vous préciser la façon dont vous prenez vos enfants ?
D'après le barème , qui ne serait être influencé par le sexe de la juge ou la fonction de votre femme , la pension pour deux enfants en garde classique est de 360e, en garde réduite ( = moins qu'une garde classique) de 480e
A 2200e par mois, vous n'êtes pas dans le besoin , vos charges doivent s'adapter, et la charge que vous avez en priorité c'est celle de participer à l'entretien et à l'éducation de vos enfants .
Par de là, vous avez choisi de ne pas prendre d'avocat ( qu'on peut payer en plusieurs fois )
Enfin si les parents doivent participer aux besoins de leurs enfants selon leur capacité financière, il est nullement dit que les parents doivent vendre leur patrimoine si ils en ont ; c'est pareil quand on demandera à vos enfants de participer à votre maison de retraite .
J'ai du mal à comprendre le débat sur le fait que les femmes auraient plus de droit : sauf erreur de ma part, le père ne se plaint QUE de devoir payer, pas de la façon dont il prend les enfants , non ?? Enfin comme le fait remarquer Gayomi, c'est une débat biaisé, car pour avoir, il faut demander ... Bizarrement ils sont pas nombreux les pères à demander la résidence habituelle au premier jugement.
Modifié le 1 sept. 2024 à 13:11
Et encore une opinion, comme si cela résolvait son affaire !
La pension alimentaire ne se calcule pas sur le revenu, mais le magistrat doit prendre en compte, les dépenses de la personne pour se loger, ainsi que les crédits à sa charge, votre interprétation est donc fallacieuse.
Pareil que l’autre intervenant, vous êtes rendu expert en psychiatrie sans avoir vu ce que Arthur avait écrit. Il aura fallu que j’attire votre attention.
Le suicide n’est pas une maladie psychiatrique ; en France et en Europe, ce n'est pas une pathologie, une maladie.
Sans compter que c'est à lui que vous devez vous adresser, pas à moi !
.
1 sept. 2024 à 13:24
La pension alimentaire ne se calcule pas sur le revenu
Et pourtant si, il existe un barème et le point de départ c'est le revenu du parent.
1 sept. 2024 à 14:19
Comme vous l'avez souligné , on n'est pas là pour faire de la psychiatrie .
Donc j'arrêterai là en ce qui concerne vos interventions qui ne nuisent qu'aux personnes qui ont besoin d'aide juridique , et des réponses fiables basées sur le droit .
Le but n'est donc pas de galvaniser leur colère ou leur détresse en leur faisant croire qu'elles sont victimes d'un complot .
La pension alimentaire de 400e est une moyenne basse pour deux enfants si on les prend en garde classique avec des revenus de 2200 .
Modifié le 1 sept. 2024 à 14:44
Ben non !
Le barème ne s’applique qu’après déduction !
Vous avez affirmé que, je cite, la pension alimentaire ne se calcule pas sur le revenu.
la formule du barème c'est Revenu - le minimum vital (proche du RSA donc pas d'histoire de crédit, etc) pour déterminer un revenu après déduction et de ce revenu est déterminé selon le nombre d'enfant et le mode de garde le montant de la pension. Votre affirmation était donc fausse. les revenus sont bien évidemment la valeur de base pour établir une pension même si évidemment d'autres paramètres comme des charges du parent peuvent rentrer en considération. mais vous semblez ne jamais vouloir tort et insister
Modifié le 1 sept. 2024 à 18:46
Vous vous ridiculisez, on va en rester là concernant ce point. chacun se fera une opinion en regardant les 3 premières colonnes du bareme et la variable qui distingue chaque ligne...
Vous n’avez pas trouvé la réponse que vous recherchez ?
Posez votre question31 août 2024 à 22:23
Attendez le jugement avant de hurler au vaste complot des femmes contre les malheureux pères.
De nombreux parents n'ont pas les moyens d'emmener leurs enfants en vacances (surtout des femmes, d'ailleurs, qui ont en moyenne moins de revenus que les hommes, qui ont plus souvent la résidence principale ce qui signifie assumer charge quotidienne des enfants et la majorité de la charge financière). Certains ne peuvent même pas leur payer une chambre.
Eh bien ils arrivent quand même à être de bons parents.
Vous gagnez plus de 2200 euros par mois, si vous n'arrivez pas à épargner il faudrait sans doute voir une association pour vous faire aider à gérer votre budget car en effet il risque d'être dur de sortir une pension.
Mais si vous avez argumenté votre demande de résidence alternée, notamment en prouvant votre implication auprès des enfants (rendez-vous scolaires, médicaux, trajets pour leurs activités extrascolaires...) la juge va probablement accorder votre demande. C'est le régime favorisé par la loi.
« il faudrait sans doute voir une association »
Ses charges sont de 1200€/mois, donc loyer ou remboursement d’un prêt immobilier, assurances, eaux, électricité, transport, impôts.
2250€/mois – 1200€/mois = 1050€/mois.
Moins une pension alimentaire.
Pour l’heure, cette personne semble savoir gérer son budget. Précisons qu'en réalité, cette personne parle de suicide.
