Aurai-je eu gain de cause?
rita
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rita -
rita -
Bonjour,
Récemment j'ai été contrainte de passer la nuit chez quelqu'un que je considérais être un ami (car pas de transports pour rentrer), avec qui j'ai été plus que claire sur le fait qu'il ne m’intéressait pas. Il m'a dit que je ne risquais rien et que je pouvais dormir chez lui sans problème.
Il a un seul lit, et j'ai passé la nuit à l'esquiver et lui enlever ses mains sa bouche et lui dire non. J'ai d'abord commencé gentiment car pour moi je le rejetais et je ne voulais pas blesser ses sentiments. S'il te plais arrête. S'il te plais j'ai dit non. Puis j'ai rehaussé d'un ton: "c'est pas possible, j'ai dit non 36 mille fois arrête" "Bon on arrête maintenant, tu ne comprend pas quand je te dis ne me touche pas?"
J'ai du forcer avec sa main par moment car il résistait, il me collait de tout son corps. Je pense que j'aurai du crier et me débattre violemment, mais j'étais là à tenir sa main et à contrôler sa force en lui disant d'arrêter et j'ai du même user de ma force pour résister tellement il a voulu m'obliger ... il s'en pressait de mettre sa main sur mes parties intimes...C'est vrai que je l'ai laissé m'embrasser en fermant la bouche un instant avant de le repousser et j'ai presque trouvé la situation drôle à un moment, mais j'ai été plus que claire à mon sens en disant d'arrêter d'un ton sec et qu'il avait plus qu'insisté. Bref pour moi il n'y avait pas d’ambiguïté sur mon non consentement et mes rires étaient des moqueries par rapport à son obstination et sa lubricité et ses "s'il te plait"...
J'ai passé la nuit comme ça puis me suis endormir.Je me suis réveillée avec sa partie intime entre les cuisses (j'étais habillée) entrain de se frotter.... J'ai poussé un soupir et je l'ai fait avec ma main pour qu'il me lâche.
En revenant, je lui ai envoyé un message lui disant que je me suis sentie agressé, il a renié par messages et j'ai regretté de pas avoir porté plainte et d'avoir pris en compte son sentiment d'être rejeté par moi...
Quelques temps après et ses messages, j'ai décidé de lui poser sèchement une question sur quelque chose qu'il maîtrisait parce que j'avais besoin de cette info ce jour là.
Ma question est: Aurai-je pu avoir gain de cause si j'avais porté plainte le lendemain de l'agression?
Aujourd'hui, alors que je lui ai reparlé par intérêt, serait-ce impossible de prouver que je ne mens pas?
Je vous remercie pour votre réponse.
Récemment j'ai été contrainte de passer la nuit chez quelqu'un que je considérais être un ami (car pas de transports pour rentrer), avec qui j'ai été plus que claire sur le fait qu'il ne m’intéressait pas. Il m'a dit que je ne risquais rien et que je pouvais dormir chez lui sans problème.
Il a un seul lit, et j'ai passé la nuit à l'esquiver et lui enlever ses mains sa bouche et lui dire non. J'ai d'abord commencé gentiment car pour moi je le rejetais et je ne voulais pas blesser ses sentiments. S'il te plais arrête. S'il te plais j'ai dit non. Puis j'ai rehaussé d'un ton: "c'est pas possible, j'ai dit non 36 mille fois arrête" "Bon on arrête maintenant, tu ne comprend pas quand je te dis ne me touche pas?"
J'ai du forcer avec sa main par moment car il résistait, il me collait de tout son corps. Je pense que j'aurai du crier et me débattre violemment, mais j'étais là à tenir sa main et à contrôler sa force en lui disant d'arrêter et j'ai du même user de ma force pour résister tellement il a voulu m'obliger ... il s'en pressait de mettre sa main sur mes parties intimes...C'est vrai que je l'ai laissé m'embrasser en fermant la bouche un instant avant de le repousser et j'ai presque trouvé la situation drôle à un moment, mais j'ai été plus que claire à mon sens en disant d'arrêter d'un ton sec et qu'il avait plus qu'insisté. Bref pour moi il n'y avait pas d’ambiguïté sur mon non consentement et mes rires étaient des moqueries par rapport à son obstination et sa lubricité et ses "s'il te plait"...
J'ai passé la nuit comme ça puis me suis endormir.Je me suis réveillée avec sa partie intime entre les cuisses (j'étais habillée) entrain de se frotter.... J'ai poussé un soupir et je l'ai fait avec ma main pour qu'il me lâche.
En revenant, je lui ai envoyé un message lui disant que je me suis sentie agressé, il a renié par messages et j'ai regretté de pas avoir porté plainte et d'avoir pris en compte son sentiment d'être rejeté par moi...
Quelques temps après et ses messages, j'ai décidé de lui poser sèchement une question sur quelque chose qu'il maîtrisait parce que j'avais besoin de cette info ce jour là.
Ma question est: Aurai-je pu avoir gain de cause si j'avais porté plainte le lendemain de l'agression?
Aujourd'hui, alors que je lui ai reparlé par intérêt, serait-ce impossible de prouver que je ne mens pas?
Je vous remercie pour votre réponse.
2 réponses
Salut
Sans boule de cristal, impossible de savoir la décision d'un juge.
Mais ce que vous avez vécu est effectivement une agression sexuel, pouvant donner lieu à une plainte, même maintenant.
Sans boule de cristal, impossible de savoir la décision d'un juge.
Mais ce que vous avez vécu est effectivement une agression sexuel, pouvant donner lieu à une plainte, même maintenant.
bonjour,
conclusion :
Allez porter plainte, comme dit post 1.
cdt.
conclusion :
- vérifiez les heures des moyens de transport de retour à votre disposition avant de partir de chez vous.
- et ne plus jamais tenter le diable : on ne couche pas dans le lit de quelqu'un (ou même simplement "chez" quelqu'un) sans en connaître les risques possibles.
Allez porter plainte, comme dit post 1.
cdt.
Bjr, c'est une personne qui a étudié avec moi au collège et qui habitait près de moi. Je connais sa famille,son entreprise, nous avons des amis en commun etc. Ce n'est pas une personne rencontrée en boite de nuit, je ne pense pas avoir fait une erreur d'autant plus qu'il m'a rassuré sur le fait que je pouvais venir sans m'inquiéter (qu'il tente quelque chose). Les transports finissaient avant la fin de l'événement auquel nous avons été et qui a fait que j'ai eu besoin d'un endroit pour la nuit.
ça ne passera jamais devant un tribunal