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1 sept. 2024 à 09:55
Cette personne dit aussi qu'elle n'a aucune épargne, alors qu'une fois ses charges payées il lui reste plus de 1000 euros par mois pour vivre. Si ce n'est pas une exagération, il va être effectivement difficile de rajouter une pension si cette personne dépense déjà chaque mois la totalité de son salaire.
Et si cette personne est suicidaire, il est bien évident qu'on ne peut pas lui confier des enfants (même pour un DVH). C'est totalement rédhibitoire pour le JAF.
Modifié le 1 sept. 2024 à 13:12
Le journaliste français Schneiderman Daniel parle de tout-ologue, une opinion sur tout, tout le temps.
Qu’en savez-vous qu’il est suicidaire ?
Qu’il prend des risques en faisant des sauts en parachute ?
Hé bé oui, être suicidaire, c’est cette définition, c’est quelqu’un qui prend des risques inconsidérés.
Vous n’aviez même pas remarqué qu’il disait vouloir se foutre en l’air et maintenant vous êtes expert.
Ah au fait, vous ne l'avez peut-être point remarqué, mais c'est avec Arthur que vous devez dialoguer, pas avec moi.
1 sept. 2024 à 15:49
Je ne sais pas si Arthur parle d'envie de suicide avec sincérité (auquel cas il doit voir un médecin) ou si c'est un moyen de dramatiser la situation. Mais dans le premier cas il est inapte à s'occuper d'enfants tant qu'il ne sera pas soigné.
Je n'ai pas de compétences particulières en médecine. Je lui ai conseillé de voir une association pour se faire aider à gérer son budget parce qu'avec 2050 euros de revenus il n'a pas d'épargne et "aucun matelas de sécurité". Gérer son budget de manière plus optimale lui enlèvera sans doute une dose d'angoisse.
Bonjour,
La justice en France n’a pas à être équitable, car ça, c’est du droit anglo-saxon : Equity ; qui par ailleurs relève bien plus du sentiment ou du ressentiment.
La justice en France doit poser le principe de l’égalité, avec l’interdiction de ségrégation, ou de rendre pauvre l’une des parties.
Cependant, c’est au juge d’évaluer, il a donc une marge de manœuvre, je devrais écrire : elle a donc ; la majorité des juges aux affaires familiales étant des femmes.
Il est constaté, par statistique interposée, que les juges aux affaires familiales prennent des décisions très favorables aux femmes, ne serait-ce qu’avec la garde des enfants ; la France a été épinglée par les instances européennes pour ségrégation dans ce domaine : du sexisme envers les hommes ; certaines juridictions le sont plus que d’autres.
Vous pourrez toutefois faire appel de la décision si elle ne vous convient pas.
Au revoir.
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Modifié le 31 août 2024 à 14:41
Votre point de vue demande à être nuancé :
"Il est certes vrai que dans près de 80 % des divorces, la résidence de l’enfant est fixée chez la mère, la résidence chez le père ne présentant que 8 % des cas et la résidence alternée, 15 % (chiffres 2003, ministère de la Justice). Mais une enquête récente sur le traitement judiciaire des séparations conjugales, fondée sur l’examen de dossiers et l’observation d’audiences au tribunal, montre que « dans 82 % des affaires impliquant des parents ayant des enfants à charge (…), il n’y a pas de conflit sur la résidence des enfants : soit qu’il n’y ait pas de désaccord du tout (divorces par consentement mutuel), soit que le ou les litiges portent sur d’autres sujets [4] ».
La même enquête montre par ailleurs qu’il n’existe pas de biais « promaternel » chez les magistrats. "
Source : observatoire des inégalités :
Modifié le 31 août 2024 à 15:35
L’Observatoire des inégalités est une association privée, à but idéologique, une association a toujours une orientation, un but, une intention, un parti pris.
Elle ne relève pas d’un système universitaire et de toute méthodologie qui s’y applique.
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31 août 2024 à 16:06
C'est votre avis. Je l'entends.
Cependant, vos différentes interventions mettent en avant que vous êtes bien loin d'être un modèle en matière d'impartialité !
Modifié le 31 août 2024 à 19:35
Ce n’est pas une étude sérieuse, mais la reprise d'un article de 2013, écrit par un journaliste engagé (idéologiquement) pour le magazine : Sciences Humaines !
Toute la carrière "d'opinionniste" du Monsieur le démontre sur Link-machin
La justice ne répertorie pas par statistique, s'il y a eu ou non conflit sur le droit de garde, mais elle répertorie, tout du moins, en 2013, qui a obtenu le droit de garde, ainsi ce n'est pas une étude mais une opinion d'un féministe, il suffit de lire les propos outranciers envers une catégorie de la population dans son article.
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6 sept. 2024 à 21:04
Bonjour, pouvez nous indiquer l'age de vos enfants ? quel est le mode garde exact (1 we sur 2, moitié des vacances ou juste un droit de visite ?). Quel est l'age de vos enfants ? y a t-il des couts particuliers type école privée, garderie, .. ? Si vous communiquez ces quelques questions nous pourrons vous aider.